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Unrapport de la Chambre régionale des comptes, présenté mercredi 24 août 2022 en conseil municipal de Houat ( Morbihan ), scrute la gestion de l’île entre 2016 et 2021, et appelle
Par la rédaction, le 1er octobre 2012. - PUBLICITÉ - La démission des conseillers municipaux peut être le fait volontaire du ou des conseillers intéressés ou être la conséquence d'un refus de leur part d'exercer leurs fonctions. Tout conseiller municipal peut de se démettre de ses fonctions en adressant sa démission au maire art. L. 2121-4 CGCT par un écrit, daté et signé, remis ou transmis à l'exécutif local. Ne peut valoir lettre de démission un tract distribué à la population et ne comportant ni date, ni signature TA Grenoble, 31 mars 1992, Guyon, Rec., T., p. 796, pas plus que la décision d'un conseiller de se retirer de la majorité municipale CE, 1 er décembre 1993, Segantini, req. n° 129868 ; CE, 14 janvier 2002, Ribert, req. n° 240071. Dès réception de la démission, le maire doit en informer immédiatement le préfet de département par voie de transmission CAA Nancy, 3 mars 2005, Ville de Metz, req. n° 03NC01111. Lorsque la démission du conseiller municipal a été présentée sous la contrainte, il peut demander à l'intéressé de confirmer sa décision de quitter le conseil municipal Rép. min., n° 841, JOAN, Q., 9 septembre 2002, p. 3072. Des formalités strictes La démission entre en vigueur dès sa réception par le maire TA Grenoble, 31 mars 1992, Guyon, préc., sauf si le conseiller démissionnaire a choisi de repousser l'effet de cette décision à une autre date CE, 26 mai 1995, Etna et ministre des Départements et Territoires d'outre-mer, Rec., p. 213. Aucune autre formalité n'est prescrite et l'information du préfet ne peut être considérée comme une condition de validité ou d'effectivité CE, 28 juillet 1999, Élections municipales de la Celle-Saint-Cloud, Rec., p. 254. Lorsque plusieurs conseillers municipaux ont déclaré qu'ils démissionneraient en cas de démission du maire, leur démission prend effet postérieurement à la cessation par le maire de ses fonctions CE, 22 juin 2005, Élection du maire de Maurepas, Sindou Faurie et autres, req. n° 274185. En revanche, la rétractation du conseiller démissionnaire après réception par le maire de sa lettre de démission est sans influence sur la cessation de ses fonctions CE, 12 février 2003, commune de la Seyne-sur-Mer et Mme Poggi, Rec., T., p. 677. Dans tous les cas, le conseiller municipal démissionnaire ne peut plus participer aux réunions du conseil municipal CE, 26 mai 1995, Etna et ministre des Départements et Territoires d'outre-mer, préc., même en cas de rétractation de sa part CAA Nancy, 3 mars 2005, Ville de Metz, préc.. Le maire doit alors convoquer le remplaçant conformément aux dispositions de l'art. L. 270 du Code électoral TA Nancy, 24 décembre 2001, Préfet de Meurthe-et-Moselle, req. n° 011419. La démission d'office La loi prévoit et organise la démission d'office, dont la procédure applicable est distincte de celle relative à la démission volontaire CAA Douai, 29 juillet 2004, maire d'Oroër, req. n° 01DA00122. Tout membre d'un conseil municipal qui, sans excuse valable, a refusé de remplir une des fonctions qui lui sont dévolues par les lois, est déclaré démissionnaire par le tribunal administratif art. L. 2125-1 CGCT. Il en va aussi du refus d'assurer une permanence qu'aucun texte ne prévoit CE, 8 juillet 1987, commune de Vatilien c/Gandaubert, req. n° 73215. Un conseiller municipal ne peut être démis de ses fonctions au motif qu'il ne remplirait pas de manière satisfaisante certaines fonctions confiées par le maire ibid.. À l'inverse, entraîne la démission d'office le refus, sans excuse valable de la part d'un conseiller municipal, d'assurer la présidence d'un bureau de vote CE, 21 octobre 1992, Alexandre et autres, req. n° 138437 ; CE, 20 février 1985, Behuret, Rec., p. 520 ; CE, 21 mars 2007, Aboulkheir, req. n° 278437 ou les fonctions d'assesseur d'un bureau de vote TA Strasbourg, 15 avril 1998, mairie de la commune de Maizery, LPA, 4 février 1999, p. 19. Toutefois, n'est pas un motif de démission d'office le fait pour un adjoint de refuser d'assurer la présidence d'un bureau de vote dès lors qu'il devait participer à une manifestation familiale à caractère exceptionnel et qu'il n'existait aucune difficulté particulière d'organisation du scrutin CAA Nantes, 2 octobre 2007, M. Chopp, req. n° 07NT01704. Le refus de la part du conseiller de remplir ses fonctions peut résulter soit d'une déclaration expresse adressée à qui de droit ou rendue publique par son auteur, soit de l'abstention persistante du conseiller après avertissement de l'autorité chargée de la convocation ibid. ; TA Amiens, 18 juillet 2002, commune de Léglantier, req. n° 021245. Il doit être établi de façon certaine TA Clermont-Ferrand, 5 décembre 1989, commune de Malintrat c/Mme Troiplis, JCP, 1990, IV, 158 ; TA Nancy, 30 juillet 2002, maire de Laveline-devant-Bruyères, req. n° 02966, le juge administratif appréciant si l'excuse invoquée est valable ou non TA Clermont-Ferrand, 5 décembre 1989, commune de Malintrat c/Mme Troiplis, préc.. À ce titre, est une excuse valable le refus par un conseiller de l'opposition municipale de devenir adjoint au maire CAA Nantes, 4 février 1999, Mairie de Telgruc-sur-Mer, req. n° 98NT02546 ou encore la production par l'intéressé d'un arrêt de travail CAA Versailles, 30 décembre 2004, Mme Chantal X., req. n° 04VE01719. À l'inverse, ne sont pas considérés comme une excuse valable les justifications fondées sur les charges familiales CE, 21 mars 2007, Mme Sifia A., req. n° 278438 ou, pour la présidence d'un bureau de vote, le fait de s'être engagé à être assesseur dans un autre bureau de vote CAA Versailles, 30 décembre 2004, Abdelaziz X., req. n° 04VE01718. Seul le préfet peut saisir le tribunal administratif d'une demande de déclaration en démission d'office CAA Bordeaux, 31 janvier 2006, Germain Serbin, req. n° 02BX00790. Le conseiller municipal qui refuse d'exercer sans excuse valable ses fonctions de telle manière qu'il doit être déclaré démissionnaire, reste en fonction tant qu'il n'a pas été déclaré démissionnaire par le tribunal administratif. Il peut donc jusque-là assister aux réunions du conseil municipal et prendre part aux délibérations CE, 11 juin 1958, Élections d'un adjoint aux Abymes, Rec., p. 336. Le juge ne peut déclarer la démission d'office lorsque le conseiller municipal intéressé a préalablement démissionné de ses fonctions CAA Douai, 29 juillet 2004, maire d'Oroër, préc. ou lorsque de nouvelles élections ont déjà eu lieu CE, 24 juin 2004, Fayard, req. n° 256785. Quoi qu'il en soit, la démission d'office doit mentionner les voies de recours possibles à l'encontre de celle-ci CE, 1 er juillet 2005, M. Ousty, Rec., p. 28. La démission des fonctions de maire ou d'adjoint La démission d'un maire ou d'un adjoint doit être adressée au préfet de département. Elle devient définitive à partir de son acceptation par le préfet ou, à défaut, un mois après le nouvel envoi de la démission constatée par lettre recommandée art. L. 2122-15 CGCT. Elle prend effet à compter du jour où son acceptation par le préfet est portée à la connaissance du démissionnaire, même verbalement, et non à compter de la réception par le démissionnaire de la lettre d'acceptation du représentant de l'État CE, 25 juillet 1986, Barthelot et autres élection du maire de Clichy, Rec., p. 216 ; CE, 26 mai 1995, Etna et ministres des Départements et Territoires d'outre-mer, préc.. Son caractère définitif est acquis dès lors que son acceptation est notifiée au maire par le préfet CE, 17 novembre 2010, ministre de l'Intérieur, req. n° 334489. Le préfet a le pouvoir de refuser ou d'accepter la démission, sauf si cette dernière a, entre-temps, été retirée par l'intéressé CE, 21 mars 1962, Rousseau, Rec., p. 906 ; CE, 26 mai 1995, Etna et ministres des Départements et Territoires d'outre-mer, préc.. En revanche, il ne peut porter une appréciation sur les raisons invoquées par le démissionnaire TA Versailles, 27 juin 1980, Ghibaudo, Rec., T., p. 626. Constitue un motif légitime de démission la volonté du maire de faire arbitrer par le conseil municipal un différend l'opposant à un adjoint CE, 15 mars 2005, commune de Pignan, req. n° 272860. En revanche, le fait pour le maire sortant, déclaré inéligible par le juge pénal, de démissionner de sa seule fonction de maire afin de pouvoir participer à l'élection de son successeur, doit être regardé comme une manœuvre de nature à entacher d'illégalité et de nullité l'élection ainsi survenue CE, 5 mai 2006, Élection du maire et des adjoints de la commune de Goussainville, req. n° 288488. Le maire démissionnaire est remplacé par un adjoint dans le respect de l'ordre du tableau. Dans l'hypothèse où les adjoints sont tous également démissionnaires, le maire continue d'exercer ses fonctions. Il le fait jusqu'à l'installation d'un conseiller municipal désigné par le conseil municipal ou, à défaut, pris dans l'ordre du tableau CE, 13 mars 1968, Élection du maire et de l'adjoint de Talasani, Rec., p. 873. À ce titre, c'est donc le remplaçant du maire qui aura la charge d'exercer les attributions de celui-ci et de convoquer le conseil municipal CE, 23 juin 1993, Léontieff et autres, Rec., T., p. 795.n
Unan et trois mois. C'est le temps qu'aura tenu le conseil municipal d'Ermenonville avant d'exploser. Depuis les élections de mars 2014, six démissions ont déjà été enregistrées !
Publié le 05/09/2015 à 0348 , mis à jour à 0857 Après le clash de mercredi soir en plein conseil municipal, les sept élus, dont trois adjoints, ont démissionné jeudi en fin d'après-midi. Une démission qui s'est faite en deux temps». En effet les quatre conseillers municipaux Francis Raynaud, Gilles Raynaud, Aimée Marty et Jane Labatut, ont adressé leur démission au maire alors que les trois adjoints l'ont adressée, eux, au préfet, comme le prévoit la législation. Des démissions qui ont été suivies par celles de Thierry Darot, Hervé Rumeau et Thérèse Rovecchio, conseillers non élus lors des dernières municipales et qui auraient dû monter» et remplacer une partie des démissionnaires, n'entraînant pas ainsi de nouvelles élections municipales. Mais ce ne sera pas le cas… la cité chapelière va donc devoir se préparer à de nouvelles élections municipales dont la date sera fixée par le préfet qui, dans un délai de trois mois après l'acceptation des démissions des trois adjoints, annoncera la date du premier tour de scrutin. Pendant ce temps, les quatre conseillers municipaux démissionnaires ne siégeront plus au sein du conseil municipal, alors que les trois adjoints, qui se sont vu retirer leurs délégations et indemnités, pourront tout de même siéger au sein du conseil municipal en attendant l'acceptation de leur démission par le préfet qui dispose d'un délai légal de trente jours. C'est un véritable coup de tonnerre, un séisme même qui met à mal le maire Georges Reverte que nous avons rencontré C'est une trahison, j'ai l'impression d'avoir dix couteaux plantés dans le dos», nous confie Georges Reverte qui a du mal à cacher son émotion, et de poursuivre Il n'y a eu aucun avertissement, nous avions des réunions régulières avec les adjoints et des réunions d'information lorsque les dates des conseils municipaux étaient éloignées… il y a des critiques injustifiées, on ne fait pas de petites choses une généralité». Maire jusqu'au second tour des prochaines élections municipale, Georges Reverte s'est dit continuer de travailler pour Espéraza».
Orl’article L.270 du Code électoral précise que lorsqu’une liste est épuisée, si le conseil municipal a perdu le tiers de ses membres, il est procédé à des élections anticipées pour le renouveler
Commune de 1 000 habitants ou plusLa prochaine élection des conseillers municipaux et des conseillers de Paris doit avoir lieu en conseillers municipaux sont élus pour un mandat de 6 ans au suffrage universel direct par les électeurs français et européens inscrits sur les listes mode de scrutin combine les règles du scrutin majoritaire à 2 tours et celles du scrutin maire et ses adjoints sont ensuite élus par le conseil de 1 000 habitantsLes prochaines élections municipales doivent avoir lieu en conseillers municipaux sont élus pour un mandat de 6 ans au suffrage universel direct par les électeurs français et européens inscrits sur les listes scrutin est majoritaire, plurinominal, à 2 tours .Le maire et ses adjoints sont ensuite élus par le conseil municipal.
Lagitation illustre les profondeurs de la confiance brisée à Uvalde entre les résidents et les forces de l’ordre plus de trois mois après le meurtre de 19 enfants et de deux enseignants dans l’une des fusillades en classe les plus meurtrières de l’histoire des États-Unis. Les revendications sont constantes : plus de licenciements, plus de sécurité, plus de restrictions sur les
Contexte En cours de mandat, il est très fréquent que l’un des conseillers municipaux décide d’abandonner son mandat. Qu’il s’agisse d’un élu de la majorité ou de l’opposition, la municipalité devra suivre une procédure précise pour pourvoir à son remplacement. Schéma Gérer la démission d’un conseiller municipal En cours de mandat, il est très fréquent que l’un des conseillers municipaux décide d’abandonner son mandat. Une procédure précise doit alors être suivie pour pourvoir à son remplacement de manière régulière. Notre schéma vous en présente les différentes étapes.
Une4e démission au conseil municipal moncrabelais. Maïté Cordereau-Nays, à droite de Nicolas Choisnel lors de la photo d'installation du conseil, a démissionné. Photo DDM, P.G. Politique
Publié le 11 janvier 2010 à 00h00 La vie municipale à la mairie d'Henvic est loin d'être un long fleuve tranquille. Depuis le scrutin de 2008, six élus ont déjà présenté leurs démissions. Avec deux nouvelles démissions au sein du conseil, cette fois, les électeurs henvicois ne vont pas y couper. Ils vont devoir retourner aux urnes pour compléter une équipe désormais amputée de six élus. L'information la plus importante a été divulguée de manière laconique, par le maire, à la fin de son discours fleuve lors de la cérémonie des voeux, salle Marie Jacq, samedi matin. Sans même dévoiler l'identité des deux personnes concernées, Annick Corre-Gillet a alors annoncé Nous savons aujourd'hui qu'il conviendra de compléter le conseil municipal suite aux différentes démissions, ce qui permettra de retrouver un fonctionnement normal avec une équipe de 15élus». Dans la salle, un peu médusée, les discussions sont alors allées bon train. Christophe Micheau premier à jeter l'éponge La crise qui secoue la commune léonarde depuis les élections municipales de 2008 a donc connu un nouvel épisode avec la démission, qui remonte à la semaine passée, de deux nouveaux élus. Dans un courrier adressé, mardi dernier, Christophe Micheau a été le premier à jeter l'éponge. Las des clivages détériorant l'ambiance à Henvic, le chef finistérien de la Safer Société d'aménagement foncier et d'établissement rural, 48 ans, a estimé que sa démission était devenue inéluctable. N'étant pas en phase avec la manière dont le maire aborde la gestion de la commune, je ne pouvais plus continuer à travailler dans ces conditions». Hier, il a aussi indiqué que l'affaire des corbeaux» avait pesé sur son choix. Rappelons à ce niveau que le maire a déposé une plainte, se disant victime de violentes attaques perpétrées à travers des courriels et des lettres anonymes. Excuses Désolé de ne pas être en mesure d'aller jusqu'au bout de son mandat», Christophe Micheau, qui avait été élu sur la liste d'opposition menée par Marcel Daniélou et Alexis Briant, a tenu, par ailleurs, à s'excuser auprès de ceux qui lui avaient accordé leur confiance». Michèle Verborgh lui emboîte le pas... Une autre démission a été acceptée par le maire d'Henvic. Il s'agit cette fois d'un membre de sa propre équipe, Michèle Verborgh. Cette démission a été officialisée dans un courrier en date du 6janvier. L'élue démissionnaire, qui effectuait son premier mandat, n'a pas souhaité s'exprimer publiquement sur son départ. Ces deux décisions vont avoir des conséquences importantes. Elles font, en effet, suite à quatre autres démissions celles des membres de la liste du maire, Serge Corre et Serge Delacourt, quelques mois après le scrutin. Puis celle d'un membre de l'opposition, Marcel Clairet-Boucher, mi-septembre. Daniel Simon lui avait emboîté le pas quelques jours plus tard. Un feuilleton» à rebondissements Sur les 15 conseillers élus au printemps 2008, il n'en reste donc plus que neuf. Voire huit, puisqu'une autre conseillère, Caroline Tanguy, qui n'habite plus dans la commune, n'assiste plus aux conseils municipaux depuis près d'un an. Le conseil henvicois ayant perdu plus du tiers de son effectif, le code électoral impose désormais à la population locale de retourner aux urnes. Des élections partielles devront être organisées dans les trois prochains mois. Six postes seront à pourvoir. Le feuilleton» de la vie municipale agitée henvicoise va sans nul doute réserver de nouveaux rebondissements. Avec Christine Peden
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combien de démission pour revoter un conseil municipal