Moij'ai rencontrĂ© mon homme il y a un an 1/2 sur le net. On ne s'est pas vus, ni par photo ni par web cam. On s'est parlĂ© pendant des semaines, on a appris Ă  se connaĂźtre (ce qui m'importait, c'est ce qu'il avait dans la tĂȘte et dans les tripes), je n'ai jamais doutĂ© de sa sincĂ©ritĂ© (pourtant je t'assure qu'il y a des cas sur le net, d'autant que par l'intermĂ©diaire d'un clavier et d Survol Verdict Évaluation Fichetechnique Votreavis Votre avis NOUVEAU! Cette section est maintenant ouverte Ă  tous. Que vous soyez membre CAA-QuĂ©bec ou simple visiteur, nous vous invitons Ă  partager votre expĂ©rience de ce vĂ©hicule! Attribuez-lui une cote en fonction des cinq critĂšres du formulaire et n’oubliez pas de lui donner une note d’apprĂ©ciation gĂ©nĂ©rale. De plus, n’hĂ©sitez pas Ă  commenter* son rendement d’ensemble au bĂ©nĂ©fice de la communautĂ©. * Voir la politique de modĂ©ration des commentaires. Votre avis Donnez votre avis Afficher les commentaires 1 - 10 03 novembre 2021RichardFiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' la fiabilitĂ© lĂ©gendaire de la marque Honda, notre CRV EX-L 2015 avec moteur 4 cyl. de 2,4L ne trahit pas la tradition. ÀprĂšs 100,000km au compteur, nous sommes toujours aussi satisfait du vĂ©hicule. Aucun problĂšme dĂ©tectĂ© Ă  ce jour au delĂ  d'un entretien rĂ©gulier. La consommation d'essence sur la route varie de Ă  7,5L/100km et 9,0 Ă  9,5L/100km en ville, ce qui est Ă  la hauteur de nos attentes. 30 aoĂ»t 2018Claude FiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' un CRV 2015 et comme tout les CRV 2015 et 2016 il vibre Ă  l'arrĂȘt. Et en plus problĂšme de cognement Ă  l'arriĂšre du vĂ©hicule a basse vitesse sur route cahoteuse. Mon concessionnaire Honda de Repentigny n'a rien rĂ©gler de ces deux problĂšmes leur rĂ©ponse c'est annĂ©e la c'Ă©tait leur dĂ©faut! Fini Honda pour moi. 05 mars 2017Solange de levisFiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' ai un crv 2015 et je suis trĂšs déçu gros problĂšme de vibration a l arrĂȘt . J ai appelĂ© 3 fois Honda Canada gros 0 pour la clientĂšle et mon vendeur nos a fait dĂ©placer 4 fois pour essayer de rĂ©gler le problĂšme aucun succĂšs . C'est fini pour moi le Honda. 27 fĂ©vrier 2017donaldFiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' ca reste au garage 26 fĂ©vrier 2017RonaldFiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' 2iĂšme crv. mon 2016 je l'ai depuis dĂ©cembre 2015. ProblĂšme de cognement sur mauvaise route quand tu roules en bas de 40km Ă  l'arriĂšre du vĂ©hicule. 3 fois chez le concessionnaire. ProblĂšme non rĂ©solue. Ils ont changĂ© les amortisseurs arriĂšres mais n'y fait. DĂ©solant car pour une cie sĂ©rieuse et un vĂ©hicule de ce prix. La Yaris de mon Ă©pouse est plus silencieuse Ă  basse visites sur des routes mauvaises. 14 fĂ©vrier 2017Chartier alainFiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' de suspension trĂšs dĂ©sagrĂ©able sur mon cru 2016. Honda ne peut trouver le problĂšme. AprĂšs 3 cru c'est mon dernier 12 novembre 2016RĂ©al LegaultFiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' suis trĂšs déçu et considĂšre un certain m'enfoutisse de Honda Des vibrations en accĂ©lĂ©ration lente et aux arrĂȘts. 10 novembre 2016AndrĂ© ValiquetteFiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' avoir utilisĂ© un CRV 2013 pendant 3 1/2 ans je suis trĂšs satisfait. Oui je suis d'accord avec le fait de la vibration Ă  bas rĂ©gime et je trouve aussi qu'il ne devrait y en avoir. Mais honnĂȘtement un moment donnĂ© tu ne t'en rends plus compte. Puisque pendant 4 ans je n'ai absolument eu aucun problĂšme avec le vĂ©hicule je viens juste d'en acheter un autre 2016. Je dirais que je prĂ©fĂšre le problĂšme de vibration Ă  un Ford Escape 2010 avec un bris de transmission aprĂšs seulement 6 mois. Fini pour moi les vĂ©hicules amĂ©ricanne 10 avril 2016MartinFiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' Ă  part le problĂšme de vibrations du moteur Ă  l'arrĂȘt ou lors de faibles accĂ©lĂ©rations, il s' agit d'un vĂ©hicule agrĂ©able et confortable. AprĂšs 23000 km, les vibrations persistent toujours ! Allo Honda Canada, il y a t'il quelqu'un qui peut rĂ©pondre ? 5e vĂ©hicule Honda jusqu'Ă  aujourd'hui et c'est le premier dĂ©sagrĂ©ment sĂ©rieux 22 mars 2016DanielFiabilitĂ© et confort et et comportement d'essence ou d' de vibration modĂšle ex-l 2015. Le vehicule aura un ans et 24000km d'ici la fin du mois d'avril. Actuellement mon concessionnaire n'a aucune solution au vibration... Je suis déçu de l'attitude de honds canada Publication de l'essai 2015-09-24
Signen° 5 : Il a dû mal à trouver chaussure à son pied. Alors que tu avais l'impression de vivre quelque chose de fort, il a fait voler
Je suis dĂ©jĂ  venu ici, j’ai dĂ©jĂ  vĂ©cu ce moment, j’ai dĂ©jĂ  vu cette personne
 Nous avons tous connu cette Ă©trange sensation. Jeu de la mĂ©moire, de l’inconscient ou de nos Ă©motions comment expliquer ces impressions passagĂšres ? Parfois, c’est juste le quotidien qui se dĂ©cale un peu. Un repas entre amis, et soudain surgit le sentiment d’avoir dĂ©jĂ  vĂ©cu cette scĂšne au dĂ©tail prĂšs – au point que, pendant quelques instants, elle paraĂźt presque prĂ©visible. Mais que dire lorsque ce dĂ©jĂ  vu » arrive dans une ville Ă©trangĂšre, ou lors d’une rencontre avec des inconnus ? Rien, alors, qui puisse rappeler le passĂ©. Et pourtant, lĂ  encore, lieu, personnes, Ă©vĂ©nements, tout semble familier. Etrange sensation, oĂč se mĂȘlent surprise, incrĂ©dulitĂ©, inquiĂ©tude, curiositĂ© ! Une envie de magie s’y glisse, celle d’un bref passage de l’autre cĂŽtĂ© du miroir », du fugace rĂ©veil d’un don paranormal permettant de sortir du temps, de voir le futur, de revivre le passĂ©. Et puis tout s’estompe. En quelque secondes le passĂ© redevient connu, le prĂ©sent incertain et le futur, toujours aussi mystĂ©rieux – mĂȘme si les derniĂšres dĂ©couvertes sur le cerveau commencent Ă  lever le voile. Un objet de fascination inquiĂ©tante Mais cette sensation de dĂ©jĂ  vu, que 60 Ă  70 % des gens disent avoir expĂ©rimentĂ©e au moins une fois dans leur vie, ne se laisse pas oublier facilement. Elle pose trop de questions, sur notre perception du temps, notre conscience et mĂȘme notre inconscient, comme en tĂ©moigne le philosophe italien Remo Bodei dans un livre rĂ©cent. Si l’expression dĂ©jĂ  vu » ne sera forgĂ©e qu’en 1876 par Emile Boirac, in Revue philosophique de la France et de l’étranger », vol I, 1876, t.. I, p. 430, le phĂ©nomĂšne, montre Bodei, intrigue depuis l’AntiquitĂ©. Les philosophes platoniciens et pythagoriciens voyaient en lui le souvenir d’une vie antĂ©rieure, les stoĂŻciens plaidaient pour l’éternel retour du mĂȘme ». Aristote, cĂ©lĂšbre pour son esprit pratique, avait beau essayer de remettre les choses en place en dĂ©fendant l’idĂ©e d’un simple trouble psychique, rien n’y faisait, le dĂ©jĂ  vu gardait sa magie. A tel point que saint Augustin, au IVĂš siĂšcle, s’en inquiĂ©ta. Comme aprĂšs lui l’Eglise, il se mĂ©fiait de cette Ă©trange impression, qu’il attribua au dĂ©mon venant nous tenter avec des idĂ©es de vie antĂ©rieure ou de rĂ©incarnation. Une telle source d’inspiration ne pouvaient pas laisser indiffĂ©rents les artistes, Ă©crivains ou poĂštes. Non, Temps, tu ne te vanteras point que je change ! », s’exclame Shakespeare, car tout n’est que spectacle dĂ©jĂ  vu ». Au XIXĂšme siĂšcle, le phĂ©nomĂšne devient incontournable dans la littĂ©rature, de Dickens ou Chateaubriand qui en Ă©tait obsĂ©dĂ©, Ă  Baudelaire puis Ă  Proust bien sĂ»r, pour qui la sensation semblait dire "Saisis-moi au passage si tu en as la force, et tĂąche Ă  rĂ©soudre l’énigme de bonheur que je te propose." » in A la Recherche du Temps Perdu, tome II Gallimard, 1987 Un souvenir refoulĂ© Freud lui-mĂȘme ne rĂ©siste pas Ă  cet appel, et trouve au dĂ©jĂ  vu une place dans sa grille de lecture. Mais ce n’est rien d’autre Ă  ses yeux que la remontĂ©e incomplĂšte d’un souvenir refoulĂ©, cachant un traumatisme ou un dĂ©sir inacceptable pour le Surmoi. En ce qui concerne les quelques rares et rapides sensations de dĂ©jĂ  vu que j'ai Ă©prouvĂ©es moi-mĂȘme, ajoute Freud, 
 il s'agissait chaque fois du rĂ©veil de conceptions et de projets imaginaires inconnus et inconscients qui correspondait, chez moi, au dĂ©sir d'obtenir une amĂ©lioration de ma situation. » in Psychopathologie de la vie quotidienne, ch 12 - Payot, 1975 Comme le rĂȘve, le dĂ©jĂ  vu serait une expression de nos dĂ©sirs secrets ? C’est la raison de son "inquiĂ©tante Ă©trangetĂ©", estime la psychanalyste Nelly Jolivet cette confrontation entre familiaritĂ© et surprise signale que l’on touche Ă  de l’interdit. » Jung, lui, Ă©voquait un dĂ©jĂ  vu Ă©prouvĂ© lors d’un voyage au Kenya, alors qu’il croisait un vieillard – figure de l’homme sage – , et reliait cette impression au rĂ©veil d’un archĂ©type. Un dĂ©rapage incontrĂŽlĂ© du cerveau Souvenir cachĂ©, dĂ©sir secret ou reprĂ©sentation symbolique, le dĂ©jĂ  vu n’a en tout cas plus rien Ă  voir avec les dons paranormaux ou les vies antĂ©rieures, et la science du XXIĂš siĂšcle va donner le coup de grĂące aux derniĂšres rĂȘveries. Elle ramĂšne, en effet, Ă  la rĂ©alitĂ© qu’Aristote avait soupconnĂ©e une histoire de cerveau qui dĂ©rape. L’étude de l’épilepsie – dont les crises sont parfois prĂ©cĂ©dĂ©es d’épisodes de dĂ©jĂ  vu – a permis aux neurologues de repĂ©rer le responsable de cette impression un bref dysfonctionnement, dans une zone du cerveau limbique impliquĂ©e dans la mĂ©moire autobiographique face mĂ©diane du lobe temporal - cortex entorhinal, amygdale, hippocampe et gyrus parahippocampique. On sait le provoquer par stimulation Ă©lectrique, et une Ă©tude menĂ©e Ă  l’universitĂ© de Leeds Royaume-Uni tente aujourd’hui de le produire par hypnose. Selon une autre explication, le dĂ©jĂ  vu normal » proviendrait d’un dĂ©calage, provoquĂ© par la fatigue, le stress ou l’ivresse, dans le systĂšme neuronal chargĂ© de distinguer, dans une scĂšne, le connu du nouveau. EmbrouillĂ©, notre cerveau prendrait pour un souvenir les messages que les sens lui envoient au prĂ©sent. le cortex pĂ©rirhinal Le dĂ©jĂ  vu n’est donc qu’une fausse impression, peut-ĂȘtre chargĂ©e d’un sens qui reste Ă  dĂ©couvrir, comme tout ce qui vient de l’inconscient. Faut-il pour autant renoncer Ă  savourer cet Ă©tonnant instant ? MĂȘme en sachant qu'il n'y a rien de surnaturel, rĂ©pond le romancier Philippe Janeada, c'est enthousiasmant le temps qui passe n'est pas aussi puissant, invincible qu'on le dit, puisqu'il semble que nous parvenions, pour quelques milliĂšmes de secondes, Ă  le prendre de vitesse. On se sent fort, on vibre un instant, on a la tĂȘte qui tourne et on revient dans la vie normale. Mais un instant, c'est toujours bon Ă  prendre. » Un peu de magie, Ă  dose homĂ©opathique. A lire La sensation de dĂ©jĂ  vu , de Remo Bodei professeur Ă  l’universitĂ© de Californie, l’auteur soumet les nombreuses interprĂ©tations du dĂ©jĂ -vu » au questionnement philosophique Seuil, 2007. Pourquoi la vie passe plus vite Ă  mesure qu’on vieillit ?, de Douwe Draaisma professeur de psychologie Ă  l’universitĂ© de Groningen Pays-Bas, il explore les mĂ©andres de la mĂ©moire autobiographique Flammarion, 2008. DĂ©jĂ  vu, de Philippe Jaenada et Thierry Clech un mĂ©lange de textes et photos pour nous plonger dans cette sensation PC Editions, 2007. A Ă©couterDĂ©jĂ  vu, Crosby, Stills, Nash & Young, 1970, Atlantic Records A voir -DĂ©jĂ  vu, de Tony Scott, avec Denzel Washington et Val Kilmer 2007 au fil d’une enquĂȘte, un agent de la FBI dĂ©couvre que la sensation de dĂ©jĂ -vu » est un outil prĂ©cieux de la mĂ©moire, qui doit le mener Ă  l’arrestation de jour sans fin, de Harold Ramis, avec Andie Mac Dowell et Bill Murray 1993 comĂ©die fantastique devenue culte, oĂč un journaliste apparaĂźt condamnĂ© Ă  revivre indĂ©finiment la mĂȘme journĂ©e. Aussi automatiquement, et c'est humain, l'autre, les autres, regardent, ne comprenant pas le plus souvent pourquoi l'individu en question les regarde. Le complexĂ© projette son problĂšme vers l'extĂ©rieur, il va attirer le regard de par son comportement, son attitude, et toujours sans en avoir conscience. Un tel se trouve gros et en est complexĂ©. Salut tout le monde !. DĂ©cembre dernier j'ai tentĂ© de me suicidĂ© pour x raison ma mĂšre l'a su et j'ai Ă©tĂ© hospitalisĂ© Ă  St Anne lĂ  bas j'ai fais la rencontre d'une nana.. quand nos regards se sont croisĂ©s je vous jure que j'ai pas du la lĂącher des yeux durant une bonne minute au moins et elle non plus. Quand j'ai fais connaissance avec cette fille une impression me submergĂ© si je puis dire, comme si je l'avais toujours connu c'est juste ouf. On avait les mĂȘmes points en commun . J'avais vraiment jamais ressenti ca. D'autres dans mon cas? Peu ĂȘtre que ça a un lien avec l'hospitalisation? MĂ©docs? Tu tente de te suicide et tu te pose des questions inutile. Ta fumer un bon p ti joint avant de sauter par la fenĂȘtre comment on peut rater un suicide ? J'ai engloutie une boĂźte de theralene pour les curieux Oais j'ai eu la mĂȘme chose avec une ex, c'est chelou T'as l'air ravagĂ© mec, dommage que tu te sois ratĂ©....Bon cela dit il ne faut pas recommencer hein. c'est un repere de paumĂ©s en manque d'affection les HP ça n'a rien d'etonnant, de plus ils te filent des medocs pour que tu aies l'impression que la vie est belle, tout ça c'etait dans ta tete, et te mets surtout pas en couple avec une fille qui etait las bas, c'est un conseil d'ami Drum arsenal c'est vraiment degeu ce genre de commentaire Pas grand chose ne se produit "par hasard", il est tout Ă  fait possible que vos TS commune est Ă©tĂ© faites pour que vous vous retrouviez ici. Falot elle Ă©tait lz pour troubles alimentaires elle est boulimique mais je suis d'accord je ne crois plus au hasard Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ? Ilexiste des mĂ©dicaments mais ça dĂ©pend de votre Ăąge, s'il existe ou pas une atrophie du cerveau, ils ne doivent pas ĂȘtre pris sans un diagnostic formel des troubles de mĂ©moire par un neurologue, si c'est pour quelqu'un qui travaille dur et qui a des troubles de la concentration, il faudra prendre des vitamines, voir si le sommeil est bon, car une manque du

Return to the blog of mati9201 tu sais...tu peux déconner, dire ce que tu penses, ou juste discuter....et tu sais....lllllllltu l'aimes déjàpour toi leila !!!!!!!! Posted on Monday, 24 September 2007 at 1112 PMEdited on Monday, 24 September 2007 at 1151 PM Comments Hearts Remix Comment Don't forget that insults, racism, etc. are forbidden by Skyrock's 'General Terms of Use' and that you can be identified by your IP address if someone makes a in Leila, Posted on Wednesday, 26 September 2007 at 244 PM OH MA NINOOOUU !! AAAAAH mdr exxcité d'la vie Je t'aiime fort fort fort fort fort Putain tu t'rends compte ça fait bientÎt un mois qu'on se connait ! <3<3<3 J'taaaaiiiiiimeeee !! Bizouuux RSS

Prenezle temps de vous mettre à votre avantage, c’est un cadeau que vous faites à vous et aux autres. 2) Être à l’heure Les absents ont toujours tort et
Accueil Sujets Citation du jour Meilleures citations Amis Mahmoud El Hallab 4personnes ont vu cette citation Plus de citations de cet auteur 0Je me souviens toujours de ces petits moments passĂ©s avec toi. Ils ne signifiaient peut-ĂȘtre rien pour toi, mais pour moi, des souvenirs comme ceux-lĂ  sont censĂ©s durer Ă©ternellement dans mon cƓur. Mahmoud El Hallab - March 15, 2022 0J’espĂšre qu’un jour, dans des annĂ©es, nous nous reverrons. Et j’espĂšre que lorsque vous me verrez, vous penserez Wow, je ne peux pas croire que j’ai laissĂ© quelqu’un d’aussi incroyable sortir de ma vie. Mahmoud El Hallab - March 12, 2022 0Je l’aimais mais elle ne m’aimait pas en retour. J’ai fait de mon mieux, mais Ă  la fin, elle m’a traitĂ© comme les autres. Maintenant, je suis ici tout seul Ă  me demander oĂč je me suis trompĂ©. Je rĂȘvais juste de ce qui aurait pu ĂȘtre si elle Ă©tait toujours lĂ . Mahmoud El Hallab - March 16, 2022 0J’ai souvent Ă©chouĂ© Ă  courir aprĂšs des gens qui ne ressentaient pas la mĂȘme chose pour moi. Je les ai traitĂ©s comme s’ils Ă©taient tout pour moi, mais ils m’ont juste traitĂ© comme une autre personne qu’ils connaissaient. J’ai abandonnĂ© de nombreuses fois et pourtant, chaque fois que je commence Ă  aimer quelqu’un de nouveau, cela n’a jamais tendance Ă  fonctionner
 et cela me dĂ©chire Ă  l’intĂ©rieur de rĂ©aliser qu’ils commencent Ă  disparaĂźtre de ma vie et qu’ils finiront par disparaĂźtre. Mahmoud El Hallab - March 7, 2022 0DĂ©solĂ© d’avoir dĂ» te laisser partir mais je ne pouvais plus tenir le coup. Ça me tue de te laisser partir mais c’est encore pire de voir que tu ne te soucies pas du tout de moi. Tu reprĂ©sentes tout pour moi mais je suppose que pour toi, je ne suis qu’un autre ami. Plus je m’accroche, plus je vais me faire mal. Un jour, je regarderai en arriĂšre et je regretterai et je souhaiterai avoir essayĂ© plus fort, mais la triste vĂ©ritĂ© est qu’à la fin, celui qui est blessĂ© n’est pas toi, c’est moi. Mahmoud El Hallab - March 15, 2022 0Ce n’est pas de l’amour s’il te fait pleurer. Ce n’est pas de la confiance s’il pense que chaque mot est un mensonge. Ce n’est pas bien de bien traiter quelqu’un et de ne pas retrouver le mĂȘme sentiment. ChĂ©rie, ouvre les yeux, ce n’est pas le seul gars sur Terre. Il y a des millions de mecs qui t’attendent. Ne le laisse pas te briser. Mahmoud El Hallab - March 16, 2022 Plus de citations sur ce sujet 0De vrais amis seront toujours lĂ  Ă  vos cĂŽtĂ©s, mĂȘme lorsque vous leur dites de partir. Inconnu - March 15, 2022 0L’amitiĂ© commence par de petites discussions; puis se transforme en une conversation longue et profonde, la prochaine chose que vous savez 
 vous vous souciez tellement. Lundi de Londres - March 15, 2022 0Les conseils d’amour de votre petite amie sont aussi bons que la relation qu’elle entretient actuellement. Inconnu - March 15, 2022 0La vie Ă©tait faite pour de bons amis et de grandes aventures. Inconnu - March 15, 2022 0L’argent n’achĂšte pas les amis, il les loue. Lorsque vous n’avez plus d’argent, votre bail prend fin. Inconnu - March 15, 2022 0Le plus proche que je puisse comprendre, Aimez vos Ennemis signifie, DĂ©testez vos Amis Benjamin Franklin - March 15, 2022 Autres SujectsApprĂ©cie la vie3468Leçon de vie2340mariage2227Tout ce que je veux c'est toi1908ApprĂ©ciation1728LĂącher prise1478medical1375Conseils relationnels1205positif1116Vie incroyable1060 À PROPOS DE NOUSCitations Sages fournit des citations inspirantes depuis 2021 Ă  notre communautĂ© française. © Citation Sages - 2022
Cen'est pas pour l'argent bien sur c'est insignifiant mais bien qu'il n'a pas respectĂ© notre petite entente, que j'ai pris le soin de faire un bÔ CD, un bÔ paquet et aussi je pense qu'il n'a pas sa place sur ce Forum qui n'est pas dans cette Ă©tat d'esprit, loin de lĂ  !!!! Alors si quelqu'un connait ce MÔssieur qu'il lui botte le derriere Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232341 Je suis comme toi l'auteur j'ai cette impression aussi mais je crois qu'on est surtout un peu aigris et le monde est comme ca en FranceEncore plus si tu es moche reveillez vous, arretez de vivre dans vos fantaisies digne de Disney Le mecs te mettent dans tes cases direct par rapport a ton livre/film prĂ©fĂ©rĂ© mais tout va bien, tu te vaccines limite ils vont te bruler sur une croix Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232124 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  231941 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  231817 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  231501 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  231228 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  231040 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  230725 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  230641 Que tout le monde "sait mieux que les autres" Que tout le monde "fait mieux que les autres, d'une meilleure maniĂšre" Dans ce cas, faut ĂȘtre meilleur qu'eux, et leur agiter devant le nez Perso ça m'Ă©puise de me comporter comme ça... Et quand je suis objectivement "meilleur", mes "revendications" douces ne suscitent aucune rĂ©action, justement les gens passent vite Ă  autre chose pour surtout pas me mettre en valeur, ça me fume Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  230800 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  230719 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  230618 Entre amis, on se taille gĂ©nĂ©ralement sur nos Ă©tudes, nos emplois, nos copines, ... Mais ça reste bon enfant, ça n'est jamais de la mĂ©chancetĂ© rĂ©elle Justement je parle pas de petite taquinerie ouverte, mais d'un climat ambiant, malsain, jamais exprimĂ© explicitement, trĂšs insidieux... Tu vois ? Oui je comprends ce que tu veux dire Tu bosses dans le milieu de la finance ou un domaine du genre ?Non mĂȘme pas, Ă  vrai dire je parle plus de la sphĂšre privĂ©e amis, famille, gens lambda que pro Je crois malheureusement que tu frĂ©quentes des gens "toxiques" Le mieux, si tu n'as pas envie de rentrer dans leur jeu, c'est de les ignorer quand ils commencent Ă  se comporter comme des coqs Je persiste Ă  croire qu'il n'y a pas vraiment de "gens toxiques" sauf cas extrĂȘmes, mais seulement des "relations toxiques", mais la finalitĂ© est la mĂȘme oui. Les ignorer c'est ce que je fais de plus en plus, et rĂ©sultat on ne partage plus rien quoi C'est risibleC'est d'une candeur extrĂȘme, mais non, tu vois bien que tu n'es pas responsable de leurs comportements arrogants Responsable non, mais dans le sens oĂč c'est peut-ĂȘtre moi qui reçois leur comportement de cette maniĂšre, et que d'autres ne les trouveraient pas du tout arrogants par exemple. C'est ça que je veux dire par "relation toxique" Depuis quelques jours j'essaye clairement d'Ă©largir mes cercles de connaissances, vers des gens d'autres sphĂšres en effet J'espĂšre que tu trouveras des gens qui te correspondent mieux Merci clĂ© Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232341 Je suis comme toi l'auteur j'ai cette impression aussi mais je crois qu'on est surtout un peu aigris et doit clairement jouer. Manque d'estime de soi et de confiance en soi latent aussi probablement Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232443 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232341 Je suis comme toi l'auteur j'ai cette impression aussi mais je crois qu'on est surtout un peu aigris et le monde est comme ca en FranceEncore plus si tu es moche reveillez vous, arretez de vivre dans vos fantaisies digne de Disney Le mecs te mettent dans tes cases direct par rapport a ton livre/film prĂ©fĂ©rĂ© mais tout va bien, tu te vaccines limite ils vont te bruler sur une croixJe pense pas ĂȘtre laid tout de mĂȘme Et puis on connait mĂȘme pas nos goĂ»ts profonds, je trouve les gens creux, nos relations creuses Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232837 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232443 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232341 Je suis comme toi l'auteur j'ai cette impression aussi mais je crois qu'on est surtout un peu aigris et le monde est comme ca en FranceEncore plus si tu es moche reveillez vous, arretez de vivre dans vos fantaisies digne de Disney Le mecs te mettent dans tes cases direct par rapport a ton livre/film prĂ©fĂ©rĂ© mais tout va bien, tu te vaccines limite ils vont te bruler sur une croixJe pense pas ĂȘtre laid tout de mĂȘme Et puis on connait mĂȘme pas nos goĂ»ts profonds, je trouve les gens creux, nos relations creuses Parce que tu vas les utiliser contre elle, oui les personnes sont dingue meme moi je suis comme caAu final y a des gens qui ont des passion incroyable qui ne vont jamais les dĂ©voiler au grand public car honte, marrant alors qu'on est dans une Ă©poque d'acceptation Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232357 Cafey_allongey4 a Ă©crit Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232113 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  231618 Cafey_allongey4 a Ă©crit Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  231345 Oui je pense que je vois ce que tu veux dire un peu Les gens qui te connaissent pas tant que ça et qui sont bourrĂ©s d'idĂ©es prĂ©conçues, qui sont matĂ©rialistes, tu sens que le jour oĂč t'auras une meilleure voiture qu'eux ils seront jaloux, en effet car ils ne s'intĂ©ressent pas vraiment Ă  toi, et surtout, dĂšs qu'un domaine ou quelque chose est important pour toi soit parce que t'aimes ça, ou surtout parce que t'es BON et meilleur qu'eux dedans bah ils dĂ©nigrent ce domaine, n'en parlent plus, etc. Le mec qui apprend que t'as fait un truc qu'il ne te pensait pas capable de faire et qui perd instantanĂ©ment sa joie de vivre Les gens qui essaient de se rassurer en t'attribuant des dĂ©fauts que tu n'as pas forcĂ©mentJe suis pas dans un milieu trĂšs toxique mais parfois il y a des petits lapsus, des petits dĂ©bordements et tu comprends l'envers du dĂ©cor Mon Dieu clĂ© ta premiĂšre phrase, c'est exactement ça avec certains Surtout quand c'est pas dans ton habitude de te vanter, hop tu laisses entendre quelque chose de positif sur toi, et leur visage se dĂ©compose, ils changent ultra vite de sujet, comme si tu n'avais RIEN dit Faudra pas qu'on s'Ă©tonne si on nous trouve froids, distants et mĂ©fiants aprĂšs Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232943 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232837 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232443 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232341 Je suis comme toi l'auteur j'ai cette impression aussi mais je crois qu'on est surtout un peu aigris et le monde est comme ca en FranceEncore plus si tu es moche reveillez vous, arretez de vivre dans vos fantaisies digne de Disney Le mecs te mettent dans tes cases direct par rapport a ton livre/film prĂ©fĂ©rĂ© mais tout va bien, tu te vaccines limite ils vont te bruler sur une croixJe pense pas ĂȘtre laid tout de mĂȘme Et puis on connait mĂȘme pas nos goĂ»ts profonds, je trouve les gens creux, nos relations creuses Parce que tu vas les utiliser contre elle, oui les personnes sont dingue meme moi je suis comme caAu final y a des gens qui ont des passion incroyable qui ne vont jamais les dĂ©voiler au grand public car honte, marrant alors qu'on est dans une Ă©poque d'acceptationMais pas du tout, j'adorerais tirer les gens vers le haut, quels que soient leurs objectifs ou leur vocation... Bah clairement, parler de passion profonde quand les autres en ont pas vraiment, ils te snob, critiquent, ou au MIEUX sont juste pas intĂ©ressĂ©s et attendent qu'une chose c'est que tu fermes ta gueule quoi Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232959 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232357 Cafey_allongey4 a Ă©crit Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  232113 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  231618 Cafey_allongey4 a Ă©crit Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  231345 Oui je pense que je vois ce que tu veux dire un peu Les gens qui te connaissent pas tant que ça et qui sont bourrĂ©s d'idĂ©es prĂ©conçues, qui sont matĂ©rialistes, tu sens que le jour oĂč t'auras une meilleure voiture qu'eux ils seront jaloux, en effet car ils ne s'intĂ©ressent pas vraiment Ă  toi, et surtout, dĂšs qu'un domaine ou quelque chose est important pour toi soit parce que t'aimes ça, ou surtout parce que t'es BON et meilleur qu'eux dedans bah ils dĂ©nigrent ce domaine, n'en parlent plus, etc. Le mec qui apprend que t'as fait un truc qu'il ne te pensait pas capable de faire et qui perd instantanĂ©ment sa joie de vivre Les gens qui essaient de se rassurer en t'attribuant des dĂ©fauts que tu n'as pas forcĂ©mentJe suis pas dans un milieu trĂšs toxique mais parfois il y a des petits lapsus, des petits dĂ©bordements et tu comprends l'envers du dĂ©cor Mon Dieu clĂ© ta premiĂšre phrase, c'est exactement ça avec certains Surtout quand c'est pas dans ton habitude de te vanter, hop tu laisses entendre quelque chose de positif sur toi, et leur visage se dĂ©compose, ils changent ultra vite de sujet, comme si tu n'avais RIEN dit Faudra pas qu'on s'Ă©tonne si on nous trouve froids, distants et mĂ©fiants aprĂšs Ah ça... C'est parce que tu manques de confiance en toi , ce qui t'oblige Ă  redoubler d'effort pour te mettre au niveau de ton groupe socialo-professionnel , et donc ça te donne l'impression d'ĂȘtre dans une compĂ©tition permanente , alors qu'en vrai personne calcule personne. Message Ă©ditĂ© le 13 aoĂ»t 2022 Ă  233413 par ModoGrasWoke301 J’ai effectivement un collĂšgue ultra condescendant, c’est jamais de sa faute , quand il fait une connerie il trouvera toujours un moyen pour dire que c’est la faute de lui ou d’elle ou de ceci, cela . Par contre quand c’est toi qui fait une erreur ce sera le premier Ă  t’éclater .Ca m’exaspĂšre c’est genre de comportement mais ça fini toujours par se payer Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  233346 C'est parce que tu manques de confiance en toi , ce qui t'oblige Ă  redoubler d'effort pour te mettre au niveau de ton groupe socialo-professionnel , et donc ça te donne l'impression d'ĂȘtre dans une compĂ©tition permanente , alors qu'en vrai personne calcule crois voir ce que tu veux dire mais tu peux prĂ©ciser ce que tu entends par "te mettre au niveau de ton groupe socialo-professionnel" ? Au niveau sur quels plans ? y en a plein des gens comme ça malheureusement, personnellement je supporte plus change d'environement kheyles gens condescendant s'atirent entre eux, parfois c'est Ă  l'echelle d'une ville Message Ă©ditĂ© le 13 aoĂ»t 2022 Ă  233927 par refedoj741 Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  233413 J’ai effectivement un collĂšgue ultra condescendant, c’est jamais de sa faute , quand il fait une connerie il trouvera toujours un moyen pour dire que c’est la faute de lui ou d’elle ou de ceci, cela . Par contre quand c’est toi qui fait une erreur ce sera le premier Ă  t’éclater .Ca m’exaspĂšre c’est genre de comportement mais ça fini toujours par se payerEn entreprise ça doit ĂȘtre une belle merde aussi en effet Le 13 aoĂ»t 2022 Ă  233836 change d'environement kheyles gens condescendant s'atirent entre eux, parfois c'est Ă  l'echelle d'une villeC'est clairement ce que j'essaye de faire ces derniers jours Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?

Cebesoin de se pencher sur son passĂ© est d’autant plus vivace quand on a depuis toujours eu l’impression de percevoir des non-dits. Chaque famille a ses secrets, plus ou

Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclagePartagez AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Sam 27 Nov - 2326 Une soirĂ©e en boite. C’était exactement ce dont Tom avait besoin pour se changer les idĂ©es aprĂšs cette semaine Ă©reintante. Il avait dĂ» rattraper les deux derniĂšres semaines qu’il avait ratĂ© Ă  cause d’une sale grippe, avait passĂ© des heures et des nuits blanches Ă  tout apprendre, Ă  s’entrainer pour les sĂ©lections de basket, et entre deux il avait rĂ©ussi Ă  se disputer avec sa petite amie. La totale. Alors quand enfin le samedi soir arriva il dĂ©cida qu’une soirĂ©e en boite de nuit ne pourrait que lui faire du bien. A peine arrivĂ© le tressĂ© avait un verre dans les mains et se posait au bar en regardant les corps s’agiter sur la piste de danse. Il y avait ceux qui s’amusaient simplement entre amis, les quelques coincĂ©s qui osaient Ă  peine amorcer un mouvement et donnaient l’impression d’avoir un balai dans l’anus, ceux qui dansaient collĂ© serrĂ© et annonçaient que de leur cĂŽtĂ© la nuit serait chaude. Comme toujours. Et comme toujours il y avait ceux qui, aprĂšs quelques verres de trop, n’étaient plus maitres de leurs actes. Ce soir Tom se rangeait dans cette catĂ©gorie. Il Ă©tait complĂštement ivre et embrassait Ă  en perdre haleine une jeune brune qui n’était pas Sara. Le corps de la jeune fille Ă©tait coincĂ© entre le sien et le mur, oĂč il s’appuyait d’une main pour ne pas perdre l’équilibre. Et il l’embrassait sans pouvoir s’arrĂȘter. Sa main libre se faisait baladeuse, voyageant sur le corps fin de l’étudiante sous ses vĂȘtements, le dĂ©couvrant sans mĂȘme prendre conscience que ce qu’il faisait n’était pas correct envers sa petite amie. En fait ce qu’il ressentait Ă©tait si fort qu’il ne voulait pas – du peu de conscience qu’il n’avait pas enseveli sous l’alcool – en prendre conscience. Jamais encore il n’avait ressenti pareille sensation juste en embrassant une fille. Et ce qu’il dĂ©couvrait avec elle lui plaisait Ă©normĂ©ment. Puis, dans un Ă©clair de luciditĂ©, le musicien rĂ©alisa quelque chose. Ils avaient beau s’embrasser depuis prĂšs de vingt minutes il ne savait mĂȘme pas son prĂ©nom et elle ne connaissait pas non plus le sien. Or il voulait remĂ©dier Ă  cette situation. Il passa donc sa main dans les cheveux noirs de la jeune femme en souriant, son regard glissant sur son visage. Elle Ă©tait belle. Oui, trĂšs belle. Moi c’est Tom »Puis, ne supportant plus de ne pas avoir de contact avec elle, il entreprit de dĂ©vorer tendrement son cou alors qu'il la serrait plus fortement dans ses bras, ses mains se baladant dans le bas de son dos avant de descendre sur ses fesses. Etait-ce parce qu'il Ă©tait ivre qu'il avait cet irrĂ©pressible besoin de la toucher ? Ou peut ĂȘtre Ă©tait-il tout simplement dĂ©jĂ  irrĂ©mĂ©diablement... Accro. Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Dim 28 Nov - 055 & Emporte-moi... La soirĂ©e arrivait Ă  grand pas et Lena ressentait le besoin de sortir et de faire intensĂ©ment la fĂȘte, se noyer dans l’alcool et advienne que pourra. C’était sa devise cette nuit, une nuit de pure et simple libertĂ© oĂč elle se contenterait de profiter et de vider son esprit pour quelques heures. La journĂ©e de la rebelle n’avait pas Ă©tĂ© des plus extraordinaires. En effet, dernier jour de cours de la semaine, elle avait prĂ©fĂ©rĂ© sĂ©chĂ©e et Ă©tait restĂ©e seule fermĂ©e chez elle se torturant avec ses sombres pensĂ©es ne laissant aucune place aux sourires ou aux pensĂ©es joyeuses qui auraient pu naĂźtre si elle avait dĂ©cidĂ© de se rendre en cours oĂč elle aurait pu croiser tant de monde pour la faire sourire. Mais, non, la rebelle avait prĂ©fĂ©rĂ© s’enfermer chez elle et se torturer avec ses sombres et douloureuses pensĂ©es. Son pĂšre avait recommençait Ă  la hanter, elle ressentait ce rejet intense qu’elle avait toujours eu dans sa vie, cette douleur qu’elle avait ressentie lorsqu’elle avait lu ces mots quelques semaines plus tĂŽt, cette horreur et cette dĂ©chirure lorsqu’elle avait dĂ©couvert son cadavre le jour de son anniversaire. Cette souffrance qui l’avait envahie lorsqu’elle passait chaque jour de familles en familles dĂ©couvrant qui elle Ă©tait ainsi qu’elle apprenait toute la vĂ©ritĂ© sur son pĂšre et sur les actes qu’il avait commis. La folie l’avait conduit disait-on et voilĂ  pourquoi elle avait l’impression qu’elle aussi en Ă©tait victime, victime de cette folie intense qui allait la conduire au suicide Ă©galement. La rebelle avait cessĂ© de tourner et retourner tous ces problĂšmes dans sa tĂȘte au point que cela l’en obsĂ©dait totalement et qu’elle n’arrivait plus Ă  aller bien ou Ă  cesser de penser. VoilĂ  pourquoi elle avait dĂ©cidĂ© de se rendre en boĂźte de nuit et de faire la fĂȘte en se noyant dans l’alcool. Elle savait qu’ainsi elle aurait le vide quelques heures, quelques temps au moins, elle savait qu’elle pourrait prendre sur elle et aller mieux, vivre pleinement et cesser de se torturer quelques heures. Elle ne demandait pas plus Ă  la vie. Quelques simples heures de paix et de libertĂ© oĂč rien n’occuperait ses ainsi que lorsque la demoiselle aperçut que le soleil se couchait, elle dĂ©cida de se prĂ©parer. Quittant le canapĂ© oĂč elle Ă©tait restĂ©e assise toute la journĂ©e, la rebelle se dirigea dans la salle de bain. Se dĂ©shabillant lentement, elle se glissa ensuite sous le jet laissant l’eau tenter de l’apaiser et de chasser, en partie, ses sombres pensĂ©es la mettant au moins d’humeur Ă  se bouger rĂ©ellement et Ă  se rendre en boĂźte de nuit au lieu de demeurer chez elle toute la nuit Ă  se laisser ronger par la dĂ©prime et la folie qui commençait Ă  apparaĂźtre, chaque jour un peu plus lui faisant toujours peur. Les minutes s’écoulĂšrent avant que Lena accepte de sortir. Elle s’essuya tout en faisant attention Ă  ne pas se regarder dans le miroir. Lena se rendit ensuite dans sa chambre et postait devant son armoire, elle retira le bandage qu’elle avait mit cette aprĂšs-midi sur son bras aprĂšs s’ĂȘtre scarifier. Le sang avait cessĂ© de couler mais les marques demeuraient, sur sa peau, visibles. Lena se dit qu’elle ne croiserait personne et que personne ne ferait attention Ă  son bras et se dit que ce n’était pas la peine de les cacher. Boxer, soutien-gorge, robe rouge et noir lĂ©opard qui faisait Ă  la fois unique avec toutes les chaĂźnes qui y pendouillait et sexy avec la façon dont cela faisait tutu. La rebelle sourit et enfila des bottines noires Ă  talon aiguilles. C’était rare qu’elle porte autre chose que ses converses, mais elle en avait envie ce soir. De retour dans la salle de bain, la rebelle se maquilla lĂ©gĂšrement, un peu d’ombre Ă  paupiĂšre noir et du gloss avant de se lisser les cheveux et de les laisser libres tombant sur ses Ă©paules. Contente de son reflet, la demoiselle ne prit pas la peine de prendre d’affaires, elle comptait boire et ce n’était donc pas utile si ce n’est un peu d’argent. Sortant de son appartement qu’elle referma Ă  clĂ©, Lena arriva rapidement dans la rue et se mit en marche. Sur son trajet, elle s’arrĂȘta et obtint une cigarette et du feu sans aucun problĂšme. La boĂźte de nuit se profila enfin dans son champ de vision, la cigarette finie, elle ne mit pas longtemps Ă  pĂ©nĂ©trait dans cette atmosphĂšre et Ă  se diriger vers le bar commençant les verres dont elle ne fit pas le quelques temps plus tard, l’alcool avait pris le contrĂŽle la laissant incapable de rĂ©flĂ©chir rĂ©ellement, chassant toutes ses pensĂ©es et lui permettant d’ĂȘtre totalement libre. Aucune maĂźtrise de ces actes et la libertĂ© totale, Lena Ă©tait devenue accro Ă  ce sentiment. Plus rien ne lui passait par la tĂȘte, plus aucunes questions stupides ni aucune angoisse et elle se retrouvait coincĂ©e entre le mur et le corps d’un homme qu’elle ne cessait d’embrasser. Elle ne savait rien de lui et elle Ă©tait certaine de ne pas le connaĂźtre non plus mais elle s’en fichait totalement. Rien d’autre ne comptait si ce n’est qu’elle Ă©tait devenue accro Ă  ce contact, Ă  ces lĂšvres. Si l’alcool n’avait pas rĂ©duit ses pensĂ©es Ă  nĂ©ant, Lena n’aurait pas fait durer plus longtemps cette espĂšce de jeu. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle ressentait des choses, sur le moment qu’elle ne pouvait pas identifier, des choses qui l’avaient toujours effrayĂ©es et qu’elle ne cessait de fuir. Son cƓur qui battait la chamade, cette aviditĂ© et cette envie que cela ne s’arrĂȘte jamais le prouvait bien plus que des mots. Lena espĂ©rait, en vain car elle savait que ce n’était pas le cas, que l’alcool augmentait tout ce qu’elle ressentait au point qu’elle ait l’impression que c’était amplifiĂ© et juste imaginĂ©. Lena Ă©tait une espĂšce de droguĂ©e ce soir, une droguĂ©e qui voulait ce contact encore et encore car il provoquait ces sensations qu’elle avait tant fuit, et que ce soir, grĂące Ă  l’alcool, elle ne fuyait plus. Des sensations magiques et si destructrices, mais elle n’en avait pas conscience, pas encore du moins. Les consĂ©quences Ă©taient les derniĂšres choses qui la prĂ©occupaient sur l’instant. Le baiser cessa lorsqu’il passa sa main dans les cheveux de la rebelle avec ce sourire si craquant qu’elle avait remarquĂ©. Elle ne put s’empĂȘcher de laisser le sourire Ă©clairait son visage alors qu’il lui indiquait son prĂ©nom. Ha oui, elle l’ignorait encore, il ignorait le sien et attendait surement Ă  ce qu’elle le dise Ă©galement. Le jeu aurait Ă©tĂ© amusant si elle ne le disait pas, aprĂšs tout, la rebelle ne voulait pas d’atroces consĂ©quences or dire son prĂ©nom pouvait conduire Ă  cela. Mais, elle n’était pas maĂźtresse de tout cela et elle laissa alors Ă©chapper avec un ravie de te sentant dĂ©vorer son cou en mĂȘme temps que ces mains glissaient sur son corps, la rebelle frissonna. Son cƓur battait la chamade et elle avait du mal Ă  trouver sa respiration. C’était si intense qu’elle en avait le vertige, si intense qu’elle aurait dut fuir le plus rapidement possible, si intense que les consĂ©quences ne pouvaient pas ĂȘtres minimes. Cependant, ce soir, la rebelle Ă©tait lĂ  pour juste profiter de chaque sensation et de cette libertĂ©, elle n’avait besoin de rien d’autre et elle Ă©tait persuadĂ©e qu’elle n’aurait pas l’occasion de recroiser Tom, elle espĂ©rait que le destin n’était pas en train de se jouer d’elle comme elle avait toujours eu l’habitude. Ses mains qui demeuraient dans le cou de son partenaire glissĂšrent lentement sur le corps de celui-ci alors qu’elle savourait chaque sensation, comme si elle n’y gouterait et n’oserait y gouter que ce soir, uniquement ce soir oĂč elle avait besoin de s’évader. Ses mains Ă©taient passĂ©es du cou aux Ă©paules du jeune homme avant de descendre sur son torse alors qu’elle fermait les yeux savourant le contact des lĂšvres du jeune homme dans son cou et de ses mains sur son corps. C’était peut-ĂȘtre de la folie, mais elle Ă©tait lĂ  pour profiter et juste vivre, au moins ce soir sans se soucier des consĂ©quences. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Lun 29 Nov - 2132 La libertĂ©. Oui, c’était exactement la sensation que Tom retrouvait lorsqu’il Ă©tait soĂ»l il Ă©tait libre. Il ne rĂ©flĂ©chissait plus, devenant affreusement Ă©goĂŻste, et faisait tout ce qu’il n’osait pas faire en temps normal. Ça pouvait aller d’oser dire ses 4 vĂ©ritĂ©s Ă  un patron abusif et sadique – ce qui lui avait d’ailleurs valu de se faire virer – Ă  se laisser aller dans les bras d’une jolie fille. Mais Lena n’était pas que » une fille. Bizarrement et bien qu’il ne la connaisse depuis maximum une demie heure, le tressĂ© ressentait quelque chose de fort pour elle. Quelque chose qu’il ne retrouvait pas mĂȘme dans les bras de sa petite amie. Alors ce soir, cette sensation, il en profitait. Pour la premiĂšre fois depuis ce qui lui semblait une Ă©ternitĂ© il ne voulait pas rĂ©flĂ©chir. Il ne voulait pas penser Ă  Sara et Ă  la dĂ©ception, au mal qu'il lui ferait si elle le voyait. Ça faisait un peu plus de 4 ans qu'il faisait sa vie selon elle ; 4 ans qu'il faisait tout pour la mĂ©riter, pour qu'elle soit fiĂšre de lui, pour qu'il soit Ă  la hauteur de cet amour qu'elle lui portait. Amour qui apparemment Ă©tait amoindri de son cotĂ© puisque le tressĂ© ne ressentait aucune culpabilitĂ©. Le temps Ă©tait-il le seul responsable ? Toujours est-il que Tom Ă  cet instant ne jurait que par une chose. La jeune brune. Brune qui lui sourit et se prĂ©senta. Lena, ravie de te connaitre. Le musicien sourit et captura Ă  nouveau les lĂšvres de la jeune brune, la serrant contre lui. A croire qu’il ne pouvait dĂ©jĂ  plus se passer de ce contact puisque ses lĂšvres contre les siennes avaient le don de lui faire sentir un surcroit de plĂ©nitude et de bien-ĂȘtre. Au point que si Tom croyait au coup de foudre il jurerait en ĂȘtre victime. Or ses rĂȘves avaient tant et tant Ă©tĂ© brisĂ©s au fil des annĂ©es qu’il avait fini par ne plus croire aux contes de fĂ©es, Ă  l’amour Ă©ternel, Ă  l’amour sans failles et plus fort que tout au monde
 Ce genre de trucs. De son point de vue il fallait mĂȘme ĂȘtre naĂŻf pour y croire. Mais peut ĂȘtre que ça existait et qu’il avait juste trop souffert pour y croire encore. Qui sait, au fond ? Les mains de l’étudiante commencĂšrent Ă  se faire baladeuses, et il profita de chaque caresse du mieux qu’il put. Quoique vu la dose d’alcool qu’il avait ingurgitĂ© c’était un peu difficile de les apprĂ©cier pleinement. Mais ça ne l’empĂȘchait pas de sourire, sa main libre commençant aussi Ă  se balader sous le haut de Lena, caressant son ventre. Jamais le jeune sportif n’aurait pensĂ© qu’une simple sortie changerait tant de choses pour lui. Et pourtant
 Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Mar 30 Nov - 1246 S’attacher Ă  quelqu’un avait toujours Ă©tĂ© une absurditĂ© de premier degrĂ©. C’est quelque chose de pathĂ©tique et de pitoyable autant que cela se rĂ©vĂšle inutile. Pourtant, l’ĂȘtre humain est un ĂȘtre d’attachements qui ne cesse de donner aux autres, et dans quelques cas de recevoir. L’attachement n’avait jamais fait parti de la vie de Lena et lorsque ce fut le cas, elle le regretta bien vite car elle finissait toujours par souffrir. La mort de sa mĂšre, le suicide de son pĂšre et le fait de passer sans cesse de familles en familles et de pays en pays lui avait appris qu’il ne fallait jamais s’attacher. On peut toujours profiter de la vie et rigoler, mais on ne doit jamais laisser les sentiments, les sensations ou un quelconque attachement banal prendre le dessus. Des amis, oui, elle en avait plein, des gens avec qui elle aime passer du temps, avec qui elle se sent bien, mais elle avait beau donnĂ© tout ce qu’elle voulait pour les voir heureux, en retour elle ne voulait rien et ne demandait absolument rien. Lena avait toujours appris Ă  vivre comme cela et elle ne cesser de perpĂ©tuer cette vie ne s’autorisant jamais d’attachements et lorsqu’elle se voyait sombrer, la demoiselle prenait la fuite. C’était surement lĂąche, mais c’était aussi et tout simplement essentiel pour elle, elle avait besoin de faire cela pour Ă©viter toutes souffrances, toutes douleurs. L’attachement, elle n’avait d’ailleurs pas eut le temps de le connaĂźtre. Sa mĂšre ne pouvait pas lui donner, morde aprĂšs sa naissance, son pĂšre n’y voyait aucune importance et il Ă©tait guidĂ© par la simple folie avant de se suicider la laissant seule. Il ne fallait pas compter sur les familles oĂč elle s’était rendue pour avoir de l’attachement. En effet, la majoritĂ© de ces familles la considĂ©rait sans aucune importance et elle finissait toujours par vite changer d’endroit devant recommencer le mĂȘme manĂšge pour trouver le bonheur Ă  chaque fois. C’était ainsi que se rĂ©sumer la vie de la jeune Wates aucun attachements, non aucun et cela pour toujours. Lena ne cesserait de fuir lorsqu’elle verrait un quelconque attachement se dessiner Ă  l’ pourquoi ce soir, elle aurait dĂ»t fuir. Malheureusement, elle se laissait emporter par l’alcool et toutes ces nouvelles sensations, s’en dĂ©lectant simplement. Tenant bien l’alcool, la jeune demoiselle savait trĂšs bien ce qu’elle faisait et elle savait Ă©galement qu’elle ne voulait pas s’arrĂȘter. La jeune Wates tentait Ă©galement de se convaincre que ce n’était qu’une nuit aprĂšs tout et que jamais elle n’aurait l’occasion de recroiser Tom. Oui, elle se rassurait ainsi en un sens parce que malgrĂ© elle, elle ressentait en cet instant mĂȘme toutes les sensations qu’elle s’était refusĂ© de ressentir. Toutes ces sensations qui pouvaient entraĂźner l’attachement face Ă  une personne, toutes ces sensations qui avaient le pouvoir de la faire tomber dans les bĂȘtises humaines. Non, il Ă©tait hors de question de penser cela, il Ă©tait juste hors de question de penser tout court. Profiter simplement de la soirĂ©e, de la nuit, ĂȘtre libre sans se soucier des quelconques consĂ©quences de ses actes. D’ailleurs, il n’y en aurait aucune, ce n’était rien, rien de plus qu’une soirĂ©e trop alcoolisĂ©e. La jeune Wates en Ă©tait quasiment convaincu au point qu’elle avait cessĂ© de rĂ©flĂ©chir aux consĂ©quences possibles et envisageables pour laisser seulement place Ă  la libertĂ© et aux sensations. AprĂšs tout, elle n’était rien d’autre qu’une simple fille qui se laissait allĂ© ce soir, rien de plus, rien de moins et cela ne cesserait jamais, elle le savait. Mais, lui pensait-il la mĂȘme chose ? Lena n’était pas d’humeur Ă  se le demander ou Ă  se poser de quelconque question, il fallait qu’elle cesse d’ĂȘtre toujours la fille qui rĂ©flĂ©chit avant d’agir, pour une fois dans sa vie. C’était pourtant simple la situation se rĂ©sumait ainsi. Une soirĂ©e alcoolisĂ©e, un besoin de libertĂ©, un laisser-aller sans rĂ©flexion, pas de questions, pas d’attentes, juste se laisser aller et guider par les sensations et par l’alcool. C’était une simple soirĂ©e sans aucune consĂ©quence, malgrĂ© le bizarre attachement intense qu’elle ressentait, elle savait que c’était la premiĂšre et derniĂšre fois qu’elle le voyait, du moins c’est ce qu’elle se plaisait Ă  se dire pour tenter d’amoindrir la situation Ă  ses sourire qu’il fit fit craquer la demoiselle. AprĂšs tout, craquer pour quelqu’un ne veut pas vraiment dire que l’attachement sera lĂ . Si ? Elle ne savait pas et n’arrivait plus Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  vrai dire puisque leurs lĂšvres Ă©taient de nouveau soudĂ©es, comme si ce contact Ă©tait essentiel, comme s’ils ne pouvaient, tous les deux, ne plus s’en passer. Une drogue, un besoin intense. LibertĂ© et envie simplement. DĂ©sir et laisser aller. Pourquoi se sentait-elle aussi bien, pourquoi le simple fait de l’embrasser la rendait aussi
 folle, accro ? Elle n’était pas encore en mesure de le savoir ou de le rĂ©aliser, mais si elle aurait Ă©tĂ© en mesure de le faire, croyez moi la rebelle serait vite parti en courant oubliant rapidement tout cela en s’enfermant chez elle et en se noyant dans la scarification et l’alcool, deux moyens de libertĂ© intense. Mais, elle n’était pas en Ă©tat de se rendre compte Ă  ce point de la situation dans laquelle elle s’était mise. Alors que ses lĂšvres Ă©taient toujours soudĂ©es Ă  celle de son compagnon de la soirĂ©e uniquement de la soirĂ©e, il fallait qu’elle s’en convainque, ses mains se baladaient sur le torse de celui-ci avide de dĂ©couvrir chacun des traits qui pouvait le composer. La rebelle frissonna au contact de leurs deux peaux, intense sensation si troublante et inexplicable. Elle tombait elle-mĂȘme dans ce piĂšge qu’elle voulait tant Ă©viter simplement parce qu’elle n’était pas en mesure de rĂ©flĂ©chir. L’art du laisser aller Ă©tait parfois beaucoup plus dangereux qu’on ne le pense et les consĂ©quences en seraient dĂ©sastreuses. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Mer 1 DĂ©c - 221 Paul Bourget a dit Le flirt est l'aquarelle de l'amour ». Certains lui donnent raison, disant que le flirt n’est rien de plus ni de moins qu’une esquisse qui immanquablement vous jette dans les bras de l’amour, ce sentiment si puissant et si intense qu’il fait parfois peur Ă  vivre mais pourtant si magnifique qu’il mĂ©rite quelques frayeurs. D’autres pensent qu’il a tort, qu’un flirt n’est qu’un flirt et que tomber amoureux est tout simplement sauter les barriĂšres d’une relation lĂ©gĂšre et sans aucun engagement ni aucune obligation. On accorde souvent un sens romantique Ă  cette citation, on sourit en l’entendant
 Et pourtant on a tous une vision diffĂ©rente de ce qu’elle nous dĂ©clame. Il y a dĂ©jĂ  de ça 3 ans, le musicien avait dĂ» faire une dissertation sur cette phrase, et son sens. Et pour lui elle Ă©tait bien simple Ă  comprendre. Le flirt Ă©tait un jeu auquel ne se prĂȘtaient que ceux qui souhaitaient trouver l’amour puisque la sĂ©duction entrait en compte, puisqu’il fallait se dĂ©voiler Ă  l’autre de façon Ă  lui plaire
 Exactement comme on le ferait pour faire tomber quelqu’un amoureux de nous. Le flirt Ă©tait le jeu des amoureux, un jeu qui Ă©piçait le quotidien et le rendait plus lĂ©ger. Et c’était exactement Ă  ce jeu que le tressĂ© se pliait. Il flirtait ouvertement avec la brune, son cƓur hurlant une dĂ©pendance prĂ©maturĂ©e et que pourtant il ne repoussait pas. Il ignorait oĂč les mĂšnerait ce flirt et Ă  vrai dire il n’y pensait pas. Peut-ĂȘtre qu’ils se donneraient rendez-vous, peut-ĂȘtre qu’ils ne se verraient plus jamais et n’étaient vraiment qu’un flirt d’un soir, peut-ĂȘtre que le destin leur offrirait plus qu’ils ne le croyaient. Ce qui Ă©tait sĂ»r pour Tom en tout cas c’était qu’il deviendrait dingue s’il devait ne plus voir LĂ©na. Ca faisait quoi, vingt minutes ? Une demie heure qu’ils flirtaient tous les deux ? Et pourtant il ne pourrait jamais oublier comme le corps de la jeune fille se serrait contre le sien, ces lĂšvres qui attiraient tant et tant les siennes, qui l’envoutait, ces caresses fines et si douces sur son torse
 Il n’oublierait jamais LĂ©na. Ok il Ă©tait ivre et c’était la seule raison qui l’avait poussĂ© Ă  se laisser aller mais il n’y avait pas de doute Ă  avoir ce qu’il ressentait Ă©tait si fort, que mĂȘme sobre il ne pourrait pas l’avoir oubliĂ©. Il ressentait quelque chose qu’il n’avait encore jamais ressenti pour personne et seul l’alcool qui chauffait son sang et embrumait ses pensĂ©es l’empĂȘchait d’avoir peur. Peur de tomber fou accro Ă  une fille qu’il avait une chance sur un million de revoir. Peur de perdre sa petite amie pour ce qui n’était pour l’instant qu’un flirt. Peur de perdre tout contrĂŽle. Mais ce soir il n’avait pas peur. Il profitait, tout simplement, et embrassait l’étudiante comme si sa vie en dĂ©pendait. Et Dieu que c’était bon de l’embrasser ! Oubliant le mur il laissa ses deux mains dĂ©couvrir le corps de la brunette, complĂštement fascinĂ© par l’idĂ©e de sentir cette peau si douce contre ses doigts. TrĂšs vite il se fit moins timide et une de ses mains grimpa sous le tshirt de LĂ©na, caressant sa poitrine, cherchant Ă  faire naitre chez elle un dĂ©sir qui chez lui Ă©tait dĂ©jĂ  prĂ©sent. L’envie que ça aille plus loin. Qu’elle soit sienne. Qu’elle lui appartienne
 MĂȘme si ce n’était vrai que pour cette nuit. Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Jeu 2 DĂ©c - 1801 L’attachement provoque les souffrances, l’amour provoque la destruction et la fin de la vie, les passions sont destructrices, l’amitiĂ© peut blesser. En rĂ©sumĂ©, si l’on voulait ĂȘtre bien dans ce monde, il fallait vivre au jour le jour loin de tous et de toutes tentations. Se laisser aller quelques soirs, mais jamais plus, jamais. Lena l’avait toujours compris ainsi, elle avait toujours vu la vie ainsi. Personne ne la ferait tomber dans un Ă©tat de dĂ©pendance, dans cet Ă©tat oĂč tant de personnes se sentaient si bien. L’amour n’était pas pour elle et elle n’en voulait guĂšre. Des relations sĂ©rieuses ? Une ou deux grands maximums dans sa vie. La rebelle avait toujours fuit lorsqu’elle avait aperçu l’attachement Ă  l’horizon, elle Ă©tait partie simplement, c’était arrivĂ©e avec tellement de personnes qu’elle ne comptait plus. Le fait de changer de villes trĂšs souvent l’aidait Ă  ne pas s’attacher. Parfois, mĂȘme si elle se sentait Ă  l’aise dans sa famille, la demoiselle avait commis une faute qui aurait pu valoir un attachement alors elle s’était empressĂ©e de changer d’endroit. C’était ce qui s’était passĂ© avec Jayden, une nuit oĂč tout avait dĂ©rapĂ© et elle s’était rapidement enfuie sans explications et surtout ne revenant jamais sur ses pas. En vĂ©ritĂ©, elle ne s’était jamais attendue Ă  le recroiser un jour aprĂšs cet Ă©pisode. Quoiqu’il en soit, on n’est pas lĂ  pour parler de cette histoire. Lena avait totalement rĂ©ussi Ă  se convaincre que tout cela n’avait guĂšre d’importance, que ce n’était qu’une nuit et qu’il n’y aurait rien d’autre, jamais elle ne le recroiserait et si cela devait arriver elle n’était pas obligĂ©e d’avoir une quelconque relation avec lui, elle serait cordiale et polie, simplement sans plus et le message passerait rapidement avant qu’il ne laisse tomber aussi facilement. A vrai dire pourquoi perdre son temps Ă  courir aprĂšs une fille comme elle, elle Ă©tait tout de mĂȘme diffĂ©rente dans le sens oĂč ses secrets enfouis la dĂ©truisait et qu’elle ne laisserait personne approcher de son territoire, de ses faiblesses. La demoiselle ne laisserait personne dĂ©truire Ă  nouveau sa vie surtout pas une personne avec qui elle aurait passĂ© une nuit Ă  cause de l’alcool et de l’ la rebelle en Ă©tait revenue Ă  cela. C’était l’alcool et l’ambiance qui entrainaient toutes ces sensations, toutes ces envies, juste l’alcool et l’ambiance. Rien de plus, elle se rassurait finalement comme le pouvait, prĂ©fĂ©rant ne pas voir la rĂ©alitĂ© en face, prĂ©fĂ©rant profiter sans assumer directement des quelconques consĂ©quences futures. Elle aurait dĂ»t tout stopper, partir et oublier, mais elle n’en faisait rien. Pourquoi ? Elle avait beau se dire Ă  elle-mĂȘme que ce n’était qu’un effet secondaire de la boisson et de l’atmosphĂšre, elle aurait pourtant dĂ»t ouvrir les yeux et se rendre compte que c’était beaucoup plus puissant et destructeur que cela. Elle aurait dĂ»t voir qu’elle devenait totalement accro et qu’elle n’avait pas envie de le quitter ou de s’éloigner. Elle aurait dĂ»t comprendre qu’elle Ă©tait en train de dĂ©passer la limite qu’elle s’était fixĂ©e passant ainsi dans l’attachement et dans le besoin d’autrui. Elle aurait dĂ»t comprendre qu’elle tombait dans le piĂšge dans lequel de nombreuses personnes Ă©taient tombĂ©es. Ce piĂšge dont on ne ressortait jamais sans Ă©gratignures. L’amour. Cela peut paraĂźtre totalement ridicule et stupide, se dire tiens ce mec je le connais depuis mĂȘme pas une heure mais je suis amoureuse de lui. Oui, c’était pathĂ©tique et stupide, et pourtant tellement vrai. Ou n’était-ce qu’un effet de l’alcool qu’elle avait bĂ»t ? Elle ne savait plus du tout ce qu’il en Ă©tait de cela et elle ne trouverait guĂšre la solution maintenant. Lena avait toujours voulu vivre loin de l’amour, de l’attachement ou de toutes ces sensations, et sans mĂȘme s’en rendre compte, elle Ă©tait en train de totalement tomber dedans. Elle se rendrait bel et bien compte qu’elle Ă©tait prise au piĂšge et qu’elle n’avait aucun moyen de s’en sortir, mais il serait alors trop tard et elle n’aurait plus aucune issue possible. Dans un Ă©tat beaucoup plus normal, la rebelle aurait tout stoppĂ© en se rendant compte de cela, et pourtant actuellement elle n’en faisait rien. Accro et dĂ©pendante de choses qu’elle reniait depuis toujours. Faiblesse et laisser aller pour tomber dans des sentiments aux tortures l’alcool, la demoiselle savait qu’elle n’oublierait jamais. Sa prĂ©sence, ses sensations, son parfum, ses lĂšvres contre les siennes, ses mains sur sa peau
 Intenses sensations. Leurs lĂšvres Ă©taient toujours soudĂ©es dans ce baiser qui avait le don, ou la malĂ©diction, de la rendre folle. Ses mains sur sa peau la firent tressaillir. Lorsqu’une de ses mains grimpa sous son tee-shirt, la demoiselle frissonna. Son cƓur se mit Ă  battre plus vite, alors qu’elle sentait les frissons courir sur sa peau. Le baiser qu’ils partageaient se fit plus passionnĂ© alors que le dĂ©sir de la rebelle Ă©tait si intense qu’elle en venait Ă  se demandait si elle avait Ă©tĂ© dans son Ă©tat normal, si elle aurait Ă©tĂ© en mesure d’y mettre fin mĂȘme si elle prenait en compte la vĂ©ritĂ© qui pouvait sauter au visage lorsqu’on Ă©tait sobre et en mesure de rĂ©flĂ©chir. Lena laissa ses mains descendre le long du torse de son compagnon lentement avant de glisser ses mains sous son tee-shirt avant de remonter lentement le long de celui-ci, contact entre leurs deux peaux. La demoiselle ne cessa pas de l’embrasser, comme si c’était essentiel, indispensable. C’était comme si toute sa vie dĂ©pendait de ces contacts qu’elle avait avec lui. Comme si tout ne dĂ©pendait que de cela. DĂ©pendante. Intenses sensations troublantes. DĂ©sir intense. Envie terrifiante. Envie d’ĂȘtre Ă  lui, envie qu’il soit Ă  elle, juste le temps d’une nuit. Juste le temps d’une nuit. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Lun 6 DĂ©c - 1513 Oui, c'Ă©tait insensĂ© de se dire qu'on pouvait tomber amoureux d'une personne qu'on ne connaissait qu'Ă  peine et depuis si peu de temps. Et pourtant pour Tom et LĂ©na ça ne faisait aucun doute ; c'Ă©tait plus fort qu'un simple dĂ©sir physique. C'Ă©tait plus intense. Et ils ne pourraient jamais rien contrĂŽler. L'amour leur apparaissait sous des airs de dĂ©pendance, une dĂ©pendance totale Ă  l'autre et Ă  sa prĂ©sence. Et ils ne pouvaient rien y faire. Le mal avait Ă©tĂ© fait Ă  la seconde oĂč leurs lĂšvres s'Ă©taient scellĂ©es, et se dĂ©battre maintenant ne feraient que les torturer l'un et l'autre. Puis pourquoi se dĂ©battre ? Ils Ă©taient si bien tous les deux. Peut-ĂȘtre mĂȘme trop bien pour que ce soit rĂ©el. Mais c'Ă©tait trop intense pour n'ĂȘtre qu'un rĂȘve. Elle Ă©tait sa rĂ©alitĂ©, et ce soir elle Ă©tait sienne. Rien que cette idĂ©e suffisait Ă  faire frissonner le musicien. LĂ©na Ă©tait Ă  lui. Juste pour une nuit. Juste pour cette nuit. Tendrement, avidement, sensuellement, il dĂ©couvrait le corps de la jeune femme qu'il couvrait de caresses sous ses vĂȘtements. Il souriait de la sentir frissonner, se l'imaginait dĂ©jĂ  nue alors qu'elle s'offrirait Ă  lui, alors qu'ils scelleraient Ă  jamais une dĂ©pendance contre laquelle ils ne pourraient alors plus jamais rien. Et pourtant il en avait tellement envie. Ses mains glissĂšrent de la poitrine de la rebelle Ă  sous sa robe, remontant sur ses fesses alors que ses lĂšvres se perdaient dans son cou et dĂ©voraient sa peau. C'Ă©tait une aviditĂ© et une envie si fortes qui l'habitaient que Tom n'avait plus aucun contrĂŽle. Il la dĂ©sirait si violemment que son sang brĂ»lait dans ses veines, empreint d'une passion encore jamais ressentie auparavant. Et il savait que jamais il ne se lasserait de ce corps contre le sien. Que jamais il ne se lasserait de ces baisers, de ces caresses. Que jamais il ne supporterait de la laisser partir. Il s'accrochait dĂ©jĂ  bien trop, beaucoup trop, et il savait qu'il Ă©tait perdu. Avant mĂȘme que tout commence. Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Lun 6 DĂ©c - 1751 Alcool, ambiance et l’envie de se laisser aller, d’oublier. Juste cela, rien de plus. L’accumulation de ces trois choses faisait que toutes les sensations qu’elle ressentait Ă©taient amplifiĂ©es. Juste cela, rien de plus. Lena avait, certes, rĂ©ussit Ă  lĂ©gĂšrement s’en convaincre mais elle n’arrivait pas Ă  effacer le doute prĂ©sent dans son esprit. La rebelle ne voulait pas se dire que toutes ces sensations Ă©taient dĂ»t Ă  autre chose, autre chose qu’on aurait pĂ»t appeler le coup de foudre si on y croyait un tant soit peu ce qui n’était guĂšre le cas de Lena. L’amour n’existe pas Ă  ces yeux, c’est juste une attirance physique et plus que physique entre deux personnes et on en fait directement une montagne inventant une espĂšce de sentiment pour que tout le monde en soit en quĂȘte. Si l’amour n’existe pas, le coup de foudre encore moins. Oui, craquer sur quelqu’un en peu de temps, ce qui revient Ă  dire qu’on flashe sur quelqu’un, arrive souvent, mĂȘme trop souvent parfois, mais cela ne va pas obligatoirement dire qu’il va se passer quoi que sa soit entre la personne sur qui on craque et nous-mĂȘmes. Elle devait fuir cet endroit au plus vite, pourtant, elle ne pouvait se rĂ©soudre Ă  le fuir sans Tom. Finalement c’était peut-ĂȘtre une bonne idĂ©e, fuir cet endroit avec Tom, loin de l’ambiance, l’ensemble des sensations seraient surement moins fortes, mince espoir dans la nuit noire dans laquelle elle s’était enfoncĂ©e. Contente d’elle-mĂȘme et toute heureuse d’avoir trouvĂ© la solution pour voir enfin la rĂ©alitĂ© et se rendre compte que l’amplification de ces sensations n’était dĂ»t qu’à l’ambiance festive qui, la plupart du temps, rend tout beaucoup plus mains la firent frissonner. Ses lĂšvres dans son cou lui arrachĂšrent un gĂ©missement. Son cƓur battait son vite qu’elle avait l’impression qu’on lui faisait entendre Ă  ses oreilles. Tout semblait si diffĂ©rent et tout Ă©tait si intense que la rebelle commençait Ă  se dire que peu importe l’endroit oĂč elle se trouvait, peu importe l’alcool qu’elle aurait but, le dĂ©sir et l’envie qu’il soit Ă  elle serait toujours aussi intense. Eprise d’avance, elle ne pouvait mĂȘme plus reculer, elle ne pourrait plus faire comme si rien ne s’était passĂ©. Non, c’était impossible. Elle aurait dĂ»t partir avant que leurs lĂšvres ne se rencontrent, elle aurait dĂ»t rester chez elle ce soir, Lena venait de tomber dans le piĂšge qu’elle Ă©vitait depuis des annĂ©es et des annĂ©es. L’attachement, l’envie, le dĂ©sir. Elle ne voulait plus qu’il parte, elle ne voulait pas avoir Ă  passer une seule seconde sans lui. C’était juste impossible. Cela la terrifiait alors que peu Ă  peu les consĂ©quences se faisaient si claires. Mais, non, la situation ne pourrait pas rester ainsi. Elle aurait beau le dĂ©sirer de tout son ĂȘtre, de son corps, de son cƓur, il ne faudrait jamais qu’elle ne cĂšde Ă  nouveau Ă  la tentation. Une nuit simplement. Juste une nuit. Elle assumerait les consĂ©quences et la douleur que tout l’éloignement engendrerait plus tard, cela elle en Ă©tait capable totalement capable. Ce n’était pas un territoire inconnu alors que celui dans lequel elle Ă©tait en train de tomber l’était. Non, elle ne tomberait pas aussi bas. Une nuit, une simple nuit, rien de plus. Lena ne pouvait se rĂ©soudre Ă  le quitter fallait changer d’endroit, il fallait partir de cette euphorie pour retomber sur terre, dans la rĂ©alitĂ©. Il fallait qu’elle fasse le point et ici cela lui Ă©tait impossible. L’ambiance la poussait Ă  ne pas rĂ©flĂ©chir, Ă  simplement se laisser aller. Ce n’était guĂšre ce qu’il fallait surtout si elle voulait faire le point. Lena avait toujours une chambre au Morgans Hotel, lorsque tout Ă©tĂ© ravagĂ© chez elle ou qu’elle avait besoin d’ĂȘtre ailleurs elle s’y rendait souvent. Peut-ĂȘtre lĂ -bas, les sensations ne seraient pas aussi intenses, pas aussi fortes et destructrices. Il fallait des rĂ©ponses Ă  la rebelle, il fallait qu’elle sache dans quoi elle s’embarquait, bien qu’elle n’ait aucune envie de quitter cela, mĂȘme si elle aurait dĂ»t. Les mains de la jeune rebelle redescendirent le long du torse de son compagnon en une tendre et lente caresse. Elle s’approcha de son oreille et lui murmura de la suivre. Il fallait prendre l’air, oublier, se ressaisir et s’éloigner pendant qu’elle le pouvait. La rebelle aurait pĂ»t lui dire cela, se mettre en marche et le laisser juste suivre. Pourtant, elle ne se sentait pas capable d’abandonner son contact, voilĂ  pourquoi elle demeura proche de lui glissant sa main dans la sienne alors qu’elle zigzaguait Ă  travers les personnes dans la boĂźte de nuit. L’air frais fit Ă©normĂ©ment de bien Ă  la rebelle qui pensait qu’une fois dehors elle n’aurait que l’envie de partir, elle s’était encore une fois trompĂ©e. Taxi, c’était plus simple et cela ne monopolisait aucune attention. La rebelle en demanda un, une fois assise Ă  l’arriĂšre avec son compagnon, elle donna l’adresse avant de capturer de nouveau les lĂšvres de Tom. Quelques minutes tout au plus et son contact lui avait dĂ©jĂ  manquĂ©. Folle accro, pire que dĂ©pendante, la rebelle commençait Ă  voir que l’ambiance de la boĂźte de nuit n’avait aucune influence sur ce qu’elle ressentait, aucune. L’alcool Ă©tait la seule solution possible qu’il restait Ă  la rebelle, la seule qu’elle pouvait accepter du trajet, elle ne se souvient de rien si ce n’est de son cƓur qui battait la chamade, des frissons qui courraient sur sa peau, de ses envies, de son sang qui semblait la brĂ»lait tellement elle le dĂ©sirait. Une fois arrivĂ©e Ă  destination, elle paya la course, remercia avant de pĂ©nĂ©trer dans l’hĂŽtel, Ă©nonçant son nom, elle rĂ©cupĂ©ra vite la clĂ© de la chambre qu’elle avait de rĂ©servĂ©e ici. Direction l’ascenseur et aussitĂŽt elle s’empara des lĂšvres de son compagnon, une nouvelle fois. Accro Ă  ce point, cela ne pouvait ĂȘtre possible aux yeux de la jeune rebelle. PrĂ©fĂ©rant ne pas se poser de questions, elle voulait juste profiter. Une nuit, une simple nuit. Cela n’engageait Ă  rien et n’amenait rien. Demain serait un autre jour et la fin du rĂȘve, la rĂ©alitĂ© reprendrait le dessus aussi vite que le rĂȘve avait prit le dessus ce soir. Ils arrivĂšrent enfin Ă  l’appartement, et une fois la porte refermĂ©e, toujours dans le hall d’entrĂ©e, Lena ne put se retenir de l’embrasser Ă  nouveau, encore et encore, comme si c’était indispensable Ă  sa survie. Ne pouvant retenir un gĂ©missement d’envie qui s’échappa de ses lĂšvres, la rebelle continua de l’embrasser glissant Ă  nouveau ses mains sous le tee-shirt de son compagnon, avide de dĂ©couvrir chacun de ses traits, d’enregistrer chacune des secondes qui s’écoulaient. Accro Ă  sa prĂ©sence, Ă  son contact, Lena Ă©tait totalement prise au piĂšge, elle n’en sortirait jamais mĂȘme si elle pouvait survivre sans, elle Ă©tait prise au piĂšge et cela depuis qu’elle l’avait croisĂ© dans cette soirĂ©e. Folie Ă  l’état pure. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Mar 7 DĂ©c - 1625 Se laisser aller. C’était exactement ce qu’ils Ă©taient en train de faire. Et c’était agrĂ©able, non ? Aux yeux du tressĂ© ce laisser aller dans les bras de LĂ©na Ă©tait mĂȘme parfait ; peut-ĂȘtre mĂȘme trop. Mais il se laissait faire, embrassant sans pouvoir cesser ces lĂšvres si douces et sucrĂ©es, profitant de chaque caresse, aimant ce corps qui frissonnait sous ses doigts. Tout paraissait si doux, si parfait, si intense prĂšs de la rebelle que Tom ne pouvait que cĂ©der. Ce qu’il faisait avec plaisir. La brune lui murmura de le suivre et il s’exĂ©cuta, docile. Il la suivit donc Ă  un taxi qui les emmena tous les deux Ă  un hĂŽtel sans qu’ils n’arrivent Ă  se dĂ©tacher l’un de l’autre. Tout le trajet fut ponctuĂ© de baisers volĂ©s, de caresses, de regards et de sourires qu’ils ne cachaient pas. C’était une sensation bizarre et jusqu’alors inconnue que le musicien dĂ©couvrait. Il avait aimĂ© Sara au point de s’imaginer avoir des enfants avec elle tĂŽt ou tard, et vieillir prĂšs d’elle. Et pourtant prĂšs de LĂ©na c’était comme si l’amour infini qu’il avait portĂ© Ă  la texane Ă©tait faible et insignifiant. Comme si prĂšs d’elle il pouvait connaitre encore plus. Et c’était ce qu’il voulait. PrĂ©cisĂ©ment. Il avait beau tenter de se mentir, se promettant que ce n’était qu’une aventure d’un soir. Mais il voulait plus. Il voulait la brune pour ce soir. Et celui d’aprĂšs. Et tous les soirs qui suivraient. Il avait beau ĂȘtre conscient que plus il restait prĂšs de la jeune femme et moins il pourrait se dĂ©faire d’elle, Tom ne la lĂąchait pas pour autant. De toute façon il Ă©tait dĂ©jĂ  trop tard. Il Ă©tait dĂ©jĂ  irrĂ©mĂ©diablement accro. Et alors qu’elle ouvrait la porte de sa chambre, lui Ă©tait dĂ©jĂ  en train de couvrir son cou, en mordillant la peau, alors que ses mains se faufilaient sans pudeur sous le haut de LĂ©na et avec une passion et une aviditĂ© qui ne cesseraient certainement jamais. A peine la porte fut-elle ouverte qu’il la porta et la plaqua contre un mur, reprenant ses lĂšvres, perdant tout contrĂŽle Ă  la simple idĂ©e qu’elle Ă©tait Ă  lui. MĂȘme si ce n’était que pour ce soir. Mais n’était-ce vraiment qu’une histoire d’un soir ? Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Mar 7 DĂ©c - 1750 Fuite. Action de fuir, d’esquiver et de s’éloigner de quelque chose ou de quelqu’un en cherchant Ă  l’éviter. Fuir. C’est ce qu’elle aurait dĂ»t faire, dĂšs qu’elle avait posĂ© son regard sur lui. A cet instant mĂȘme, son cƓur s’était accĂ©lĂ©rĂ© sans raisons et elle avait frĂ©mit. RĂ©action anormale face Ă  quelqu’un qu’elle ne connaissait mĂȘme pas. C’est lĂ  qu’elle aurait dĂ»t fuir, lorsqu’elle avait croisĂ© son regard et que la mĂȘme idĂ©e folle leur avait traversĂ© l’esprit. La fuite, la fuite et la fuite aurait Ă©tĂ© la meilleure des solutions. Pourtant, elle en avait Ă©tĂ© incapable, incapable de s’éloigner de lui, mĂȘme lorsqu’un simple et unique regard avait Ă©tĂ© Ă©changĂ©. Les sensations avaient Ă©tĂ© si magiques et si intenses qu’elle n’avait pas voulu fuir, pas avant d’avoir goĂ»tĂ© totalement Ă  l’ensemble des sensations. Elle Ă©tait restĂ©e et tout s’était dĂ©roulĂ© jusqu’à la rendre folle, jusqu’à ce qu’elle devienne totalement et purement accro Ă  sa prĂ©sence. Simple et destructeur. Elle n’avait pas fuie, elle s’en mordait les doigts maintenant. Lena avait beau se dire que demain serrait un autre jour, que tout serait diffĂ©rent, aurait-elle le courage de quitter la chambre sans rien laissĂ© aprĂšs cette nuit ? Aurait-elle le courage d’abandonner ce contact et ce bonheur aprĂšs cette nuit ? Pourtant, elle n’avait guĂšre le choix. La rebelle refusait de s’engager dans quelque chose de ce genre, quelque chose qui avait le pouvoir de la dĂ©truire si rapidement et si intensĂ©ment. Si elle acceptait de donner une chance, d’accepter d’avoir une histoire sĂ©rieuse avec lui, tout cela ne durerait qu’un temps car, en vĂ©ritĂ©, rien n’est Ă©ternel, surtout pas les sentiments. On finit toujours par se lasser lorsque tout devient habitudes et rituels quotidiens. On finissait toujours par tenter de pimenter sa vie multipliant les histoires d’un soir tout en ruinant peu Ă  peu la confiance. Oui, donner une chance Ă©tait en vĂ©ritĂ© accepter de laisser l’autre nous dĂ©truire, accepter d’ĂȘtre dĂ©truite et de subir encore une fois, et cela Lena n’était pas prĂȘte Ă  l’accepter. Une nuit, c’était tout ce qu’elle avait Ă  offrir. Elle ne pouvait rien donner de plus, ce n’était pas en son pouvoir et encore moins en sa nature. DĂšs le lever du soleil, la rebelle partirait de cette chambre et jamais elle n’y remettrait les pieds de peur d’ĂȘtre assaillie par ses sensations Ă  nouveau et de ressentir ce manque, car elle en Ă©tait certaine, pour survivre, elle avait besoin de sa prĂ©sence, elle en Ă©tait devenue accro en peu de temps et ĂȘtre accro ne passe jamais. Elle accepterait la souffrance et ne cĂ©derait pas, elle n’était pas prĂšs de lui ne ferait qu’accentuer ce besoin, ce dĂ©sir et ce manque qui suivrait, et pourtant elle refusait de partir. Elle refusait de s’éloigner et de prendre la fuite. Juste pour une nuit, elle le voulait. Elle voulait ĂȘtre Ă  lui, elle voulait qu’il soit Ă  elle, juste pour une nuit. Une simple histoire d’un soir. Les pensĂ©es de la jeune rebelle vagabondaient sans cesse, si du moins on pouvait nommer cela pensĂ©es. Lena dĂ©sirait ĂȘtre certaine que ce n’était qu’une nuit, qu’une simple nuit, elle voulait en avoir la certitude, elle voulait pouvoir le confirmer. Pour cela, elle devait juste se sentir comme une fille de plus ajoutĂ©e Ă  la liste des coups d’un soir. Elle devait juste ĂȘtre un nom qu’on finit par oublier aprĂšs l’avoir mentionnĂ© une ou deux fois pour pouvoir prouver qu’on n’invente pas. Juste un nom sur une liste, une fille parmi tant d’autre, un coup d’un soir comme un autre. Oui, Lena serait juste et simplement cela, elle devait s’en convaincre, en ĂȘtre certaine, mais elle ne savait guĂšre comment. Pourtant, toute la situation tendait Ă  prouver cela, Ă  prouver qu’elle n’était qu’un nom de plus sur la liste. Non, pas toute. Les sensations intenses ne pouvaient pas entrer dans l’espĂšce de liste coup d’un soir comme un autre ». MalgrĂ© cela, Lena n’en demeurait pas moins un simple coup d’un soir. EloignĂ©e de la boĂźte de nuit, de l’ambiance festive et alcoolisĂ©e, la rebelle n’était qu’une fille de plus. Oui, ce n’était que cela. Pourtant, ces sensations. Ces sensations qui, elle se rendait compte, n’étaient pas provoquĂ©es par l’alcool et encore moins par l’ambiance, mais juste par leur union ». Des sensations qu’elle ne pourrait pas oublier, dont elle ne pourrait jamais se dĂ©faire. Une nuit qu’elle ne pourrait pas effacer. Un prĂ©nom qu’elle ne pourrait pas oublier. Une prĂ©sence et chaque trait qu’elle ne pourrait pas enlever de sa mĂ©moire. Perdue d’avance dans tout cela, la rebelle avait deux simples choix partir et souffrir sur le champ ou profiter de la nuit et s’éclipser dĂšs le lever du jour. Le choix fut rapidement fait. La souffrance serait pour demain. Elle espĂ©rait rĂ©ussir Ă  se convaincre de le quitter dĂšs les premiĂšres lueurs du jour, elle n’avait guĂšre le ne pouvaient plus se passer l’un de l’autre, totalement dĂ©pendant et Ă©pris d’avance sans aucun contrĂŽle. Accro. Passion. AviditĂ©. Envie. DĂ©pendance. Besoin. Autant de mots et aucun moyen de fuir cette rĂ©alitĂ© atroce qui se dessinait devant les yeux de la demoiselle. Mais, pourquoi y penser maintenant, pourquoi laisser le doute prendre le dessus en mĂȘme temps que la culpabilitĂ© ? Elle aurait tout le temps de le faire le lendemain, pour une journĂ©e qui promettait d’ĂȘtre trĂšs trĂšs longue. Elle devrait partir d’ici, rendre totalement l’appartement pour ne plus y remettre les pieds et ne pas subir une vague de souvenirs et elle devrait combler ce manque. Horreur, la demoiselle venait de se rendre compte que pour obtenir l’appartement, elle avait dit son nom de famille. Il connaissait ainsi son prĂ©nom et son nom, et, maintenant, la suite de l’histoire, s’il dĂ©sirait la retrouver il lui suffirait de demander sur le campus, nombreuses personnes savaient oĂč elle habitait. Non, ce n’était qu’une nuit, aucune raison pour qu’il cherche Ă  la revoir d’autant plus qu’il ne se souviendrait pas de son nom de famille, elle l’espĂ©rait. Ses mains sur sa peau la rendait folle, totalement folle. Dans ses bras, contre le mur, leurs lĂšvres Ă©taient de nouveau soudĂ©es. La rebelle passa ses bras autour du cou de son compagnon laissant ses doigts se balader sur sa nuque lentement, avec une si grande tendresse qu’elle s’étonna elle-mĂȘme. La demoiselle quitta ses lĂšvres laissant les siennes parcourir sa joue remontant Ă  son oreille, mordillant son lobe avant de laisser Ă  nouveau ses lĂšvres passer sur sa joue puis caressant sa mĂąchoire et glissant dans le cou de son compagnon laissant ses lĂšvres et sa langue goĂ»ter Ă  la peau de celui dont elle Ă©tait d’or et dĂ©jĂ  accro. Elle Ă©tait dĂ©jĂ  Ă  lui, irrĂ©mĂ©diablement, pour beaucoup plus qu’une simple histoire d’un soir
 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Mar 7 DĂ©c - 1925 Fuir, du point de vue de Tom, c’était lĂąche. Et ça n’arrangeait jamais rien. Les problĂšmes nous rattrapent toujours tĂŽt ou tard, quoi qu’on fasse. La seule chose censĂ©e qu’on puisse faire est de leur faire face et de les affronter. Les rĂ©soudre. MĂȘme si cette fois il n’y avait rien Ă  rĂ©soudre. Cette fois la seule solution aurait Ă©tĂ© de fuir. Avant qu’il ne soit trop tard ; avant qu’ils ne se touchent. Avant qu’ils ne s’embrassent. Maintenant ils ne pourraient plus fuir sans souffrir. Parce qu’ils s’étaient laissĂ©s aller et qu’ils Ă©taient devenus totalement accro l’un Ă  l’autre. Et voilĂ  oĂč ça les menait. Ils s’embrassaient, se touchaient, toujours avides de plus, possĂ©dĂ©s par l’envie d’appartenir Ă  l’autre, frissonnaient sous leurs caresses et l’intensitĂ© de leurs baisers. Tom mit fin au baiser, lançant un sourire Ă  la brune, et prit ses mains qu’il guida au bas de son tshirt pour qu’elle le lui enlĂšve. Pas qu’il soit trop paresseux pour le faire lui-mĂȘme mais il avait envie que Lena le fasse. Profiter davantage de ses caresses. Et bien que son sang lui semble brĂ»ler tant son dĂ©sir pour la rebelle Ă©tait grand, un frisson glissa sur son dos lorsqu’il se retrouva torse nu. Ou peut-ĂȘtre Ă©tait-ce le regard qu’elle posa sur lui qui lui fit cet effet. Et alors qu’il glissa ses mains sous la robe de la jeune fille, caressant ses cuisses avec une tendresse et une douceur qu’il ne se connaissait pas, Tom rĂ©alisa. Il avait beau se rĂ©pĂ©ter que Lena n’était qu’une histoire d’un soir
 Elle ne serait jamais que ça. Ni mĂȘme la fille de deux soirs, ou d’une semaine. C’était bien plus. Il Ă©tait accro Ă  elle. Autant qu’elle semblait l’ĂȘtre de lui. Il la laissa dĂ©couvrir sa peau, y dĂ©poser de douces cascades de baisers, soupirant alors qu’elle maltraitait la peau sensible de son cou et une Ă©vidence lui sauta au visage. Il ne pourrait jamais se dĂ©faire d’elle. Il lui appartenait corps et Ăąme. Et il ne cherchait mĂȘme pas Ă  s’enfuir. Il Ă©tait Ă  elle. A elle et personne d’autre. Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Mar 7 DĂ©c - 2051 Avoir vu tant et tant de personnes souffrir Ă  cause de l’amour, souffrir parce que l’autre ne l’aimait pas, souffrir parce qu’elles Ă©taient seules alors que tant d’autres avaient quelqu’un dans leur vie, souffrir parce qu’une histoire se finit. Souffrir parce que malgrĂ© les promesses, cela ne dure jamais. Il faut ouvrir les yeux et voir le monde tel qu’il est. L’amour n’est qu’une illusion de bonheur, une illusion de vie oĂč tout irait pour le mieux avec une personne. Sauf qu’à un moment ou un autre, tout finissait du jour au lendemain, parfois sans raisons, d’autre fois avec de multiples raisons. En plus de sa propre souffrance, voir les autres pleurer, maudire le monde et briser leur cƓur tentant de le rassembler par la suite, triomphant ou non des blessures. Voir tout cela l’avait vaccinĂ© contre l’amour. L’amour ne dure jamais, il faut savoir ĂȘtre seule et trouver d’autres moyens pour survivre tout en gardant toujours la tĂȘte froide. Lena avait toujours vĂ©cu en gardant une distance dans laquelle elle se confortait avec tout le monde. Garder pour elle son passĂ©, ses blessures et toutes ses blessures physiques qu’elle se faisait subir. Satisfaite plus ou moins de son sort, elle n’en restait pas moins ainsi. Rien ne valait rĂ©ellement de prendre le risque de perdre tout ce qu’elle avait passĂ© autant de temps Ă  construire pendant des annĂ©es. Si elle prenait le risque, cela signifiait qu’elle prenait le risque de souffrir et de devoir tout recommencer Ă  zĂ©ro et elle ne se sentait guĂšre en mesure de tout recommencer, de tout reprendre et de recommencer Ă  tenter de guĂ©rir en se construisant une nouvelle vie, une nouvelle base et une nouvelle personnalitĂ© cachant l’ensemble de son passĂ© et de ses blessures. Rien ni personne ne valait la peine qu’elle prenne le risque de se dĂ©truire, de souffrir et peut-ĂȘtre de finir par mourir de tout cela. Non, rien ni personne c’était ce qu’elle avait toujours pensĂ© depuis qu’elle Ă©tait petite. Comme si elle Ă©tait nĂ©e ainsi, nĂ©e en sachant dĂ©jĂ  comment elle devait vivre, comment elle devait faire pour rĂ©ussir Ă  tenir debout sans tomber. En vĂ©ritĂ©, son comportement n’était que le tĂ©moignage de peurs si profondĂ©ment enfouies qu’elle n’arrivait plus Ă  mettre de noms dessus. C’était ce qu’elle avait toujours pensĂ©, et ce qu’elle penserait moins, c’était ce qu’elle croyait tant, ces valeurs auxquelles elle s’était attachĂ©e autant que le monde qu’elle s’était construit, un monde sans attachement et sans sentiments. Un monde de libertĂ© et de solitude oĂč elle aimait se plonger. Rien ni personne ne valait la peine qu’elle quitte ce monde oĂč elle se sentait si bien. Rien ni personne ne valait la peine qu’elle ose avouer son passĂ© et ses peurs, qu’elle explique les cicatrices sur ses bras ou sur d’autres parties de son corps. Non. Du moins c’était ce qu’elle pensait avant de le rencontrer. Oui, lui, Tom. S’il Ă©tait l’exception. Tout ce qu’elle ressentait, toutes ces sensations qui l’envahissaient n’étaient pas lĂ  pour rien. Ni l’alcool, ni l’ambiance n’étaient responsables de cela, c’était simplement sa prĂ©sence qui rendait la demoiselle folle et totalement accro Ă  l’instant mĂȘme oĂč il Ă©tait entrĂ© dans son champ de vision. La fuite apparaissait maintenant comme une tentative lĂąche et absurde en plus d’ĂȘtre totalement inutile. Lena ne connaissait rien de la vie de Tom, rien de lui, rien. Elle Ă©tait absolument sans savoirs et sa simple prĂ©sence la rassurait. Elle se sentait tellement en sĂ©curitĂ© qu’elle aurait Ă©tĂ© prĂȘte Ă  quitter son monde plein de fantaisie pour laisser une chance Ă  ce monde horrible oĂč l’amour existe soi-disant. Oui, elle aurait pĂ»t. Peut ĂȘtre que c’est Ă©galement ce qu’elle devait faire. Mais penser Ă  tout cela ce soir ne la conduirait Ă  rien, absolument rien car dĂšs demain elle prendrait lĂąchement la fuite, elle s’en irait sans explications sans mots. DĂšs les premiĂšres lueurs du jour, la rĂ©alitĂ© reprendrait le dessus, et pourtant cette envie de rester prĂšs de lui tout le temps Ă©tait si forte qu’elle ressentait dĂ©jĂ  le dĂ©chirement et la douleur que tout cela allait provoquer. Mais, elle ne pouvait pas accepter de donner une chance, laisser entrer quelqu’un dans sa vie Ă©tait comme se suicider sur le champ. Elle ne pouvait et ne voulait pas ĂȘtre comme tous ces ĂȘtres faibles qui chĂ©rissent tant l’amour, elle ne voulait pas devenir dĂ©pendante et accro. Et, pourtant, irrĂ©mĂ©diablement, elle l’était devenue. Une simple soirĂ©e, une simple sortie et tout avait Ă©tĂ© chamboulĂ© dans sa vie. Non, ce ne serait que pour une nuit et rien d’autre. Rien d’ sourire qu’il lui lança la fit frissonner, tressaillir d’envie et de dĂ©sir. Ce sourire serait ancrĂ© dans sa mĂ©moire aussi profondĂ©ment que s’il Ă©tait gravĂ© dans son cerveau. Ses mains se retrouvĂšrent au bas du tee-shirt de son compagnon qu’elle enleva avant de le laisser tomber sur le sol. Qu’importe, ce n’était pas cela l’important. Se mordant la lĂšvre, la rebelle l’observa quelques instants. C’était si bizarre et si dangereux de vouloir ancrer chaque secondes dans sa mĂ©moire, de vouloir tout garder en tĂȘte et ne rien oublier. La demoiselle laissa ses mains caresser le torse de son partenaire si lentement, si tendrement et pourtant si avidement alors que ses lĂšvres dĂ©voraient son cou. Les mains de Tom sur ses cuisses la firent tressaillir de dĂ©sir alors qu’un nouveau gĂ©missement d’envie franchissait ses lĂšvres. Accro totalement, elle l’était bel et bien. Pourtant, elle arriverait Ă  s’en dĂ©faire, elle arriverait Ă  s’en passer non ? Elle l’espĂ©rait tout du moins car elle n’aurait pas le choix. Sa vie Ă©tait tracĂ©e simplement depuis qu’elle avait choisi de vivre ainsi, loin de tous attachements, elle avait toujours dĂ©sirĂ© cela et ce n’était pas une simple personne qui allait tout chambouler. Pourtant, Tom Ă©tait loin d’ĂȘtre une simple personne, il Ă©tait tellement plus que cela. Il Ă©tait hors de question qu’elle change de vie comme cela, qu’elle laisse tout de cĂŽtĂ© et qu’elle laisse une chance, elle n’avait pas le choix et elle ne voulait pas. Quoique si. Elle en mourrait d’envie, mais ne tenterait jamais le diable, jamais. Des rĂšgles fixes qu’elle ne pourrait pas effacer ou oublier. Il l’oublierait, elle en Ă©tait persuadĂ©e, on oublie facilement dans ce monde. Alors que ses lĂšvres dans le cou de Tom descendaient lĂ©gĂšrement venant se glisser sur son torse, Lena se rendait compte Ă  quel point ces actes allaient avoir des consĂ©quences sur sa vie et qu’elle n’aurait pas le choix, elle devrait souffrir pour rester celle qu’elle avait toujours Ă©tĂ©. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Mer 8 DĂ©c - 1535 Aimer, c’était prendre le risque de souffrir. C’était malheureusement une rĂ©alitĂ©. C’était un fait, puisque gĂ©nĂ©ralement on se laissait aller Ă  exposer nos points faibles Ă  l’autre, en toute confiance. Et lorsque cette confiance Ă©tait dĂ©mĂ©ritĂ©e ou se brisait
 Ca faisait mal. Mais l’amitiĂ© n’était pas moins douloureuse. Accorder sa confiance, c’était prendre le risque de souffrir. Et pourtant ça en valait la peine. Enfin ça dĂ©pendait avec qui. Mais devant Lena, Tom avait dĂ©jĂ  abandonnĂ© toute rĂ©sistance. Etrangement il ne la connaissait que depuis quelques heures mais il se sentait totalement en confiance prĂšs d’elle. Il baissait totalement sa garde, ne pensait plus Ă  se mĂ©fier, et ça ne lui faisait mĂȘme pas peur. La seule peur qui restait enfouie en lui, c’était que demain tout s’arrĂȘte. Que la brune s’en aille, l’abandonne, le laisse en proie Ă  une dĂ©pendance si violente qu’il ne s’en remettrait jamais, brisant toute volontĂ© de faire confiance Ă  nouveau et probablement mĂȘme de sourire. Oui, si Lena le quittait demain, Tom ne deviendrait plus qu’une ombre insignifiante sans aucune volontĂ©. Comme une vulgaire poupĂ©e de chiffon. Mais la seule chose qu’il voulait Ă  cet instant c’était profiter. Profiter de ce qui serait la plus belle nuit de sa vie, graver chaque dĂ©tail de ces moments dans sa mĂ©moire pour s’en souvenir jusqu’à son dernier jour, toujours se souvenir de ces frissons qui couraient sur sa peau dĂšs qu’ils se touchaient, ces sensations, comme des papillons lĂąchĂ©s dans son ventre, dĂšs qu’ils s’embrassaient. Il voulait se rappeler de tout. Lena se mit Ă  embrasser son torse et le tressĂ© ferma les yeux en soupirant. C’était dingue de voir l’effet qu’elle lui faisait, par de simples baisers. Il profita de chaque sensation, de la douceur de ces lĂšvres sur sa peau brĂ»lante, des frissons de bien-ĂȘtre qui couraient sur son torse Ă  chaque baiser, du souffle chaud qui s’écrasait dĂ©licieusement contre son Ă©piderme. Il la laissait faire, ses mains remontant toujours plus sur les cuisses de la rebelle, allant se saisir de son sous vĂȘtement qu’il commença Ă  faire glisser sur ses jambes alors qu’il se soumettait entiĂšrement aux attentions de la belle brune. Jamais encore il n’avait autant dĂ©sirĂ© une femme. Mais justement ; Lena n’était pas que » une femme. Elle Ă©tait sienne, et il ne la laisserait jamais s’enfuir. Jamais. Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Mer 8 DĂ©c - 2327 DĂ©pendance. Etat de soumission face Ă  quelqu’un, Ă  quelque chose, Ă  des sensations. Un rapport de liaison totale entre deux personnes. Face Ă  Tom, Lena Ă©tait incapable d’agir Ă  sa guise, d’agir comme elle aurait dĂ»t, comme si elle n’était pas libre de ses actes et de ses pensĂ©es, comme si elle Ă©tait soumise Ă  toutes ses sensations nouvelles qui s’emparaient d’elle. Le contact de Tom Ă©tait devenu un besoin impĂ©rieux et essentiel, si essentiel qu’elle ne voulait plus avoir Ă  s’en passer ne serait-ce qu’une seconde. Il Ă©tait bizarre de se dire que, sans lui, elle ne serait pas en mesure de continuer Ă  vivre, de se mettre Ă  effectuer les gestes banals de la vie. C’était comme si sa vie ne tournait plus qu’autour de son compagnon de la nuit. PoussĂ©es par ces pulsions incontrĂŽlables, Lena voulait trouver ces effets apaisants, euphorisants et excitants qu’elle ressentait en sa prĂ©sence. Elle en avait besoin autant qu’elle le dĂ©sirait. Si son contact avec lui cessait un seul instant, elle serait pire qu’une droguĂ©e en manque. Elle s’était mise dans les ennuis et peu Ă  peu la rebelle finissait par s’en rendre compte. Pire qu’une droguĂ©e. Une dĂ©pendance totale et incontrĂŽlable. Un besoin primordial. La demoiselle ignorait comment elle rĂ©ussirait Ă  le quitter au lever du jour, comment elle rĂ©ussirait Ă  se convaincre de s’enfuir quitte Ă  souffrir. Oui, la demoiselle savait que, mĂȘme si elle s’éloignait, elle souffrirait, elle en souffrirait bien plus qu’elle ne devrait et elle ne pourrait pas Ă©chapper Ă  cette douleur, Ă  ce vide. Son absence provoquerait en elle un Ă©tat de folie intense qui la pousserait Ă  rester fermĂ©e chez elle, un Ă©tat de folie Ă  l’état pure qui allait faire d’elle une vĂ©ritable bombe ambulante. En une simple nuit, une simple rencontre pouvait chambouler tant de choses. Pourquoi s’était-il trouvĂ© sur son chemin ? Pourquoi avait-elle dĂ»t croiser sa route et son regard ? Pourquoi Ă©tait-elle sortie ? Le destin. DestinĂ©e Ă  souffrir chaque jour. Un simple aperçut d’attachement la faisait fuir, et lĂ  c’était pire puisqu’elle ne partait pas. Non, elle ne partait pas, elle ne partirait que d’ici quelques heures lorsqu’il serait endormi et qu’elle aurait trouvĂ© le courage de s’enfuir lĂąchement et de se mettre Ă  oublier, de se mettre Ă  reprendre sa vie comme si cette nuit, dont elle ancrĂ© les moindres dĂ©tails dans sa mĂ©moire, n’avait pas les barriĂšres qu’elle s’efforçait Ă  mettre entre elle et les autres, entre elle et le monde et surtout entre elle et chaque personne Ă©tait tombĂ©e les unes aprĂšs les autres. Un regard avait Ă©vanouie sa mĂ©fiance, un contact avait Ă©vanouie sa peur, un baiser avait Ă©vanouie ces limites et ces rĂšgles que la rebelle n’avait cessĂ© de suivre et de se fixer tout au long de sa vie. Pourtant, chacun de ses gestes l’avait fait plonger de plus en plus dans une dĂ©pendance dont elle ne pourrait pas sortir. Une dĂ©pendance dont elle serait Ă  la merci. Elle s’enfuirait sitĂŽt qu’elle aurait l’occasion de le faire. Mais, s’il avait le sommeil lĂ©ger et qu’aux moindres lĂ©gers bruits, qu’au moindre mouvement, il ne se rĂ©veille, comment ferait-elle ? Comment s’éloignerait-elle s’il la regarder ? La demoiselle se rendait chaque seconde compte combien elle avait besoin de sa prĂ©sence, combien elle ne dĂ©sirait pas le trahir ni l’abandonner. Lena voyait combien elle allait souffrir de ses actes, combien elle allait devoir supporter un manque intense. Et, la peur reprenait le dessus. La peur de craquer et d’ĂȘtre incapable de s’en aller demain matin, la peur de rester et de ne cesser de plonger. C’était comme une chute dont elle Ă©tait tĂ©moin tout en la subissant. Elle savait que c’était mauvais pourtant elle restait passive alors qu’elle s’enfonçait dans une situation qui risquait d’ĂȘtre pire que mauvaise. Une situation dont elle ne sortirait pas indemne, une situation dont elle risquait de ne pas sortir aussi vivante qu’elle le dĂ©sirait. La jeune Wates avait saisi la vĂ©ritĂ©. Elle ne voulait que lui et pour longtemps, trĂšs longtemps, aussi longtemps qu’elle respirerait, elle dĂ©sirait sa prĂ©sence, son contact. Un contact dont elle ne pourrait jamais se lasser, un contact qu’elle ne pourrait jamais effacer. Cette vĂ©ritĂ©, cette rĂ©alitĂ© la terrifiait au point qu’elle arrivait de plus en plus Ă  se convaincre que, quoiqu’il arrive, il fallait que le lendemain, dĂšs que l’occasion se prĂ©sentait, elle sorte de cette chambre et ne se retourne pas s’éloignant chez elle et s’y enfermant quelques jours pour oublier avant d’ĂȘtre en mesure de reprendre le cours de sa la merci des sensations, des pulsions, ne dĂ©sirant que plus Ă  chaque seconde, ne dĂ©sirant aucune fin, la rebelle ne se laissait pas du contact avec Tom. Toutes ces sensations Ă©taient si nouvelles, si magiques et si intenses qu’elle ne voulait pas les oublier, qu’elle ne voulait pas qu’elles cessent. Non, Lena voulait profiter et abuser de ses sensations autant de temps qu’elle le pourrait, autant de temps qu’elle y aurait le droit, autant de temps que le destin lui permettait. Juste une nuit c’était essentiel. Graver chaque dĂ©tail, se souvenir de chaque frisson qui courrait sur sa peau. Son cƓur qui battait la chamade, Ă  ce rythme si fort qu’elle aurait crut impossible si on lui avait dit. Sa respiration si difficile Ă  trouver, comme si son unique source d’oxygĂšne Ă©tait la prĂ©sence de Tom, comme s’il Ă©tait devenu le seul qui importait rĂ©ellement. Folie qui la ronge, dĂ©sir qui la brĂ»le. Lena ne voulait rien oublier, mĂȘme si ses souvenirs devaient la dĂ©truire, elle ne voulait pas les chasser de son esprit, elle voulait qu’ils la hantent sans cesse. Collectionner ces nuits, noirs sur noirs se rappelant de tout cela, se souvenir par cƓur du timbre de sa voix, de son sourire si craquant, de sa peau brulante, de ses mains sur son corps. Tout ancrer dans sa mĂ©moire et ne rien perdre, ne rien oublier. Les lĂšvres de la demoiselle continuaient leur descente dangereuse le long du torse de son compagnon de la nuit alors qu’une nouvelle vague de frisson parcourue sa peau lorsqu’il remonta ses mains sur ses cuisses se saisissant de son sous vĂȘtement qu’il commença Ă  faire glisser sur ses jambes. Un nouveau gĂ©missement s’échappa des lĂšvres de la demoiselle. Juste une nuit, elle serait Ă  lui, une simple nuit puis elle s’enfuirait loin et accepterait la souffrance. Une nuit, un rĂȘve avant le retour en enfer. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Ven 10 DĂ©c - 1515 La dĂ©pendance ? Oui, c’était exactement ce qui unissait maintenant Tom et Lena. Ils auraient beau se voiler les yeux ils Ă©taient bel et bien pris au piĂšge de quelque chose bien plus fort qu’eux. Et ils ne pourraient pas s’en dĂ©faire, quoi qu’ils tentent. Ce n’était pas dĂ» Ă  l’alcool, non. Ce n’était pas qu’un dĂ©sir avide dĂ» Ă  leur Ă©briĂ©tĂ©. Ils Ă©taient rĂ©ellement accro l’un Ă  l’autre ; peut-ĂȘtre cela devait simplement se passer ainsi. Toujours est-il qu’en scellant leur premier baiser ils scellaient leurs destins. Ils ne pourraient plus jamais se passer l’un de l’autre sans en souffrir. Et quelque part c’était bien ce qui faisait peur au tressĂ© ; il assumait totalement cette sensation de dĂ©pendance envers la brune, mais que se passerait-il si elle s’enfuyait dĂšs le soleil levĂ© ? Elle les condamnerait Ă  souffrir chacun de leur cotĂ©. Et c’était exactement ce qui l’effrayait. Il avait dĂ©jĂ  tant endurĂ©, tout ce qu’il voulait c’était une vie tranquille. Mais pour ça il avait besoin de Lena prĂšs de lui. Il avait besoin d’elle dans ses bras, de ses baisers, de ses caresses, et de toutes ces sensations qu’il ressentait dĂšs qu’elle Ă©tait avec lui. Cet Ă©tat de sĂ©rĂ©nitĂ©, de tranquillitĂ©, ces envies de tendresse
 Tout. Il avait besoin et envie de tout ce qu’elle lui offrait par sa prĂ©sence. Il l’aimait tellement. MĂȘme si ce coup du destin semblait insensĂ©, oui, il l’aimait. Plus que tout ce qu’il n’avait jamais ressenti. Plus que tout au monde. Et Dieu qu’il souffrirait si elle l’abandonnait, que ce soit le lendemain, dans une semaine ou dans cinq ans. Il savait qu’à partir de maintenant il ne saurait plus vivre sans la rebelle. Il ne serait plus qu’une ombre, une marionnette sans Ăąme, un pantin qui se laisserait porter par la vie sans aucune volontĂ©, une coquille vide. Mais pour le moment il ne voulait pas y penser. Il voulait profiter de cette nuit qui – il le savait dores et dĂ©jĂ  – serait la plus belle qu’il pourrait vivre. Il aimait tellement sentir Lena frissonner sous ses caresses, l’entendre gĂ©mir, et il avait dĂ©jĂ  hĂąte et envie de plus. Beaucoup plus. Mais il profitait tout simplement de chaque instant, prenant son temps, offrant son intensitĂ© Ă  chaque seconde. Il profita de chaque baiser qu’elle dĂ©posait sur son torse, soupirant doucement, alors que lui-mĂȘme remontait encore ses caresses le long de sa cuisse jusqu’à venir caresser son intimitĂ© avec douceur. Cette nuit allait ĂȘtre magique. Et il ferait tout pour qu'elle ne soit pas la derniĂšre. Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Ven 10 DĂ©c - 2346 Magie. Surnaturel. Destin. Hasard. Coup de foudre. Tant de mots vagues qu’on pourrait utiliser pour dĂ©crire la situation qui venait de se dĂ©rouler. Quelle probabilitĂ© y avait-il pour que deux inconnus se rencontrent en boĂźte de nuit et finissent la nuit ensemble ? Elle Ă©tait grande, mĂȘme trĂšs grande. En revanche, quelle probabilitĂ© y avait-il pour que deux inconnus se rencontrent en boĂźte de nuit, couchent ensemble et ressentent ces sensations si intenses ? Elle Ă©tait quasiment nulle. Quasiment nulle ! Tom et Lena Ă©tait tombĂ©s sur cette probabilitĂ© quasiment nulle. Un coup du hasard, un jeu du destin mĂȘlant magie et surnaturel, un coup de foudre instantanĂ©. Ils ne pouvaient plus rien changer, ils ne pouvaient pas revenir en arriĂšre. Ils n’étaient que deux personnes maintenant pris au piĂšge dans une dĂ©pendance impossible Ă  gĂ©rer. Une dĂ©pendance qui les conduisait Ă  avoir sans cesse besoin l’un de l’autre, une dĂ©pendance qui les liait et cela pour longtemps encore. Une dĂ©pendance Ă  laquelle ils ne pouvaient pas Ă©chapper. Mais, la jeune Wates devait partir, Ă©chapper Ă  ce coup du sort, Ă©chapper Ă  ce coup du destin et s’enfuir. Elle Ă©tait d’accord pour accepter la perte intense, le vide immense et la souffrance destructrice. Elle Ă©tait prĂȘte Ă  apparaĂźtre comme une zombie pendant des semaines comme si toute l’étincelle de sa vie Ă©tait Ă©teinte, comme si sa vie se jouait en noir et blanc dĂ©lavĂ©e de tout bonheur. Au contraire, elle n’était pas prĂȘte Ă  vivre dans une dĂ©pendance et dans un besoin, elle n’était pas prĂȘte Ă  assumer cela et Ă  assumer de tels besoins. Lena ne voulait pas avoir Ă  souffrir en osant ĂȘtre avec quelqu’un, acceptĂ© de laisser Tom la connaĂźtre, connaĂźtre ses faiblesses. Quand il saurait vraiment qui elle est, il prendrait la fuite et elle se retrouverait brisĂ©e, incapable de vivre alors que si elle partait, elle souffrirait moins. Il y aurait toujours ce manque intense et cette douleur immense, mais elle rĂ©ussirait Ă  s’y faire. Drogue, alcool et mutilation seraient lĂ  pour l’aider Ă  s’en remettre et passer outre cette elle avait encore un peu de temps devant elle, le reste de la nuit juste pour se forger des souvenirs de chaque instant qu’elle garderait gravĂ© dans sa mĂ©moire, juste pour se souvenir de son visage, de son sourire, de sa voix et de toutes les sensations qu’il provoquait en elle. Juste profiter de ce qu’elle ne pourrait avoir qu’une seule nuit. Elle savait Ă  quel point le temps est prĂ©cieux et Ă  quel point les heures actuelles lui Ă©taient comptĂ©es. Elle savait Ă©galement Ă  quel point il serait dur pour elle de prendre la fuite aprĂšs tout cela, mais pourtant, elle le ferait, elle fuirait dĂšs le jour levĂ©. Elle n’avait pas le choix, elle ne pouvait pas rester. Ses lĂšvres continuaient leur descente le long du torse de son partenaire. Son cƓur battait la chamade, sa respiration Ă©tait incontrĂŽlable et les frissons ne quittaient plus sa peau devenant plus intense Ă  chaque caresse. Chaque caresse qui lui arrachait des gĂ©missements, gĂ©missements d’envie et de plaisir. Tout ne fut plus que sensations et rien d’autres n’importait, plus aucunes pensĂ©es, plus rien, juste des sensations. Les vĂȘtements volĂšrent dans la piĂšce au fur et Ă  mesure jusqu’à ce que le contact entre leurs deux peaux soit total. Pourquoi se sentait-elle juste si heureuse ? Baisers, caresses, gĂ©missements, souffle, plaisir, envie, frissons, plaisir, dĂ©sir, union
 Une nuit Ă  graver dans sa mĂ©moire, une nuit magique et intense. Une nuit oĂč elle lui appartenait, juste une nuit. Elle n’était qu’à lui, malgrĂ© le temps comptĂ©, malgrĂ© le temps qui diminuait Ă  chaque seconde qui passait. Ce fut leur nuit, un beau souvenir Ă  garder gravĂ© dans la mĂ©moire
 Une nuit magique et intense, une nuit si simple et pourtant qui allait engendrer trop de consĂ©quences.************************Le soleil filtrait lĂ©gĂšrement Ă  travers les rideaux ouverts de la chambre. Un mal de crĂąne horrible s’empara de la jeune demoiselle qui s’éveillait lentement dans ce lit blottie dans les bras de quelqu’un. QUOI ???! Quelques secondes Ă  peine et elle Ă©tait totalement rĂ©veillĂ©e, les yeux ouverts Ă  dĂ©tailler du regard Tom. Tous les souvenirs remontaient si intensĂ©ment qu’elle voulait demeurait lĂ  blottie dans ses bras, sentant les frissons courir sur sa peau, sa respiration, bien que calmĂ©e, toujours difficile Ă  atteindre et surtout son cƓur qui battait si fort qu’elle avait l’impression qu’il risquait d’exploser. Lena referma les yeux quelques instants encore, profitant de la chaleur de la peau de Tom contre la sienne, se laissant bercer par sa respiration si calme et les battements du cƓur du jeune homme comme si c’était une mĂ©lodie. Elle aurait pĂ»t rester ainsi des heures durant tellement elle se sentait si bien et si heureuse. Pourtant ce n’était pas la bonne solution ou la bonne idĂ©e. La rebelle ouvrit Ă  nouveau les yeux et observa ce visage d’ange, elle laissa son doigt se promenait sur le visage de son compagnon de la nuit tout doucement pour ne pas le rĂ©veiller. S’imprĂ©gner une ultime fois de son contact, de sa chaleur et de son attention au moindre de ses gestes pour ne pas le rĂ©veiller, la demoiselle s’écarta de quelques centimĂštres Ă  chaque fois jusqu’à ce que leurs peaux ne se touchent plus. AussitĂŽt un vide et un manque intense. Contemplant le plafond, Lena se mordit la lĂšvre. Elle Ă©tait totalement tombĂ©e dans le piĂšge oĂč elle ne voulait jamais tomber, ce piĂšge qu’elle Ă©vitait tant. Finalement la demoiselle sortit du lit tout doucement une nouvelle fois et se dirigea dans la salle de bain. Elle ferma la porte et s’observa dans le miroir. Depuis quand avait-elle cet air heureux et rĂ©jouie sur le visage ? Depuis quand semblait-elle aussi apaisĂ©e et aussi bien ? Soupirant, la demoiselle se glissa sous l’eau de la douche. Le temps s’écoula, les minutes passĂšrent et elle prenait peu Ă  peu conscience de la rĂ©alitĂ©, de cette dĂ©pendance qui Ă©tait si forte qu’elle ne pourrait pas tenir sans lui. Pourtant, elle devait tenir, elle devait rĂ©ussir. Sortant de la douche et enroulant une serviette autour d’elle, elle ouvrit la porte et resta un petit instant immobile pour vĂ©rifier qu’il dormait toujours. Elle pĂ©nĂ©tra dans la piĂšce et rĂ©cupĂ©ra ses vĂȘtements Ă©parpillĂ©s sur le sol avant de revenir dans la salle de bain. Une fois ces vĂȘtements posĂ©s sur la baignoire, la rebelle se regarda de nouveau dans le miroir avant de s’en dĂ©tourner ne supportant pas de voir cette dĂ©pendance et ce bonheur qui se dessinait devant ses yeux. La rebelle entreprit de coiffer ses cheveux toujours en silence en priant pour avoir le temps de s’enfuir avant qu’il ne se rĂ©veille. Elle Ă©tait dĂ©jĂ  trop condamnĂ©e, il ne fallait pas qu’elle reste sinon elle ne serait jamais en mesure de fuir. Elle pouvait juste prier pour qu’il dorme encore une vingtaine de minutes qu’elle se prĂ©pare en espĂ©rant qu’il soit du genre Ă  dormir beaucoup et surtout que la simple lumiĂšre du jour ne le rĂ©veiller pas. PriĂšres. AccĂ©lĂ©rant le rythme, la demoiselle continua de coiffer ses cheveux. Elle Ă©tait dĂ©jĂ  trop prise au piĂšge de cette dĂ©pendance et de ce besoin. Tom
 Plus qu’une simple nuit
 Elle ne pouvait guĂšre, elle devait fuir. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Sam 11 DĂ©c - 046 Diderot a dit Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mĂšne ». Et Tom et Lena en Ă©taient la preuve. Ils s’étaient retrouvĂ©s dans la mĂȘme boite de nuit le mĂȘme soir, leurs regards s’étaient croisĂ©s, et dĂšs lors ils avaient Ă©tĂ© incapables de se passer l’un de l’autre. Ils Ă©taient irrĂ©mĂ©diablement accro l’un Ă  l’autre et ce sentiment Ă©tait hors de leur contrĂŽle. Quoiqu’ils disent ou qu’ils fassent, ils ne pourraient jamais briser cette sensation qui faisait battre leurs cƓurs quand ils Ă©taient ensemble ; ils ne pourraient jamais oublier ce sentiment d’accomplissement, comme si ils avaient trouvĂ© l’autre moitiĂ© d’eux-mĂȘmes quand ils sont dans les bras de l’autre. Le destin avait pris leurs cƓurs et les avait marquĂ©s au fer rouge d’un amour et d’une dĂ©pendance d’une puissance et d’une intensitĂ© inimaginables. Cette nuit avait Ă©tĂ© bien plus qu’une simple aventure entre deux personnes qui se connaissaient Ă  peine ; ils s’étaient condamnĂ©s. Chaque baiser, chaque frisson, chaque gĂ©missement qu’ils destinaient Ă  l’autre ne faisaient que grandir leur appartenance et leur addiction. Et pourtant ils en avaient eu tellement besoin. Faire l’amour leur avait Ă©tĂ© vital. Ça avait Ă©tĂ© la meilleure nuit que le tressĂ© ait vĂ©cu. La plus belle, la plus intense, la plus douce, la plus passionnĂ©e
 La plus parfaite. Jamais il ne s’était senti aussi bien que dans les bras de la brune. Ils ne s’étaient lĂąchĂ©s que lorsque leurs corps criĂšrent grĂące, Ă©puisĂ©s mais apaisĂ©s et heureux, et s’étaient simplement lovĂ©s dans les bras l’un de l’autre alors que MorphĂ©e venait les chercher. Et Tom avait dormi totalement serein jusqu’à ce qu’il sente que Lena quittait ses bras. La lumiĂšre qui filtrait des rideaux lui indiqua que le jour se levait lui aussi, et il se retourna dans les draps. Un sourire passa sur son visage alors qu’il trouvait le parfum de la rebelle dans son oreiller ; sourire qui s’effaça quelque peu alors que le musicien entendit du bruit dans la salle de bains. Ça devait simplement ĂȘtre Lena. Pas de quoi paniquer. Un sourire tendre Ă©tendit Ă  nouveau ses lĂšvres alors qu’il se levait, s’entourant la taille dans un drap avant de rejoindre sa belle dans la piĂšce liĂ©e Ă  la chambre. Il sourit en la voyant se prĂ©parer et ne put s’empĂȘcher de la comparer Ă  un ange. BlessĂ© certes, mais un ange quand mĂȘme. Son ange. Il vint se coller doucement Ă  son dos et passa ses bras autour de la taille fine de sa compagne, alors que son menton venait se caler contre son Ă©paule. Et Ă  nouveau cette sensation d’apaisement le rĂ©chauffa de l’intĂ©rieur. Il n’y avait vraiment que prĂšs d’elle qu’il se sentait bien. T’es tellement belle, souffla-t-il tendrement en couvrant le cou de la jeune femme de baisers. C’était incroyable de voir Ă  quel point il pouvait avoir besoin de contacts avec elle. Il Ă©tait juste incapable de s’en passer, c’était plus fort que lui. Bonjour. Bien dormi ?Oui, la nuit avait Ă©tĂ© parfaite. Elle l’avait tellement Ă©tĂ© que pas une seconde Tom avait pensĂ© que la rebelle avait pensĂ© filer en douce. Non. C’était impensable. Ils Ă©taient tellement bien tous les deux. Pris au piĂšge, oui. Mais quel magnifique piĂšge que celui dans lequel ils Ă©taient tombĂ©s. Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Sam 11 DĂ©c - 2359 Vite, vite, vite. Pourquoi ses cheveux ne se coiffaient pas aussi facilement que d’habitude ? Ou Ă©tait-ce elle qui, inconsciemment, faisait exprĂšs de ne cesser de se dĂ©coiffer ? Pourtant, elle ne devait pas perdre de temps, elle devait se dĂ©pĂȘcher Ă  se prĂ©parer et fuir. Peut-ĂȘtre aurait-elle-mĂȘme dĂ»t prendre ses affaires, s’habiller et partir sur le champ. Oui, elle aurait surement dĂ»t agir ainsi car en restant dans la chambre pour se prĂ©parer, elle prenait un risque immense. Le risque qu’il se rĂ©veille. Et, si cela arrivait, comment ferait-elle pour fuir le plus vite possible ? Elle ne pourrait pas partir comme cela s’il Ă©tait prĂšs d’elle et totalement rĂ©veillĂ©. Il fallait qu’elle trouve dĂ©jĂ  une excuse pour au cas oĂč il se rĂ©veillerait. Une excuse assez banale pour passer et lui permettre de s’en aller et de ne jamais revenir, jamais. Lena savait qu’elle voudrait tant et tant revenir vers lui sans cesse, mais elle ne pouvait pas, elle ne devait pas. La rebelle savait qu’elle avait atteint ce niveau de dĂ©pendance intense qu’elle chercher Ă  tout prix Ă  Ă©viter depuis qu’elle avait compris que le monde ne valait pas la peine qu’on se dĂ©truise pour autrui et qu’il fallait dĂ©jĂ  rĂ©ussir Ă  survivre soi-mĂȘme. Cette dĂ©pendance allait obligatoirement avec autre chose qu’elle ne cessait de nier alors qu’elle se coiffait. A chaque fois que l’idĂ©e s’infiltrait dans ses pensĂ©es, elle la repoussait au plus profond espĂ©rant ne pas avoir Ă  l’avouer. La rebelle savait que cela ne devait pas ĂȘtre le cas, c’était obligatoire, et pourtant c’était bel et bien le cas. Comment dire ? En une soirĂ©e, en une nuit, cela peut paraĂźtre ridicule ou beaucoup trop stupide pour ĂȘtre rĂ©el, mais ça l’était bel et bien. Lena Wates, la fille qui repoussait tous sentiments et tous attachements, Ă©tait tombĂ©e sous le charme de son compagnon. Elle Ă©tait d’or et dĂ©jĂ  Ă©prise de Tom et cela Ă  l’instant mĂȘme oĂč leurs regards s’était croisĂ©s. NON ! Ce n’était pas concevable dans sa vie et dans le mode qu’elle avait choisi pour vivre en paix et sans souffrance. C’était totalement impensable. Pourtant, la vĂ©ritĂ© rĂ©sidait dans cela. VĂ©ritĂ© que la jeune rebelle ne faisait que nier prĂ©textant qu’elle Ă©tait juste devenue folle et qu’elle n’était pas en mesure de bien rĂ©flĂ©chir. Mieux valait trouver n’importe quelles sortes d’excuses que de s’avouer qu’elle Ă©tait Ă©prise d’une personne qu’elle connaissait Ă  peine. Lena venait de poser le peigne, certaine de ne pouvoir rien faire avec ses cheveux et se mettant Ă  rĂąler toute seule Ă  propos de cela. La rebelle devait maintenant s’habiller et fuir rapidement, pas la peine de perdre du temps Ă  se maquiller, c’était inutile et elle devait rentrer pendant qu’il dormait encore, pendant qu’elle possĂ©dait encore la force de s’enfuir. Alors qu’elle Ă©tait dĂ©cidĂ©e Ă  se dĂ©pĂȘcher, elle sentit sa prĂ©sence avant mĂȘme qu’il ne soit prĂšs d’elle. Comme une connexion intense dĂšs lors qu’il s’était approchĂ© de la salle de bain. Cela Ă©tait-il possible ? Elle l’ignorait et ne cherchait pas Ă  le savoir tellement elle comprenait qu’elle Ă©tait prise au piĂšge. Il demeurait lĂ  derriĂšre elle, les bras autour de sa taille, son menton calĂ© sur l’épaule de la demoiselle. Apaisement total, la rebelle ferma les yeux un court instant alors que les frissons envahissaient sa peau. Elle se sentait tellement bien qu’elle ne voulait pas avoir Ă  partir, elle voulait demeurer prĂšs de lui. Cet apaisement par sa simple prĂ©sence, ce bonheur qui Ă©clairait son visage avec ce sourire qui l’avait quittĂ© depuis si longtemps, ces frissons qui couraient sur sa peau et cette voix dans sa tĂȘte qui ne cessait de lui demander de laisser une chance Ă  celui dont elle Ă©tait dĂ©jĂ  Ă©prise. Lorsqu’il la complimenta, la rebelle sentit son sourire s’étirer alors que son cƓur se mettait Ă  battre plus fort et que les frissons glissaient sur sa peau lorsqu’il couvrit son cou de baisers. Lena laissait ses doigts caresser le bras de son compagnon lentement avant de rĂ©pondre toujours le sourire emprunt sur son Un nouveau grand sourire alors qu’elle n’arrivait toujours pas Ă  se convaincre de fuir. Merci du compliment. Terriblement bien dormi, et toi ?Elle pourrait lui laisser une chance, baisser son bouclier et accepter une fois ses sentiments sans chercher Ă  fuir l’attachement. Elle n’avait qu’une peur s’était de souffrir encore et encore et elle savait qu’en osant s’attacher s’était la seule chose qui risquait d’arriver. La demoiselle ne pouvait, cependant, pas faire taire cette voix dans sa tĂȘte qui lui murmurait tout cela. Lena se sentait si bien, si heureuse, si existante en sa prĂ©sence qu’elle n’osait pas partir. En partant, elle redevenait la fille dĂ©nudĂ©e d’identitĂ© qu’elle avait toujours Ă©tĂ©. Pourtant, elle devait retourner Ă  sa morne existence, elle devait s’éloigner avant d’avoir Ă  souffrir. Lena devait fuir le piĂšge dans lequel elle Ă©tait tombĂ©, elle le pouvait, elle Ă©tait prĂȘte Ă  endurer le manque et la souffrance. C’était plutĂŽt bizarre, elle Ă©tait prĂȘte Ă  endurer le mal, mais pas le bonheur. Sa vie n’avait jamais Ă©tĂ© heureuse, son enfance et ce qu’elle avait vĂ©cu lui avait appris que le bonheur ne durait jamais et qu’on en souffrait si l’on se risquait Ă  s’y attacher. La demoiselle, aprĂšs quelques secondes sans bouger, finit par se tourner vers son compagnon. Passant ses bras autour du cou de Tom, elle plongea son regard dans le sien alors qu’un sourire se dessiner sur son visage. Elle s’empara de ses lĂšvres en un tendre baiser. De nouveau ses sensations intenses et il n’y avait aucune justifications possibles, aucunes. Pas d’alcool, pas d’ambiance festive, pas de drogues. Rien, juste la rĂ©alitĂ©. Elle devait fuir, rapidement avant d’ĂȘtre incapable de bouger et de s’enfuir. Avec le peu de motivations pour partir qu’il lui restait, la demoiselle mit fin au baiser et ne cessant de le regarder elle dit tu prenais une bonne douche pendant que je vais chercher le petit dĂ©jeuner ?Excuse minable pour fuir mais tout Ă  fait plausible. Excuse minable mais essentiel en espĂ©rant qu’il accepte cela c'est-Ă -dire qu’il n’ait aucunes autres idĂ©es en tĂȘte. Un sourire craquant et amoureux, oui, vous avez bien lu, amoureux, se dessina sur les lĂšvres de la demoiselle alors qu’une de mains, en particulier, quelques uns de ses doigts se baladaient sur le torse du tressĂ©. Lena le regardait toujours dans les yeux, de cette façon si adorable qu’elle n’utilisait jamais et qu’elle croyait perdue Ă  jamais, se mordant lĂ©gĂšrement la lĂšvre pour ne pas recommencer Ă  l’embrasser. Quelques minutes encore, quelques minutes et elle partirait, quelques minutes et elle s’enfuirait, les brisant tous les deux, mais se dĂ©gageant de ce piĂšge destructeur. Quelques minutes... InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Dim 12 DĂ©c - 045 Pour une fois depuis bien longtemps, Tom s'Ă©tait rĂ©veillĂ© le sourire aux lĂšvres. Lui qui d'habitude dormait mal entre deux sĂ©ances de rĂ©visions et deux cauchemars avait ouvert les yeux complĂštement serein et dĂ©tendu. Ce qui Ă©tait si rare qu’il ne souvenait pas la derniĂšre fois que ça s’était produit. Et pourtant cette sĂ©rĂ©nitĂ© il la ressentait aujourd’hui. Et ça c’était dĂ» Ă  la simple prĂ©sence de Lena dans ses bras cette nuit. C’était Ă©trange, de se dire que le bonheur et l’apaisement dĂ©pendait d’une fille qu’il ne connaissait qu’à peine et depuis la veille au soir. Et pourtant. Ce n’était que grĂące Ă  la rebelle que ce matin le tressĂ© se sentait
 Heureux. A cette pensĂ©e il ne put que froncer les sourcils. Comment pouvait-il ĂȘtre aussi heureux auprĂšs d’une autre personne que Mika, ou Tallula ? Comment pouvait-il ĂȘtre si fou amoureux d’une brunette dont il ne connaissait quasiment rien ? Mais la rĂ©ponse sembla s’imposer Ă  lui. Le destin. Le destin les avait liĂ©s l’un Ă  l’autre, au-delĂ  de toute raison et avait imposĂ© en eux une dĂ©pendance qui dĂ©passait toute logique. Et il Ă©tait totalement conscient que se dĂ©battre contre ça ne changerait rien. De toute façon il n’avait pas envie de se battre. Pas contre ça, non. Parce que ce qui les liait Ă©tait fort, fort et magnifique. Et pas une seconde il n’avait pensĂ© Ă  avoir peur. Il se fiait au destin ; et il avait confiance en Lena. AveuglĂ©ment. Parce qu’il l’aimait. Et lorsqu’il la serra enfin dans ses bras, il ne put qu’en ressentir une sensation de soulagement et d’apaisement total, alors que de son ventre semblaient s’envoler des nuĂ©es de papillons. Il Ă©tait si bien comme ça que si il avait pu arrĂȘter le temps pour en profiter tout son soĂ»l, il l’aurait fait sans mĂȘme hĂ©siter. Dieu qu’il Ă©tait accro Ă  cette fille. Bonjour, rĂ©pondit-elle alors que son sourire faisait chavirer le cƓur du musicien. Merci du compliment. Terriblement bien dormi, et toi ? Hm trĂšs bien. Pour une fois depuis
 Oh trop longtemps, lĂącha-t-il dans un soupir alors qu’il renonçait Ă  se souvenir exactement. Au moins depuis que je suis Ă  New York en tout cas. Ce qui Ă©tait vrai. Avoir quittĂ© Mika, Keisha et Pearl avait Ă©tĂ© un coup dur. Mais Pearl avait Ă©tĂ© rĂ©aliste et elle avait fait ce qu’elle pensait le mieux pour ses frĂšres et sƓurs. Et quelque part il lui en Ă©tait reconnaissant de leur avoir permis Ă  tous de fuir l’enfer qu’ils vivaient, mĂȘme si le coup avait Ă©tĂ© douloureux. PensĂ©es qui furent vite chassĂ©es par le tendre baiser que Lena commença et auquel il se livra avec plaisir alors qu’il caressait sa joue. Si tu prenais une bonne douche pendant que je vais chercher le petit dĂ©jeuner ?Je sens si mauvais que ça, plaisanta-t-il un sourire taquin aux lĂšvres. Bon certes aprĂšs une nuit Ă  faire l’amour Ă  sa belle il ne pouvait pas sentir la rose mais il ne devait pas sentir le fauve Ă  100 kilomĂštres non plus. PensĂ©e qui fit suivie d’un Ă©clat de rire franc et amusĂ©. Ok j’y vais. Un dernier baiser volĂ©, et le tressĂ© se glissa dans la douche sans mĂȘme penser qu’il revoyait sĂ»rement sa Lena pour la derniĂšre fois. Parce qu’il lui faisait confiance. Si seulement il avait pu se douter Ă  quel point il avait tort
 Lena Wates Empire State of Mind ▌INSCRIT LE 10/10/2010 ▌MESSAGES 4276 ▌AGE DU PERSO 23 ▌ADRESSE 5117 Rose Avenue 401, Queens ▌CÉLÉBRITÉ Emily Browning ▌SMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Dim 12 DĂ©c - 1522 Destin. Terrible vĂ©ritĂ© incontrĂŽlable, terrible rĂ©alitĂ© sans choix possible. Le destin nous tombait dessus, sans mĂȘme qu’on ait le temps de s’en rendre compte et d’y Ă©chapper. On croyait tout avoir le contrĂŽle dans sa vie, mais ce n’était guĂšre le cas, on Ă©tait simplement les victimes et le destin contrĂŽlait la moindre seconde de notre vie. On ne pouvait pas rĂ©ellement y Ă©chapper, et lorsqu’on tentait de le faire, il nous rattrapait toujours et les consĂ©quences Ă©taient souvent dĂ©sastreuses. La rebelle avait toujours acceptĂ© ce destin, n’avoir rien Ă  dire ou Ă  choisir, juste Ă  subir la vie, comme si on n’était que des simples prisonniers dans une cage oĂč on ne peut pas s’échapper. Elle avait acceptĂ© d’ĂȘtre rejetĂ©e par son pĂšre, de ne plus avoir sa mĂšre, elle avait acceptĂ© d’ĂȘtre condamnĂ©e avant mĂȘme d’avoir touchĂ©e le monde. Lena avait acceptĂ© d’ĂȘtre trimbalĂ©e de familles en familles sans n’avoir rien Ă  dire, de se sentir dĂ©nudĂ©e d’identitĂ© et de chez elle propre. Oui, la rebelle avait acceptĂ© tout ce que le destin avait dĂ©cidĂ© de lui faire souffrir, subir sans rien dire, sans mĂȘme se plaindre ou espĂ©rer que quelqu’un d’autre aurait sa place. Elle s’était tĂ»t et avait acceptĂ©. Les moindres fautes lorsqu’elle commettait des actes par instinct sans rĂ©flĂ©chir, elle acceptait les moindres consĂ©quences des actes qu’elle n’aurait jamais dĂ»t commettre. Mais, il y avait une chose qu’elle n’acceptait pas, une seule et unique chose l’attachement et tous les sentiments qui allait avec. MĂȘme aujourd’hui, elle se rebellait sans cesse contre ce destin qui avait conduit Tom et Lena Ă  cet attachement, Ă  cette dĂ©pendance et Ă  ce besoin l’un de l’autre. Si elle acceptait de rester, tout pourrait ĂȘtre diffĂ©rent, elle aurait droit au bonheur et elle se sentirait bien quelques temps. Cela Ă©tait impensable dans l’esprit de la demoiselle, elle refusait de laisser l’opportunitĂ© Ă  quelqu’un de la dĂ©truire, c’était hors de question. La limite Ă  ne jamais franchir. VoilĂ  pourquoi elle se devait de fuir et voilĂ  pourquoi elle avait inventĂ© une excuse minable quoique tout Ă  fait possible pour s’échapper. Si seulement il s’était rendu compte que ses intentions Ă©taient autres, qu’elle n’irait pas chercher de petit dĂ©jeuner et surtout qu’elle ne reviendrait pas dans la chambre. Elle allait faire souffrir, mais c’était essentiel et tellement indispensable qu’elle ne pouvait, pas encore, ressentir le poids de la culpabilitĂ©. La demoiselle savait ce qu’il convenait de faire et elle Ă©tait prĂȘte Ă  accepter sans discuter les consĂ©quences de ses actes, elle le ferait et elle ne verrait plus jamais Tom, c’était en quelques sortes une promesse qu’elle s’était faite. Elle partait et elle promettait de ne jamais revenir mettre la douleur, le dĂ©sordre, la souffrance dans la vie de son compagnon. Une promesse Ă  voix basse qu’elle tiendrait quitte Ă  changer de ville, une nouvelle fois alors qu’elle commençait Ă  se construire une aussi avait bien dormi, alors que ça faisait longtemps qu’il dormait mal. C’était bizarre de voir qu’une simple prĂ©sence pouvait nous permettre de nager dans le sommeil sans aucuns problĂšmes. Lena Ă©tait habituĂ©e aux cauchemars violents et aux rĂ©veils en sursaut. Elle Ă©tait habituĂ©e Ă  voir chaque heure dĂ©filait devant ses yeux alors qu’elle se trouvait Ă  moitiĂ© endormie, pourtant incapable de trouver le sommeil. Et, la simple prĂ©sence de Tom l’avait rassurĂ©e, lui permettant de dormir sans cauchemars, sans hallucination atroce. Oui, cela faisait quelques semaines qu’elle dormait trĂšs mal, et elle avait eu le droit Ă  une nuit de sommeil paisible, la rĂ©alisation d’un vƓu inespĂ©rĂ©. Prendre une douche, pendant qu’elle partait chercher le petit dĂ©jeuner. Pendant qu’elle s’enfuyait Ă©tait plutĂŽt exact. Lorsqu’il plaisante avec un sourire taquin, la demoiselle ne put retenir son sourire. Son rire retentit dans sa tĂȘte, comme si elle gravait ce son qui la hanterait surement. Il y allait, elle allait pouvoir fuir. Un ultime baiser, le dernier, mĂȘme s’il l’ignorait encore. Il se glissa sous la douche alors que la demoiselle retournait dans la chambre ayant repris ses vĂȘtements. Elle entendait l’eau coulĂ©e et n’arrivait pas Ă  se rĂ©soudre Ă  s’enfuir, comme une lĂąche. Elle ne voulait pas faire de mal, et pourtant, elle allait en faire plus qu’elle ne le pensait. Un bref soupir s’échappa de ses lĂšvres alors qu’elle Ă©tait enfin prĂȘte. Elle ne pouvait pourtant pas se rĂ©soudre Ă  partir ainsi sans rien dire de plus. Lena attrapa un bout de papier et un crayon. Pensive quelques instants, assise sur le lit, devant le papier vierge, la rebelle finit par y tracer trois petits mots Je suis dĂ©solĂ©e » avant de reposer le stylo. Elle posa le papier sur la table de nuit et se releva. Lena donna un coup d’Ɠil circulaire sur la piĂšce alors qu’elle entendait l’eau faiblir jusqu’à s’arrĂȘter. Vite, elle devait fuir. Sans rĂ©flĂ©chir plus, la rebelle se dirigea vers la porte, l’ouvrit et la referma une fois qu’elle fut dehors laissant sa main sur la poignĂ©e. Quelques minutes passĂšrent, il devait tout juste sortir de la douche alors qu’elle commençait Ă  descendre les escaliers. L’ascenseur lui aurait permis de rĂ©flĂ©chir alors qu’elle ne voulait pas, prĂ©fĂ©rant s’ de l’hĂŽtel, la rebelle Ă©vita de penser Ă  la rĂ©action de Tom. Au dĂ©but, il attendrait patiemment, puis le stress envahirait surement ses pensĂ©es jusqu’à ce qu’il voit le mot. Et, lĂ , elle ignorait quelle serait sa rĂ©action. L’air frais la fit frissonner alors qu’elle se mettait en marche pour se rendre chez elle. La fuite lĂąche, l’abandon pour Ă©chapper au destin et Ă  cette dĂ©pendance. Lena savait qu’elle ne pourrait pas y Ă©chapper constamment, elle savait Ă©galement qu’elle Ă©tait prise au piĂšge et qu’il lui faudrait un bon moment avant de pouvoir oublier ce vide et ce manque qui se dessinerait dans sa vie. Les minutes s’étirĂšrent se transformant en heures et Lena se trouvait toujours dans la rue Ă  marcher comme si elle ne savait plus oĂč elle habiter. Le souvenir de son visage, de ses sensations
 Non, il fallait qu’elle cesse d’y penser. S’arrĂȘtant dans un cafĂ©, elle prit un petit dĂ©jeuner en solitaire avant de se dĂ©pĂȘcher Ă  ressortir et de se rendre illico chez elle. Son appartement, enfin. La rebelle referma Ă  clĂ© une fois Ă  l’intĂ©rieur car elle comptait ne pas bouger de chez elle, ne pas rĂ©pondre au tĂ©lĂ©phone non plus. Sans mĂȘme rĂ©flĂ©chir, la demoiselle se rendit dans sa salle de bain et elle s’assit Ă  mĂȘme le sol avant d’attraper sa lame, qui trainait toujours cachĂ© dans un coin. Son sourire, sa voix, sa prĂ©sence
 Stop, elle ne devait plus penser Ă  cela. Lena laissa alors la lame glisser sur sa peau espĂ©rant que ce geste entrainerait toutes ses pensĂ©es Ă  propos de celui dont elle s’était Ă©prise. Elle ne pourrait pas Ă©chapper au destin, elle Ă©tait folle de croire rĂ©ussir Ă  survivre sans sa prĂ©sence. [TerminĂ©] Contenu sponsorisĂ© Empire State of Mind Sujet Re Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Une rencontre dĂ©cisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclage ParLeslie Rezzoug. "Avoir une histoire avec un homme mariĂ©, c'est se heurter Ă  un Ă©pais mur de clichĂ©s : ceux de la trentenaire qui sort
15 ans École Samuel-de ChamplainSecondaire 4 PassionĂ©e de danse , de sortie entre amies DĂ©terminĂ© ,GentillenothingAudrey , premiĂšrement j'dois dire qu'on a vraiment eu du fun ce journĂ©e la . Le touriste louche , nos conversations ,nos photos , le canon, j'espĂšre qu'on va se revoir bientot ,car faut vraiment refaire ca . Je te connais pas beaucoup beaucoup mais j'ai dĂ©ja pleins d'affinitĂ© avec toi && de tout maniere ont se connait a cause des skyblog henn , ahahha INSIDE . En tuka sache que je suis vraiment contente de t'avoir connu pis j'veut pas que sa s'arrete la car t'est une fille bien avec pleins de belles qualitĂ©s pis les valeurs a la bonne place .Jtaime dĂ©ja beaucoup L PS J'ai vraiment aimĂ© ma journĂ©e ,c'est quand on recommence ?xox Posted on Wednesday, 24 September 2008 at 1200 AMEdited on Thursday, 02 October 2008 at 620 AM
Vouséchangez depuis un long moment. Avant de vous rencontrer, vous devriez avoir échangé pendant un long moment. Il ne faut pas précipiter les choses, aussi bien sur internet que dans la vraie vie. Ainsi, vous ne devriez pas proposer de rendez-vous à une personne que vous ne connaissez que depuis 5 minutes. Il y a de fortes chances pour que cette derniÚre
Read PDFRead Free PDFRead PDF1997M. Durand BarthezThis PaperA short summary of this paper37 Full PDFs related to this paperReadPDF PackPeople also downloaded these PDFsPeople also downloaded these free PDFsPeople also downloaded these free PDFsLa maison de Wittgensteinby Jean-Pierre ComettiDownload Free PDFView PDFSujet et polyphonie dans Ariane Ă  Naxos et La femme sans ombre D’Hofmannsthal*by christiane chauvirĂ©Download Free PDFView PDFÀ l’heure fatale de l’art — la critique du kitsch au XXe siĂšcle 2012by FrĂ©dĂ©rik DetueDownload Free PDFView PDFKafka et Brentanoby Barry SmithDownload Free PDFView PDF"Croyances religieuses et destinĂ©es individuelles dans le roman historique traitant de l'AntiquitĂ©" XIXe et XXe siĂšcles Full Thesisby Vassilaki PapanicolaouDownload Free PDFView PDFDe Vienne Ă  Berlin, de l'essai sur Hofmannsthal Ă  La dĂ©gradation des valeurs H. Broch–en passant par Paris M. Proust, J. Dos Passosby Vincent M FERREDownload Free PDFView PDFTaire, pour ainsi dire » Walser traducteur de Hölderlinby Praz OlivierDownload Free PDFView PDFSociologie du dandysme biographie sociologique de Stefan Zweigby Francis Douville VigeantDownload Free PDFView PDFCrises des rapports interpersonnels dans le roman Auto-da-fĂ© d’Élias Canetti. Apocalypse et phobie du bleuby Eric Leroy du CardonnoyDownload Free PDFView PDFRELATED PAPERS “La permanence indestructible des formes d’art”, ou la consolation de la littĂ©rature chez Proust, Broch et Dos Passos », in E. Poulain-Gautret dir., LittĂ©rature narrative et consolation. Approches historiques et thĂ©oriques, Arras, Artois Presses UniversitĂ©, 2012, p. 207-218by Vincent M FERREDownload Free PDFView PDFL'homme difficile-dire ou ne rien dire, 2008by Joanna RajkumarDownload Free PDFView PDFJames Wittgenstein Implications Philosophiquesby Phillippe SchaffhauserDownload Free PDFView PDFHenri-Pierre RochĂ© A la recherche de I' unitĂ© perdueby Catherine Du ToitDownload Free PDFView PDFCatalogue2015by BosquĂšre RĂ©myDownload Free PDFView PDFLe doute chez Virgileby Aldo SetaioliDownload Free PDFView PDFVienne et Berlin, deux imaginaires opposĂ©s ?by Eva WerthDownload Free PDFView PDFMusil. Mélophobie et modèle musical Reims.pdfby FrĂ©dĂ©ric SounacDownload Free PDFView PDFMUSIL PHILOSOPHEby Jean-Pierre ComettiDownload Free PDFView PDFRecension. Jacques Bouveresse Le mythe moderne du progrĂšsby ThĂ©o BĂ©laudDownload Free PDFView PDFLa tĂąche du poĂšte traducteur-Revue Geste N°4, 2007by Joanna RajkumarDownload Free PDFView PDFAprĂšs Babel une poĂ©tique du dire et de la traduction by Steiner George Dilek ToprakDownload Free PDFView PDFOubli, mĂ©moire, histoire dans la DeuxiĂšme ConsidĂ©ration inactuelle »by Jacques Le RiderDownload Free PDFView PDFRomanciers pluralistes - intro et table des matiĂšresby Vincent MessageDownload Free PDFView PDFLa dĂ©personnalisation Une pathologie du sujet au dĂ©but du XXe siĂšcle dans Les Carnets de Malte Laurids Briggeby Sandra JanßenDownload Free PDFView PDFL'homme sans qualitĂ©s de Robert Musil une Ă©criture d'Ă©vitement au service des possiblesby Françoise Daviet-TaylorDownload Free PDFView PDFPaul Emond E. VERHAEREN ET S. ZWEIGby Paul EmondDownload Free PDFView PDFLongueurs du XXe siĂšcleby Alexandre GefenDownload Free PDFView PDFLe "rationalisme mystique" de Robert Musilby AurĂ©lien ZincqDownload Free PDFView PDFL'Art de la composition dans les romans de Milan Kunderaby Magdalena IndriesDownload Free PDFView PDFLa face nocturne de la ModernitĂ© le fantastique en Autriche aprĂšs 1900by Clemens RuthnerDownload Free PDFView PDFImpavidum Ferient Ruinaeby Alain VanierDownload Free PDFView PDFUne descente en enfer l’opĂ©ration testimoniale de Curzio Malaparteby Nenad IvicDownload Free PDFView PDF"Le droit avant tout ?" RĂ©flexions autour de l'Électre d'Hugo von Hofmannsthal et son interprĂ©tation musicale par Richard Straussby Marie-Sophie de ClippeleDownload Free PDFView PDFUn contrepoint contestĂ© appropriation juive » et libĂ©ration polyphoniqueby Karen PainterDownload Free PDFView PDFTant d'horreurs n'auraient pas Ă©tĂ© possibles sans tant de vertus supportby Florian ForestierDownload Free PDFView PDF La musique, onomatopĂ©e de l’ineffable », in Alkemie Revue semestrielle de littĂ©rature et philosophie, NumĂ©ro 6 / DĂ©cembre 2010, CIORAN, l’Orecchio di Van Gogh, Falconara Marittima, pp 141-156 by Massimo CarloniDownload Free PDFView PDFDe la scĂšne Ă  l'histoire l'antipolitique de Gustav Landauerby Philippe DespoixDownload Free PDFView PDFLittĂ©rature et sociologie analyse de l'expĂ©rience moderneby Myriam Boivin-ComtoisDownload Free PDFView PDFQuatre hommages Ă  Jacques Bouveresseby Pascal EngelDownload Free PDFView PDF Wittgenstein, philosophe des romanciers »by Audrey LemieuxDownload Free PDFView PDFDame Kobold 1920 de Hugo von Hofmannsthal et son modĂšle La dama duende 1629 de Pedro CalderĂłn de la Barcaby Morgane KappĂšs-Le MoingDownload Free PDFView PDFComment peut-on encore Écrire aprĂšs Auschwitz»? Pierre Mertens et Primo Levi Ă  propos du devoir de mĂ©moire, published in Anne Begenat-Neuschaefer Ed., "Chutes et Ă©cartĂšlements. L'oeuvre de Pierre Mertens", Belgien im Fokus, Peter Lang Verlag 2013, pp. Giulio SchiavoniDownload Free PDFView PDFL’Auteur au pluriel. O Bairro de Gonçalo M. Tavares et l'enfance de la littĂ©ratureby Julia PeslierDownload Free PDFView PDFCrise du langage et position mystique le moment 1901-1903, autour de Fritz Mauthner1by Jacques Le RiderDownload Free PDFView PDFL’Essai dans le roman et un cas exemplaire d’hybridation gĂ©nĂ©rique, l’essai fictionnelby Guido Mattia GalleraniDownload Free PDFView PDFTable des phrases les plus remarquables des livres lusby Eddy Bazin Le BouquinisteDownload Free PDFView PDFLa phĂ©nomĂ©nologie comme pensĂ©e de la crise PrĂ©sentation des Actes du colloque "La modernitĂ© Approches esthĂ©tiques et phĂ©nomĂ©nologiques"by AurĂ©lien ZincqDownload Free PDFView PDFLes intellectuels dans la Grande Guerre ou le "dĂ©senchantement du monde". M. Weber et R. Musil Ă  l'Ă©preuve de 14-18by Oriane PetteniDownload Free PDFView PDFQuelle philosophie du mourir pour la rĂ©flexion contemporaine sur la fin de vieby Thierry MenissierDownload Free PDFView PDFLa mort de Danteby Jacques AumontDownload Free PDFView PDFRELATED TOPICSArtRelated topicsRelated topicsArt
.
  • 5b893iqt41.pages.dev/277
  • 5b893iqt41.pages.dev/10
  • 5b893iqt41.pages.dev/65
  • 5b893iqt41.pages.dev/466
  • 5b893iqt41.pages.dev/261
  • 5b893iqt41.pages.dev/57
  • 5b893iqt41.pages.dev/289
  • 5b893iqt41.pages.dev/476
  • avoir l impression de connaitre quelqu un depuis toujours