Publishedby BĂ©ninscopie-dans Ce que je crois commenter cet article 29 fĂ©vrier 2012 3 29 / 02 / fĂ©vrier / 2012 13:59. L'Ă©cole bĂ©ninoise se meurt. Un drame silencieux se dĂ©roule sous nos yeux depuis plus de quatre semaines. La grĂšve - justifiĂ©e ou non- des enseignants du maternel, primaire, secondaire technique. Encore une fois les revendications salariales et consorts! 4 fĂ©vrier 2013 1 04 /02 /fĂ©vrier /2013 2355 Je me demande si ce n'est pas la phrase la plus connue de la bible, et surtout par les personnes qui se disent non croyantes. Pourtant il y a plein de choses que nous sommes prĂȘts Ă  croire sans preuve tangible croire en son horoscope, croire qu'on risque de gagner Ă  l'euro million,ou croire parfois avec une grandecertitude dans des tas d'autre choses ; mais pour croire en Dieu,les choses deviennes plus compliquĂ©. C'est bien souvent quand on est acculer au mur, qu'il n'y a pas de solutions Ă  nos problĂšmes,que la foi peut apparaĂźtre , aussi faible soit-elle. J'avais un proche qui Ă©tait atteint d'une leucĂ©mie, qui suivait une chimiothĂ©rapie, et qui n'avait pas une foi dĂ©bordante. Mais quand l'angoisse l'a envahit, il accepta de venir Ă  l'Ă©glise en pleure pour que l'on prit pour lui. Quelques temps aprĂšs fini la chimio , requinquĂ© qu'il Ă©tait il m'a dĂ©clarĂ© que ce n'Ă©tait pas Dieu qui l'avait guĂ©rit, car ça maladie Ă©tait traitable mĂ©dicalement . Je crois que ne pas croire est un choix. MĂȘme devant l'Ă©vidence on peut dĂ©cider de nier une vĂ©ritĂ©. La bible dit HĂ©breux 111 1 Or, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espĂšre, une dĂ©monstration de celles qu’on ne voit pas. Le vent Ă  son influence dans nos vie alors que l'on ne le voit pas. Je pense que pour Dieu il en est de mĂȘme, Ă  la diffĂ©rence prĂšs qu'il est une personnes qui nous veut du bien.
Lorsquenous regardons quelque chose, le sens de la vue fait remonter l’information au cerveau. Nous nous trouvons dans l’observation neutre et objective, sans jugement. C’est ensuite nos croyances personnelles qui prennent le relais.
Bonjour Oxelane, non effectivement cela ne reprĂ©sente pas ta citation mais en revanche je comprends trĂšs trĂšs bien ce que tu voulais dire. Il y a d'innombrable chose qui nous entoure qu'on ne perçoit pas par nos sens. Ou plus mĂȘme prosaĂŻquement, des faits ou des situations, des actes, qu'on ne voit pas ou qu'on n'interprĂšte pas comme le voisin car notre intĂ©rĂȘt et nos croyances filtrent et conditionnent l'analyse que va faire notre cerveau de ce fait En ce moment je m'intĂ©resse beaucoup aux rĂȘves, j'ai parfois l'impression que c'est une forme de communication avec notre inconscient. Je le pense Ă©galement. Enfin je ne connais pas les systĂšmes de configuration de l'esprit conscient / inconscient / subconscient / autres, je ne connais pas les nuances, mais je crois oui que c'est une clĂ© de comprĂ©hension d'une partie cachĂ©e de notre psychĂ©. Lors d'un passage Ă  vide ds ma vie oĂč j'ai touchĂ© le fond, j'ai rĂȘvĂ© chaque nuit pendant des mois que je me battais contre des agresseurs ; on voulait me tuer, on me poursuivait, je courais tout le temps, tout le temps, et je me battais parfois, je ripostais. Je me dĂ©battais autant dans ma vie que dans mon intĂ©rieur. Par contre l'analyse des rĂȘves est parfois plus difficile d'accĂšs je trouve ! Il y a une quantitĂ© de rĂȘves pour lesquels je ne sais que penser $đŸ˜” Je te conseille de regarder entre autres le film "I origins" qui reprĂ©sente assez bien certains phĂ©nomĂšnes ou encore le fameux "Interstellar" qui rĂ©ussit trĂšs bien Ă  retranscrire l'Amour autrement qu'ont le connaĂźt actuellement. Eh bien j'en prends bonne note, merci $â˜ș Content de t'entendre parler d'Ă©ducation car je pense aussi qu'elle est complĂštement Ă  revoir si on veux changer de paradigme. - On vit dans une Ă©poque qui est encore primitive malgrĂ© ce que beaucoup de gens pensent. Je suis tellement tellement tellement d'accord avec ça !!!!!!!! Il est parfois dur de s'adapter quand ont rĂ©ussi Ă  voir un peut plus loin que le bout de son nez ... C'est dur de relever la tĂȘte, se relever de l'Ă©tat 4 pattes, de s'Ă©lever. Mais je crois que c'est le chemin de l'ĂȘtre humain humain s'Ă©lever. Merci pour cet Ă©change, c'est un plaisir apaisant pour moi, qui venais justement de m'agiter sur des questions de ce genre $â˜ș
LaBible dit, en effet : « En lui (JĂ©sus), nous avons la rĂ©demption par son sang, le pardon des pĂ©chĂ©s, selon la richesse de sa grĂące. » L’emblĂšme du christianisme est la croix, tout comme le croissant est l’emblĂšme de l’islam, tout comme la faucille et le marteau sont les emblĂšmes du communisme. L’Évangile est donc l’Évangile de la croix.
Cas cliniques Un patient de 40 ans connu pour plusieurs Ă©pisodes de colique nĂ©phrĂ©tique se prĂ©sente aux urgences pour des douleurs du flanc gauche en colique. La loge rĂ©nale gauche est sensible Ă  la palpation et la bandelette urinaire montre une micro-hĂ©maturie le diagnostic est quasiment posĂ© ! En attendant l’effet des antalgiques IV et le rĂ©sultat de la crĂ©atinine, on jette un petit coup d’écho pour voir si on peut se passer d’uroscanner. Voici tout d’abord le rein gauche qui montre une dilatation calicielle Ă©vidente mais modĂ©rĂ©e. On essaie ensuite de visualiser un jet urĂ©tĂ©ral en dĂ©plaçant la sonde au niveau vĂ©sical et en allumant la couleur. VoilĂ  ce que l’on voit Ă  la place du jet urĂ©tĂ©ral et en longitudinal Vous pouvez visualiser le calcul entourĂ© d’un scintillement twinkling pour les anglo-saxons au doppler qui est Ă  quelques millimĂštres de la vessie. Son diamĂštre est mesurĂ© Ă  mm. Dans ce contexte le doppler augmente la sensibilitĂ© de l’examen pour dĂ©tecter un calcul grĂące Ă  cet artefact de scintillement. Vu la taille du calcul, sa localisation et la dilatation modĂ©rĂ©e des voies urinaires on dĂ©cide de ne pas rĂ©aliser d’uroscanner dans l’immĂ©diat et d’aider la nature avec un traitement d’AINS et antalgique avec un rendez-vous fixĂ© Ă  48h. En 24h le calcul est expulsĂ© et le patient vient Ă  la consultation soulagĂ© aprĂšs avoir rĂ©cupĂ©rĂ© son calcul. Voici en comparaison le rein gauche aprĂšs expulsion du calcul et le fameux jet ureteral gauche Une histoire qui se finit bien oĂč grĂące Ă  l’échographie on a pu se passer d’irradier ce patient qui n’en est probablement pas Ă  son dernier passage de calcul urinaire.
Jevois ce que je crois Je vois ce que je crois. View PDF. Arts numĂ©riques ‱ dĂšs 6 ans. Jeudi 31 mars 2022 Ă  14h45. Théùtre d’arts numĂ©riques et de nouvelles technologies, cette crĂ©ation se sert de ces outils pour parler de la perception du rĂ©el. Mapping, hologrammes, anaglyphes, lumiĂšre UV plongeront le spectateur dans un univers poĂ©tique et dĂ©stabilisant. La

21 jours que je suis sur mon chemin. Depuis plusieurs jours, l’émotion m’envahit au moment oĂč je dis aurevoir Ă  mes hĂŽtes d’un soir pour reprendre mon chemin. Plus qu’un bivouac que je quitte, je m’éloigne, d’un havre de paix dans lequel je me suis rĂ©fugiĂ©e pour la nuit, offrant espace, confort, eau et sĂ©curitĂ© pour mes chevaux et pour moi-mĂȘme. Plus que des gens qui m’ont accueillis, c’est d’une famille dont je me sĂ©pare
 Je suis partie avec cette intention de faire confiance Ă  la providence qui conspire Ă  la rĂ©ussite de mon projet de vie et de compter sur les bons samaritains que je rencontrerai tout le long de mon chemin. C’est MA VĂ©ritĂ©. C’est mon but. Ma perception du monde. Mes sens recherchent alors les tĂ©moins de ce qui est vrai pour moi
 Et je suis exaucĂ©e. Je n’en reviens pas Ă  quel point je le suis
 DĂšs le premier jour, l’univers m’a fait ce beau cadeau de croire en lui. Heureux hasard ? De la chance ? De mon point de vue, je le dĂ©crirai comme une synchronicitĂ© entre ma pensĂ©e et sa manifestation puisque mon premier bivouac m’a Ă©tĂ© offert spontanĂ©ment pour la nuit
 Les personnes en situation de handicap m’ont appris cela. Quand ils rechignaient Ă  porter quelque chose, il suffisait que je leur dise » est-ce que tu veux bien m’aider ? » pour que quelque chose en eux s’éveille et qu’ils le fassent. Jai compris que lorsque le mental n’était pas soumis Ă  la fonction et au temps, nous avons en nous cette spontanĂ©itĂ© d’entraide et de partage. Le coeur rĂ©pond instinctivement. Et c’est ce que je vĂ©rifie chaque aprĂšs-midi, quand je commence Ă  chercher un lieu pour la nuit
 Je me prĂ©sente, dis que je suis en pĂšlerinage et que je recherche un endroit clos et de l’eau pour mes chevaux afin d’y passer la nuit. Je vois cette lumiĂšre s’allumer en eux. J’ai posĂ© mon intention, j’ai osĂ© demander. Cela ne m’appartient plus maintenant. Je laisse l’univers se mettre en Ɠuvre. Je vois alors mes bons samaritains rĂ©flĂ©chir, chercher une solution. Je leur laisse le temps, sans mettre de pression, pour qu’ils puissent rĂ©pondre Ă  nos besoins respectifs. Pour ma part, ĂȘtre exaucĂ©e, pour la leur, se sentir utile. L’alchimie s’opĂšre et une solution se prĂ©sente
 Cette spontanĂ©itĂ© est une manifestation du cƓur. Je le sens jusque dans mes tripes, tellement c’est beau, c’est doux, c’est fort. La magie d’une rencontre fortuite, oĂč pendant un moment, nous partageons nos vies, nos envies, nos rĂȘves
 je les remercie et je leurs rends grĂące pour leur attention, leur discrĂ©tion, leur bienveillance. Je ne fais que passer, nous pouvons nous laisser aller Ă  ĂȘtre nous. A ĂȘtre soi. Hormis les larmes d’émotions qui se font plus intenses de jour en jour, je repars aussi avec quelques cerises, un pot de confiture, un morceau de pain
 Un morceau d’eux que j’emmĂšne avec moi
 Aujourd’hui, je dĂ©die cette journĂ©e dominicale Ă  tous mes bons samaritains. Merveilleuse journĂ©e Ă  vous.

Baséà Nantes je me dĂ©place en Loire Atlantique et intervient Ă©galement Ă  distance. Service de coaching de vie par un coach certifiĂ©, pour un accompagnement adaptĂ© lors de transitions,de passages dĂ©licats. BasĂ© Ă  Nantes je me dĂ©place en Loire Atlantique et intervient Ă©galement Ă  distance. 06 70 67 25 03 contact@neo-z.fr. Facebook; Facebook; Accueil; Mon parcours; Qu’est
Exposition Ă  destination des Ă©lĂšves de 3Ăšme Je ne crois que ce que je vois » Les expos de Clara-magazine Clara-magazine, magazine de l’actualitĂ© fĂ©ministe et fĂ©minine, propose des expositions pĂ©dagogiques qui visent Ă  informer sur les droits, Ă  promouvoir une Ă©ducation non sexiste et non violente, Ă  prĂ©venir des conduites discriminatoires. Chaque exposition propose un parcours simple et innovant. Des actions de sensibilisations peuvent ĂȘtre organisĂ©es autour de ces outils. 5 expositions sont disponiblesC’est mon genre, Je ne crois que ce que je vois, Violences elles disent NON, Rendons nos droits universels, Ca nous est Ă©gales Pour avoir un aperçu des expositions, cliquez sur le visuel ! Les Ă©quipe de l’association Femmes solidaires » interviennent aussi auprĂšs des jeunes en milieu scolaire, dĂšs la petite enfance, dans des centres d’animations, mĂ©diathĂšques
pour sensibiliser toutes les tranches d’ñges. Les Ă©lĂšves de 3Ăšme rencontreront les membres de l’association Femmes solidaires » selon le planning ci-dessous Interventions d1h30, les Ă©lĂšves seront accompagnĂ©s de leur professeur d’histoire gĂ©ographie et d’EMC. 3C, vendredi 14 dĂ©cembre 2018, de 13h35 Ă  15h00 3D, vendredi 14 dĂ©cembre 2018, de 15h15 Ă  16h45 3B, jeudi 20 dĂ©cembre 2018, de 9h00 Ă  10h30 3A, jeudi 20 dĂ©cembre 2018, de 10h45 Ă  12h05 Aperçu de l’exposition Les Ă©lĂšves visitent l’exposition accompagnĂ©s de leur professeur d’histoire gĂ©ographie, crĂ©neaux horaires Ă  dĂ©terminer Ă  confirmer. PiĂšces jointes binder 955 kB Jevois ce que je crois : Quand l'invisible contrĂŽle le visible. Dans la vie, il y a deux catĂ©gories de personnes, celles qui sont dans l'attente de voir avant de croire et celles qui crĂ©ent le monde auquel elles croient. DĂ©couvrez dans ce livre des outils intemporels testĂ©s et Ă©prouvĂ©s qui vous permettront de transformer votre rĂ©alitĂ© Je ne crois que ce que je vois ! "je ne crois qu'en ce que je vois" est une expression souvent rĂ©pĂ©tĂ©e par les athĂ©es afin de justifier leur incroyance en Dieu , ainsi , ils jugent que Dieu relĂšve est un ĂȘtre mĂ©taphasique et que par consĂ©quent on ne peut rien dĂ©duire Ă  son propos tant qu'on ne la pas encore vu, en d'autre termes ils affirment que tout ce qui est absent Ă  nos yeux n'existe pas !! Entre la connaissance sensible et la connaissance intelligible La connaissance des choses se fait soit par la voie des sens vue, odorat ... on parlera ici de connaissance sensible , soit par la voie de la raison , il s'agit de la connaissance intelligible . Dans l'expression "je ne crois que ce que je vois" , notre interlocuteur dĂ©cide qu'il ne perçoit la rĂ©alitĂ© des choses qu'Ă  travers une connaissance sensible , en maintenant cette position , il s'enferme dans la sphĂšre de ses 5 sens , et se dĂ©nue de son intelligence , car, la connaissance sensible des choses ne peut ĂȘtre que partielle ou incomplĂšte , nos yeux par exemple ne peuvent percevoir que ce qui se trouve en dessus de l'infrarouge et au dessous de l'ultraviolet , nos yeux ne peuvent percevoir le monde microscopique qui nous entoure Ă©lectrons, protons, microbes... , elles peuvent mĂȘme se tromper un bĂąton dans l'eau parait brisĂ©, la connaissance sensible nous dira qu'il est brisĂ© , alors que la connaissance intelligible dĂ©duit qu'il ne l'est pas et qu'il s'agit d'un phĂ©nomĂšne optique . L'intelligence humaine se base sur les 5 sens pour faire ses conclusions, s'arrĂȘter uniquement sur les observations sans faire de conclusions raisonnĂ©es nous fera descendre au rang des bĂȘtes, pour illustrer ceci , voici un exemple - Vous voyez des traces de pieds sur le sable , vous en dĂ©duisez qu'il s'agit de traces d'homme , ainsi vous savez qu'un homme est passĂ© par la sans mĂȘme l'avoir vu . - Un chien voit des traces de pieds sur le sable de la plage , il ne se pose aucune question , ne fait aucune dĂ©duction , et continue son chemin en remuant la queue . Ce sont deux attitudes opposĂ©es qui marquent la diffĂ©rence entre l'homme et l'animal, de mĂȘme pour la connaissance de Dieu ou de toute rĂ©alitĂ© non matĂ©rielle , c'est via l'intelligence que nous percevons l'existence du crĂ©ateur "Si jamais existait un ĂȘtre ou une rĂ©alitĂ© immatĂ©rielle, qui aurait tout de mĂȘme laissĂ© dans l’univers des traces matĂ©rielles, sensibles, de son passage, alors l’intelligence, en cherchant les causes de ces indices, serait capable de remonter Ă  la conclusion de l’existence de cette cause immatĂ©rielle. Ceci s’explique tout simplement parce que d’existence en existence, l’intelligence serait capable de comprendre que pour expliquer tel phĂ©nomĂšne matĂ©riel, nous sommes obligĂ©s, Ă  un certain moment, de poser l’existence de rĂ©alitĂ©s immatĂ©rielles que nous ne pouvons percevoir, mais qui seules rendent ultimement raison du phĂ©nomĂšne. "CONVERSATIONS BITERROISES La Personne Humaine La rĂ©ponse du coran Le coran traite ceux qui posent cette question de manque de savoir , Dieu a exposĂ© suffisamment pour ceux qui dĂ©sirent puiser leur raison afin d'arriver Ă  la vĂ©ritĂ© , voici ce que dit le coran Et ceux qui ne savent pas on dit "Pourquoi Dieu ne nous parle-t-Il pas [directement], ou pourquoi un signe ne nous vient-il pas» ? De mĂȘme, ceux d'avant eux disaient une parole semblable. Leurs coeurs se ressemblent. Nous avons clairement exposĂ© les signes pour des gens qui ont la foi ferme.»Coran Dieu nous explique dans un autre verset que ce genre de questions ne peut provenir que d'un cƓur arrogant et orgueilleux Et ceux qui n'espĂšrent pas Nous rencontrer disent Si seulement on avait fait descendre sur nous des Anges ou si nous pouvions voir notre Seigneur ! » En effet, ils se sont enflĂ©s d'orgueil en eux-mĂȘmes, et ont dĂ©passĂ© les limites de l'arrogance. 22. Le jour oĂč ils verront les Anges, ce ne sera pas une bonne nouvelle, ce jour-lĂ , pour les injustes, ils les Anges diront Barrage totalement dĂ©fendu» !» Coran Il n'est pas nouveau de voir des personnes demander de voir dieu avant de croire , bien avant , les enfants D'IsraĂ«l ont demandĂ© cela Ă  leur prophĂšte mois Les gens du Livre te demandent de leur faire descendre du ciel un Livre. Ils ont dĂ©jĂ  demandĂ© Ă  MoĂŻse quelque chose de bien plus grave quand ils dirent Fais-nous voir Dieu Ă  dĂ©couvert ! » Alors la foudre les frappa pour leur tort. Puis ils adoptĂšrent le Veau comme idole mĂȘme aprĂšs que les preuves leur furent venues. Nous leur pardonnĂąmes cela et donnĂąmes Ă  MoĂŻse une autoritĂ© dĂ©clarĂ©e.» Coran Voir dieu dans ce bas monde signifie le limiter Il n'est pas possible de voir dieu dans ce bas monde car , le fait de le voir signifie que dieu sera cernĂ© » par nos yeux , ces mĂȘmes yeux qui n'arrivent mĂȘme pas Ă  voir des microbes , comment l'athĂ©e veut il pouvoir cerner le crĂ©ateur avec . Les regards ne peuvent l'atteindre, cependant qu'il saisit tous les regards. » Coran Il est parmi les attributs divins d'ĂȘtre au dessus des lois du temps et de l'espace , il est donc insignifiant que dieu soit limitĂ© par notre champs visuel . Cette vie est une Ă©preuve La vie d'ici bas est un test pour l'homme , le coran affirme que dieu a créé les cieux et la terre afin d'Ă©prouver l'ĂȘtre humain Et c'est Lui qui a créé les cieux et la terre en six jours, - alors que Son TrĂŽne Ă©tait sur l'eau, - afin d'Ă©prouver lequel de vous agirait le mieux. » Coran Celui qui a créé la mort et la vie afin de vous Ă©prouver et de savoir qui de vous est le meilleur en oeuvre, et c'est Lui le Puissant, le Pardonneur. »Coran Durant ce test , l'homme est requis de connaĂźtre dieu , reconnaĂźtre sa bienfaisance et sa misĂ©ricorde envers lui , et ce en utilisant les facultĂ©s que dieu lui a donnĂ© et en premier lieu la raison . Durant ce test , dieu a dĂ©cidĂ© de rester invisible des yeux de l'homme . En fait , une analyse plus proche montrera que c'est cette invisibilitĂ© de dieu qui permet Ă  l'homme d'ĂȘtre testĂ© , en lui donnant la possibilitĂ© de dĂ©vier du droit chemin ou de choisir la bonne voie . Les hommes ne peuvent en gĂ©nĂ©ral briser une loi lors de la prĂ©sence physique des autoritĂ©s qui peut brĂ»ler le feu rouge avec un policier Ă  cotĂ© , c'est pour cela , et afin de nous laisser le libre choix , dieu ne s'est pas montrĂ© aux hommes .Cela permettra aussi aux gens juste d'avoir une rĂ©tribution plus grande car ils ont obĂ©i Ă  dieu sans le voir , dieu dit dans le coran de ceux qui le craignent sans le voir Ceux qui redoutent leur Seigneur bien qu'ils ne L'aient jamais vu auront un pardon et une grande rĂ©compense. » Coran On ne peut voir dieu mais sa manifestation Personne n'a vu l'amour, la colĂšre ou la bonheur, mais nous avons tous vu leurs manifestions. Quand un homme et une femme s'aiment, ils s'embrassent. Il est pourtant impossible de prouver leur amour. Seuls les manifestions de leur amour sont visibles. Nous voyons tous les manifestions de Dieu, tous les jours, Ă  travers la crĂ©ation. Les athĂ©es ne peuvent pas expliquer l'origine de la crĂ©ation. Ils en sont incapables. Lorsqu'on leur demande des preuves de ce qu'ils affirment, certains d'entre-eux se bornent Ă  rĂ©pĂ©ter qu'il n'est pas important de poser ce genre de question. Les athĂ©s ne peuvent pas prouver l'inexistence de Dieu. Cela est impossible. Les athĂ©es du temps des prophĂštes avaient aussi le mĂȘme discours Et ils dirent Il n'y a pour nous que la vie d'ici-bas nous mourons et nous vivons et seul le temps nous fait pĂ©rir». Ils n'ont de cela aucune connaissance ils ne font qu'Ă©mettre des conjectures. Le Coran [4524] L'athĂ©e qui croit en l'invisible La DeuxiĂšme contradiction dans cette question est que cet athĂ©e qui reproche au croyant de croire en l'invisible , de croire dieu , aux anges et Ă  la rĂ©surrection , il reproche au croyant de croire Ă  la crĂ©ation d'Adam qu'il n'a pas vue, il lui reproche de croire au djinns et Ă  l'Ăąme .. mais cet athĂ©e ne se reproche pas lui mĂȘme de croire en l'invisible !!! Ne dis il pas que l'origine de la vie est une cellule qui apparut il y a 3,5 milliard d'annĂ©es ? Ne dit il pas cela ? As t il vu cela de ses propres yeux ? As t il rĂ©ussi Ă  crĂ©er une cellule semblable dans ses laboratoires ? Comment peut il donc croire Ă  cette idĂ©e et la dĂ©fendre ? Il est clair que l'athĂ©e croit trĂšs fermement en l'invisible , mais uniquement quand cette croyance justifie son athĂ©isme . Pour rĂ©sumer cela c'est comme si monsieur l'incroyant disait je crois en l'invisible quand cela justifie l'athĂ©isme , mais je n'y croit pas quand il s'agit de croire en dieu» une telle contradiction ne peut se trouver que dans l'esprit d'un athĂ©e.
Detrùs nombreux exemples de phrases traduites contenant "je crois ce que vois" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises.
Dictionnaire Collaboratif Français Synonymes je ne peux pas l'encaisser exp. je ne peux pas le supporter [Fam.] je ne tiens plus debout exp. je suis trĂšs fatiguĂ© si je ne m'abuse exp. formule de politesse qui s'emploie lorsque l'on dit qqch que l'on croit vrai sans en ĂȘtre totalement sĂ»r je ne m'abuse, vous partez en vacances demain ? je ne fais pas d'erreur [...] ; sauf erreur de ma part [...] je ne me reconnais pas exp. cela ne me ressemble pas ; le portrait qui est fait de moi ou de mes actions ne correspond pas Ă  ma perception des choses sauf erreur adv. si je ne me trompe pas Ex. "sauf erreur, ce document est toujours valable". non omnis moriar exp. je ne mourrai pas tout entier PensĂ©e d'Horace extraite de son ouvrage Les Odes "je ne mourrai pas tout entier car mon oeuvre me survivra" tu m'Ă©tonnes John exp. je ne te le fais pas dire va, je ne te hais point q. Paroles prononcĂ©es par ChimĂšne Ă  Rodrigue dans Le Cid pour donner Ă  entendre qu'elle l'aime envers et contre tout la litote ou euphĂ©misme est utilisĂ©e = expression moins directe et plus adoucie pour dire les choses Ă  ce que je sache exp. en l'Ă©tat actuel de mes connaissances, en fonction de ce que je sais mon petit doigt m'a dit exp. 1. je l'ai appris ou entendu par une source que je ne veux pas dĂ©voiler 2. je soupçonne que tu veux me le cacher Expressiofamilier est-ce que je te demande si ta grand-mĂšre fait du vĂ©lo ? exp. je ne t'ai rien demandĂ©, mĂȘle-toi de tes affaires ! Expressiofamilier je vous emmerde! exp. je vous dis d'aller vous faire voir, je ne me soucie en aucun cas de vous, ARGOT, injurieux il ne faut jamais dire fontaine, je ne boirai pas de ton eau exp. 1. il ne faut pas jurer que l'on n'aura jamais besoin de telle chose ou de telle personne, que l'on ne fera jamais telle chose 2. il ne faut jurer de rien Expressio parce que je le vaux bien exp. s'emploie par plaisanterie pour dire que l'on mĂ©rite lĂ©gitimement ce que l'on a, ce que l'on dĂ©sire [Hum.] * allusion au slogan publicitaire de l'OrĂ©al * s'emploie Ă©galement Ă  propos d'autres personnes et de façon ironique ou non "si sa cote chute, c'est parce qu'il le vaut bien" j'm'en fous exp. je m'en moque, je ne m'en soucie guĂšre, je n'en ai rien Ă  faire ARGOT minute papillon ! exp. 1. pas trop vite ! ne sois pas si pressĂ© ! 2. je ne suis pas d'accord ! Expressiofamilier Pour ajouter des entrĂ©es Ă  votre liste de vocabulaire, vous devez rejoindre la communautĂ© Reverso. C’est simple et rapide pageextraite de "l'Amour de la Raison Universelle "Beaucoup dĂ©clarent qu’Einstein croyait en Dieu. A l’aide de quelques citations, je fais d’abord voir qu’Einstein ne croyait pas en Dieu, rejetait le spiritualisme, le mysticisme, la providence, les livres sacrĂ©s, les institutions religieuses et condamnait les tentatives de fonder la morale sur la croyance.
est une vidĂ©o de Nicole Dubois, Professeur de psychologie sociale, sur canal U, Ă  propos de l'expĂ©rimentation effectuĂ©e par François Le Poultier sur les processus de catĂ©gorisation sociale expĂ©rimentation menĂ©e en 1987, Ă  Caen. RĂ©sumĂ© Les sujets voient un film de cinq minutes dans lequel deux femmes discutent. Ils n'entendent pas ce qu'elles disent. À certains sujets groupe contrĂŽle, on dit que ce sont deux amies qui discutent. À d'autres premiĂšre condition expĂ©rimentale, on indique que la femme de gauche est assistante sociale et que celle de droite est une personne en difficultĂ© qui vient demander de l'aide. À d'autres enfin deuxiĂšme condition expĂ©rimentale, on dit l'inverse la femme de gauche est une personne en difficultĂ© qui vient demander de l'aide et celle de droite est assistante sociale. AprĂšs le film, tous les sujets remplissent une grille d'Ă©valuation constituĂ©e de 40 traits de personnalitĂ© positifs et nĂ©gatifs. Les sujets ont pour tĂąche de cocher les traits qui leur semblent le mieux correspondre Ă  la personnalitĂ© de chacune des deux femmes. On constate que les sujets perçoivent les deux femmes en fonction de l'Ă©tiquette que l'on a "collĂ©e" sur chacune d'entre elles. L'exposĂ© donne quelques notions thĂ©oriques pour comprendre les effets de la catĂ©gorisation." Il permet aussi de la resituer dans le contexte gĂ©nĂ©ral de la psychologie sociale. La vidĂ©o ci-dessous montre que, contrairement aux idĂ©es reçues, il n'est pas facile de reconnaĂźtre les Ă©motions sur le visage d'autrui. Anna TCHERKASSOF en fait ici la dĂ©monstration. Que sait_on vraiment de l'expression faciale des Ă©motions ?
2730 Likes, 32 Comments - HarcĂšlement de rue (@tesbonnejtebaise) on Instagram: “"Je ne crois que ce que je vois." . #harcelementderue #stopharcelementderue #toutenuedanslarue” 15 mars 2011 2 15 /03 /mars /2011 1433 Par peur d’ĂȘtre trompĂ©, ou de se tromper, il peut nous arriver d’adopter l’attitude de Saint Thomas, l’apĂŽtre qui ne voulait croire en la rĂ©surrection du Christ que lorsqu’il aurait vu et touchĂ© lui-mĂȘme ses plaies. La vision, la perception sensible en gĂ©nĂ©ral, ne nous met-elle pas devant la rĂ©alitĂ© elle-mĂȘme, telle qu’elle est ? S’il faut se mĂ©fier de ce qui nous vient d’autrui, ou de ce que notre imagination peut fabriquer, la perception semble ĂȘtre une source de connaissance fiable, et peut-ĂȘtre devrions-nous donc ne nous appuyer que sur elle, afin d’éviter tout risque d’erreur. Peut-ĂȘtre ne faudrait-il croire que ce que l’on voit. Mais deux problĂšmes, Ă©troitement liĂ©s, se posent alors. N’avons-nous pas besoin de croire en des affirmations qui ne sont pas issues de notre propre expĂ©rience perceptive ? Et cette perception est-elle au-dessus de toute critique ? Autrement dit l’expĂ©rience sensible est-elle la seule source de connaissance que nous pouvons admettre comme vĂ©ritable ? Pour le savoir, nous devons d’abord analyser les diffĂ©rentes formes de croyance puis dĂ©terminer celles qui sont considĂ©rĂ©es comme des connaissances. Nous devrons ensuite savoir d’oĂč nous viennent nos connaissances, puis examiner si la perception est vraiment fiable, si elle est bien la seule Ă  nous donner des connaissances indubitables, et si nous pouvons nous en contenter. Si tel est le cas, alors nous pourrons en conclure qu’en effet il vaudrait mieux ne croire que ce que l’on voit. Mais si nous constatons que la perception ne nous donne pas forcĂ©ment la vĂ©ritĂ©, ou si elle n’est pas la seule Ă  nous la donner, et si nous avons besoin de recourir Ă  des croyances qui ne reposent pas sur elle, alors nous pouvons lĂ©gitimement croire, du moins en partie, en ce qui n’est pas perçu. Commençons par nous arrĂȘter sur cette notion de croyance. Qu’est-ce que croire ? Croire c’est tenir une proposition pour vraie. Mais il y a plusieurs maniĂšres de tenir une proposition pour vraie. Ou bien cette proposition est considĂ©rĂ©e par moi comme une connaissance, ou bien ce n’est qu’une simple supposition, ou bien il s’agit d’une confiance trĂšs forte mais qui n’est pas du mĂȘme ordre qu’une connaissance au sens courant du terme. Donnons quelques exemples. Je crois que deux plus deux font quatre. Je peux mĂȘme dire que je le sais, c’est une connaissance. Par contre lorsque je dis que je crois qu’il fera beau demain, c’est une supposition. A vrai dire, je n’en sais rien. MĂȘme si j’ai de bonnes raisons de le croire j’ai Ă©coutĂ© le bulletin mĂ©tĂ©o, je n’en suis pas sĂ»r. Enfin, je peux dire que je crois que telle personne m’aime. Je peux le croire intensĂ©ment, au point que je n’en doute pas. Mais je ne peux dire que je le sais. La mĂȘme remarque s’appliquerait sans doute Ă  celui qui croit en Dieu. Quelle est la diffĂ©rence entre ces croyances ? Lorsque je sais, j’ai une expĂ©rience directe de la chose. Lorsque j’ajoute deux allumettes Ă  deux allumettes, le rĂ©sultat est toujours quatre, je le vois. Lorsque je crois qu’il fera beau, je ne vois pas le temps qu’il fera demain, je me contente de l’imaginer. Et lorsque je crois en l’amour d’une personne, ou en Dieu, je vais au-delĂ  de ce qui m’est donnĂ© dans une expĂ©rience sensible puisque je ne vois pas l’amour, je ne vois pas Dieu, en tout cas pas de la mĂȘme maniĂšre dont je vois une allumette. Je vois des signes de cet amour, ou je ressens son existence, mais cela reste des manifestations indirectes ou subjectives et il n’est pas du tout exclu que je me trompe, ou que je sois trompĂ©. Que pouvons-nous retirer de ce premier examen ? Qu’il y a plusieurs façons de croire, mais qu’il y en a une qui semble plus solide, c’est celle qui s’appelle connaissance. Quand je crois parce que je sais, alors cette croyance est solide. Et je sais lorsque j’ai une perception directe de la chose que je me reprĂ©sente. LĂ  je suis sĂ»r de ne pas ĂȘtre trompĂ©. On pourrait donc avancer, Ă  ce stade de notre Ă©tude, que celui qui veut Ă©viter l’erreur, c’est-Ă -dire la croyance en des propositions inexactes, doit se contenter des croyances qui sont des connaissances, c’est-Ă -dire des reprĂ©sentations vraies, en accord avec la rĂ©alitĂ©. Et comme c’est la perception sensible qui nous met en prĂ©sence de la rĂ©alitĂ© telle qu’elle est, alors celui qui veut avoir des croyances vraies doit se limiter Ă  ce que lui fournit cette perception. Il ne devrait croire que ce qu’il voit. Pourtant cette solution ne nous paraĂźt pas satisfaisante. D’une part nous avons vite accordĂ© que seule la perception sensible nous donnait une connaissance de la rĂ©alitĂ©. Nous n’avons pas vraiment analysĂ© la maniĂšre dont nous sommes censĂ©s acquĂ©rir des connaissances. Et sommes-nous sĂ»rs que cette perception soit aussi solide que ce que nous avons affirmĂ© ? D’autre part, nous avons fait comme si l’homme pouvait se contenter de ce qu’il sait. Mais il se pourrait fort bien que ce ne soit pas le cas. On peut avoir besoin de croire en l’amour de certains ĂȘtres, mĂȘme si l’on ne peut avoir de savoir certain Ă  ce sujet. Et certains hommes, au moins, ont besoin de croire en une rĂ©alitĂ© transcendante qui donne du sens Ă  la vie, mĂȘme s’ils accorderaient bien volontiers qu’ils n’ont pas une perception sensible de cette rĂ©alitĂ©. Et puis nous croyons tous, dans la vie courante et pour les besoins de notre Ă©ducation, Ă  des affirmations qui nous viennent d’autrui, sans que nous ayons nous-mĂȘmes fait l’expĂ©rience de ce dont elles parlent. Il nous faut donc reprendre cette recherche. Revenons d’abord sur la connaissance. Nous pouvons ici nous appuyer sur le travail de rĂ©flexion accompli par un grand philosophe, Ă  la fois mathĂ©maticien et physicien, Descartes. Car il a consacrĂ© une grande partie de son Ɠuvre Ă  se poser la question de la fiabilitĂ© de notre connaissance, ce qui rejoint tout Ă  fait notre propos. On sait d’ailleurs que le nom de ce philosophe a donnĂ© naissance Ă  un adjectif, cartĂ©sien, qui dans le langage courant renvoie Ă  une attitude trĂšs semblable Ă  celle de l’homme qui n’admet comme vrai que ce qu’il peut constater. Et en effet Descartes a voulu combattre l’erreur en s’efforçant de ne retenir comme bases de la connaissance que ce qui est certain. Mais comment savoir ce qui est certain et ce qui ne l’est pas ? Pour faire cette distinction, Descartes propose une voie originale celle du doute. Non pas le doute de celui qui hĂ©site entre plusieurs possibilitĂ©s, ou le doute de celui qui, déçu par de mauvaises expĂ©riences, ne veut plus croire en rien. Non, il s’agit au contraire du doute systĂ©matique et mĂ©thodique de celui qui veut atteindre la vĂ©ritĂ©. En effet le doute peut ĂȘtre une arme au service de la connaissance. Il suffit pour cela de faire porter le doute sur les sources mĂȘmes de la connaissance et de le rendre le plus exigeant possible. Il faut soumettre nos prĂ©tendues certitudes fondamentales au doute de façon Ă  dĂ©couvrir celles qui rĂ©sistent et celles qui succombent. Peut-ĂȘtre d’ailleurs rien ne passera l’épreuve avec succĂšs. Mais au moins dans ce cas saurons-nous qu’il n’y a rien de certain, et que je ne peux mĂȘme pas croire en ce que je vois. Descartes commence donc par relever qu’il y a trois sources de connaissances. La plus Ă©vidente, c’est la perception sensible, ce qu’on voit ». Par exemple je n’ai qu’à ouvrir les yeux pour me rendre compte de ce qui m’entoure et je peux mĂȘme me voir moi-mĂȘme, y compris en me mettant devant un miroir. Il y a aussi ce que je sais parce qu’autrui me l’a dit. Depuis ma famille jusqu’aux moyens d’information que sont les journaux, les livres aujourd’hui la radio, la tĂ©lĂ©vision, internet
 en passant bien sĂ»r par l’école. Enfin, il y a une autre source de connaissance, Ă  laquelle on ne pense pas d’ordinaire, c’est la raison. La raison peut permet de comprendre que deux plus deux font quatre. Nous avons dit tout Ă  l’heure que nous voyons qu’il en est ainsi. Mais il ne s’agit pas Ă  proprement parler d’une perception sensible. Ce n’est pas parce que je rassemble des allumettes que je connais la notion d’addition. C’est plutĂŽt parce que je comprends l’addition que je peux additionner des allumettes. De mĂȘme que je sais que deux quantitĂ©s chacune Ă©gale Ă  une troisiĂšme sont Ă©gales entre elles. Je n’ai pas besoin de vĂ©rifier ces affirmations par des expĂ©riences rĂ©pĂ©tĂ©es, je sais a priori qu’il en est ainsi parce qu’il y a une nĂ©cessitĂ© logique, rationnelle, qu’il en soit ainsi et pas autrement. Quelle est la fiabilitĂ© de ces sources de connaissance ? Ce qui vient d’autrui est Ă©videmment sujet Ă  caution. Certes je suis bien obligĂ©, dans la vie courante oĂč il s’agit d’ĂȘtre efficace et adaptĂ© Ă  la sociĂ©tĂ©, de faire confiance Ă  ceux qui paraissent avoir des connaissances que je n’ai pas. Je ferai confiance Ă  mes enseignants, Ă  mon mĂ©decin, au journaliste. Mais ce sera toujours une confiance conditionnelle et non totale. Relative, et non absolue. Ils peuvent se tromper, ou mĂȘme, dans certains cas, vouloir me tromper. Descartes a appris Ă  l’école, de la part de maĂźtres compĂ©tents et honnĂȘtes, des choses qu’il a ensuite reconnues comme erronĂ©es. Certes je ne dois pas adopter dans la vie quotidienne l’attitude de doute radical que Descartes utilise pour trouver les fondements indubitables du savoir. Et lui-mĂȘme insiste bien sur ce que ce comportement a d’artificiel et d’impraticable lorsqu’il s’agit d’action. Mais la leçon que nous pouvons tirer de cette critique de la connaissance venant d’autrui, c’est que nous ne devons pas nous fier aveuglĂ©ment Ă  ce qui est, par principe, douteux. Nous ne devons pas confondre la confiance que nous accordons Ă  ce que nous disent les autres et la certitude qui dans ce cas manque visiblement. Mais alors, cette certitude que nous dĂ©sirons, faut-il la chercher dans la perception immĂ©diate, dans l’expĂ©rience sensible ? Descartes nous montre qu’elle ne saurait s’y trouver. Non seulement il existe des erreurs de perception mais nous devons prendre conscience de la subjectivitĂ© de notre expĂ©rience perceptive. Ce que nous percevons, c’est en nous que nous le percevons. L’expĂ©rience du rĂȘve nous le rĂ©vĂšle de façon lumineuse, pour peu que nous soyons capables d’y faire attention. Lorsque nous rĂȘvons, nous croyons avoir affaire Ă  un monde extĂ©rieur, voir des gens, leur parler, agir
 Et lorsque nous nous rĂ©veillons, nous rĂ©alisons que tout ceci a eu lieu en nous, dans notre esprit. LĂ  encore, on se gardera bien de croire que Descartes voudrait que nous adoptions une sorte de scepticisme permanent. Dans la vie courante, nous croyons que nous ne rĂȘvons pas, et nous faisons comme si les perceptions que nous recevons venaient d’un monde extĂ©rieur. Nous avons bien raison d’agir ainsi. Mais nous aurions tort de penser que ce que nous voyons est la rĂ©alitĂ©. Ce que nous voyons, c’est notre maniĂšre de nous reprĂ©senter une rĂ©alitĂ© qui, en toute rigueur, est hypothĂ©tique. Les choses existent-elles comme je les vois ? Existent-elles tout court, au sens oĂč elles subsisteraient dans un monde spatial et temporel indĂ©pendant de ma pensĂ©e ? On peut, et on doit, se poser la question. L’erreur ne vient-elle pas justement de ce que nous assimilons trop vite notre vision de la rĂ©alitĂ© et la rĂ©alitĂ© elle-mĂȘme ? Sur la Terre, nous voyons trĂšs distinctement le mouvement du soleil dans le ciel. Mais il se pourrait que dans la rĂ©alitĂ©, ce soit plutĂŽt la Terre qui se dĂ©place, sans que nous nous en rendions immĂ©diatement compte. Descartes va radicaliser cette remise en cause de l’expĂ©rience immĂ©diate en faisant l’hypothĂšse d’un malin gĂ©nie, sorte d’entitĂ© trĂšs puissante et mal intentionnĂ©e qui serait capable de nous faire croire en l’existence d’un monde extĂ©rieur, de notre propre corps, simplement en nous envoyant des reprĂ©sentations qui nous paraissent tellement vraies », que nous acquiesçons Ă  leur suggestion. Cet ĂȘtre imaginaire a une fonction conceptuelle trĂšs prĂ©cise il nous rappelle qu’il y a une diffĂ©rence de principe entre percevoir un monde extĂ©rieur et ĂȘtre sĂ»r que ce monde existe. Passer de la pensĂ©e je perçois un monde » Ă  la pensĂ©e je sais qu’il y a un monde » suppose que l’on ait d’abord fait la preuve que ma pensĂ©e peut atteindre la rĂ©alitĂ© extĂ©rieure. Il faudrait montrer que le malin gĂ©nie n’existe pas. Il faudrait ĂȘtre sĂ»r que notre perception n’est pas uniquement subjective. Mais il reste la raison. La raison est Ă  la base de toutes les affirmations purement logiques. Elle produit aussi les affirmations concernant les nombres et les figures. En effet, il ne s’agit pas ici d’ĂȘtres rĂ©els », au sens physique du terme. Le mathĂ©maticien ne dĂ©montre pas un thĂ©orĂšme en allant mesurer des objets. Que la somme des angles d’un triangle soit Ă©gale Ă  180 °, ce n’est pas une affirmation qui est fondĂ©e sur la mesure des angles d’un grand nombre de triangles. C’est une affirmation qui dĂ©coule de la dĂ©finition du triangle selon Euclide. Ici, nous serions enfin arrivĂ©s Ă  la certitude. Ici la croyance ne risquerait plus d’ĂȘtre confrontĂ©e Ă  la dĂ©ception. Il y a des Ă©vidences rationnelles auxquelles nous avons raison de croire puisqu’il n’y aucune raison d’en douter. Cependant Descartes va trouver un moyen de remettre cette certitude » en question. Ce qui signifie d’abord et avant tout que la raison peut ĂȘtre critique d’elle-mĂȘme. Que la raison n’est pas un simple fonctionnement, mais une puissance de rĂ©flexion qui peut s’interroger elle-mĂȘme et douter du rĂ©sultat de ses opĂ©rations particuliĂšres. La seule chose, d’abord, que cette raison rĂ©flĂ©chissante ne peut rĂ©cuser, c’est elle-mĂȘme, le je pense » le Cogito » qui est prĂ©sent dans chaque pensĂ©e comme ce qui justement ne se contente pas de recevoir passivement un contenu, mais le pense, c’est-Ă -dire peut le nier, le remettre en question, refuser d’y croire. Cela ne rĂ©vĂšle rien moins que la libertĂ© dans sa dimension la plus fondamentale. Mais dĂšs lors que la rĂ©flexion porte sur un contenu dont elle veut assumer la prĂ©tention Ă  la vĂ©ritĂ©, l’évidence rationnelle doit elle-mĂȘme ĂȘtre fondĂ©e. Si je veux ĂȘtre absolument certain que deux plus deux font quatre, mĂȘme quand je n’éprouve plus dans l’instant la vĂ©ritĂ© de cette affirmation, alors il faut que je sois sĂ»r de la consistance de ma raison. Et je ne peux assurer sa consistance que si je sais d’oĂč vient ma raison, sa cause ultime. On sait comment Descartes prĂ©tend fonder la raison. Si Dieu existe, alors il ne peut ĂȘtre trompeur et il a fait l’homme dotĂ© d’une raison qui lui garantit de ne pas se tromper lorsqu’il procĂšde avec ordre et prĂ©caution. Or Dieu existe, puisque nous avons une idĂ©e de l’ĂȘtre infini, Dieu, que seul l’ĂȘtre infini a pu mettre en notre esprit. Si la raison est une source fiable de connaissances, ce n’est qu’à cette condition que nous puissions la fonder dans la vĂ©racitĂ© de l’auteur de notre ĂȘtre. RĂ©capitulons donc ce que nous apporte cet examen loin d’ĂȘtre la plus fiable de nos sources de connaissances, la perception est en position subordonnĂ©e. Pour croire en notre perception, il faut d’abord croire en l’existence d’un mode extĂ©rieur, et pour croire en l’existence d’un monde extĂ©rieur, il faut croire en l’existence de Dieu, ĂȘtre infiniment parfait qui nous a créé et ne peut souhaiter nous tromper. Nous avons dit croire », alors que Descartes aurait Ă©crit savoir ». Mais nous entendons ici par croyance le terme gĂ©nĂ©ral qui englobe toutes les affirmations que nous tenons pour vraies, quel que soit leur degrĂ© de certitude. En ce sens, nous pouvons dire que Descartes entend fonder la croyance certaine, le savoir, sur une premiĂšre certitude apodictique, le cogito, qui lui permet d’aboutir Ă  une seconde croyance certaine, l’existence de Dieu, jusqu’à s’assurer ainsi d’un ensemble de connaissances » fondĂ©es. On peut bien sĂ»r ne pas ĂȘtre convaincu par la fondation du savoir proposĂ©e Descartes. Les preuves de l’existence de Dieu qu’il expose n’ont pas emportĂ© la conviction de tous ses lecteurs. Mais il n’en reste pas moins qu’il a bien montrĂ© que la connaissance du monde extĂ©rieur supposait des concepts et un travail intellectuel qui n’étaient pas directement produits par la vision » de ce monde. La perception n’atteint une valeur objective que par son inscription dans un cadre rationnel. C’est parce que nous pensons ce que nous voyons que nous pouvons lĂ©gitimement y croire. La perception seulement passive ne serait que subjective. Elle ne commence Ă  recevoir un contenu objectif que parce que la raison la structure par ses concepts. Comme le montre Descartes dans sa cĂ©lĂšbre analyse d’un morceau de cire deuxiĂšme mĂ©ditation, c’est notre entendement » qui fait que nous voyons le mĂȘme objet en dĂ©pit des changements des sensations. Et c’est le secret de la science moderne que Descartes a contribuĂ© Ă  construire que d’appliquer systĂ©matiquement des concepts rationnels, au sens oĂč ils peuvent se prĂȘter Ă  une mesure et donc Ă  une mathĂ©matisation, Ă  l’expĂ©rience. De cette façon on ne se contente pas de percevoir, mais on entend parvenir Ă  connaĂźtre, au sens objectif du terme. Une perception isolĂ©e n’aurait guĂšre de sens si on ne pouvait la rattacher Ă  d’autres, la comprendre comme le moment d’une objectivitĂ© que notre raison essaie de construire, notamment en soumettant au test de l’expĂ©rimentation les consĂ©quences tirĂ©es de ses hypothĂšses. Ainsi lorsque Torricelli parvient Ă  peser l’air pour la premiĂšre fois, il dĂ©passe ce qui est directement vu pour atteindre une rĂ©alitĂ© qui n’était pas immĂ©diatement Ă©vidente. Est-ce Ă  dire que nous ne pouvons croire que ce que la science nous permet de voir », en ce sens qu’elle nous conduit Ă  accorder notre confiance en des concepts qu’elle peut rĂ©fĂ©rer, de façon plus ou moins indirecte, Ă  des observations objectives ? Ce serait oublier le caractĂšre irrĂ©mĂ©diablement relatif de l’objectivitĂ© scientifique. C’est ce nous rappelle Einstein dans un texte cĂ©lĂšbre oĂč il compare le scientifique Ă  un homme essayant de comprendre le mĂ©canisme d’une montre dont il ne pourra jamais ouvrir le boĂźtier. Le scientifique ne peut se contenter de ce qu’il voit, il invente des concepts pour comprendre ce qu’il observe. Ces concepts doivent ĂȘtre confrontĂ©s Ă  l’expĂ©rience. Si cette confrontation est rĂ©ussie, si la thĂ©orie qui utilise ces concepts est validĂ©e, le scientifique est parvenu Ă  son but. Mais il ne peut Ă©liminer la possibilitĂ© que d’autres concepts, porteurs d’une autre thĂ©orie, ne puissent expliquer tout aussi bien les phĂ©nomĂšnes observĂ©s. Pas plus qu’il ne peut ĂȘtre sĂ»r que de nouvelles observations ne vont pas infirmer sa thĂ©orie. Par principe, le scientifique ne peut comparer sa thĂ©orie Ă  la rĂ©alitĂ© au sens absolu du terme. Il ne peut la comparer qu’à ce qu’il observe. Et ce qu’il observe dĂ©pend dans une grande mesure de la thĂ©orie qu’il utilise. Si l’on rejette le fondement mĂ©taphysique que Descartes entendait donner Ă  la physique, Ă  la connaissance de la rĂ©alitĂ© extĂ©rieure, il ne reste que la confiance limitĂ©e que nous pouvons accorder Ă  la dĂ©marche scientifique, qui procĂšde par hypothĂšses et expĂ©rimentations. Alors, ne faut-il croire que ce que nous voyons ? La rĂ©ponse est rĂ©solument nĂ©gative. Nous ne pouvons nous limiter Ă  notre perception si nous voulons tenir pour vraies certaines affirmations. Et nous avons vu que pour les besoins de notre vie pratique, pour nous en tenir Ă  ce qui est le moins discutable, nous ne pouvions faire autrement que de d’accorder une certaine confiance Ă  des affirmations qu’aucune expĂ©rience directe ne vient corroborer. Certes, il faut garder un esprit critique et bien distinguer entre les diverses affirmations que nous sommes portĂ©s Ă  tenir pour vraies, Ă  croire. Il y a celles qui sont vĂ©rifiĂ©es, ou vĂ©rifiables, dans le sens oĂč elles peuvent ĂȘtre confrontĂ©es Ă  une expĂ©rience objective. Il y a celles qui sont simplement plausibles, parce qu’elles ne s’opposent Ă  aucune observation objective. Et il y a celles qui demanderaient une plus grande investigation, car elles ne rentrent pas dans le cadre des affirmations vĂ©rifiĂ©es, tout en Ă©tant difficilement rĂ©fĂ©rables Ă  une expĂ©rimentation. Cet esprit critique doit nous servir Ă  remettre en question nos croyances, nos convictions, et mĂȘme nos certitudes. La perception sensible, cette expĂ©rience directe et vĂ©cue qui a certes la force irrĂ©cusable de la prĂ©sence n’a pas pour autant le privilĂšge de la vĂ©ritĂ© et elle n’est mĂȘme pas le critĂšre indispensable de celle-ci. Nous avons besoin de croire au-delĂ  de ce que nous voyons, et nous avons le devoir de douter, si nous cherchons la vĂ©ritĂ©, de ce qui nous apparaĂźt comme le plus Ă©vident. Published by Clavier - dans La vĂ©ritĂ© .
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